Perdu en Nomandie

Alors en Anjou, dans l'Escorte de la Reyne, Reign endormie dans une taverne avait senti qu'on lui tapait sur l'épaule. Il se reveilla et, a travers ses yeux a moitié ouvert vit un jeune homme qui lui tendait un parchemin. Apres avoir baillé et s'être etiré, il attrapa le parchemin, puis de son autre main fit signe au tavernier de servir a boire au jeune homme. Encore endordie de sa mauvaise posture de sommeil, il se redressa et jeta un oeil sur le pli. Mais la seul vu du cachet le fit frissonner... De la cire rouge... Une licorne qui se cabrait... Enfin ils avaient repondu.

Avec guére plus de retenu qu'un assoiffé devant un bassin, il rompit le sceau et lu la missive, Hum... Chartre... il l'avait consulté avant d'envoyer sa missive... Fortesse de Ryes... La mythique forteresse...

D'un bond il se leva et se dirigea vers la porte, puis revint vers le jeune homme et lui posa quelques ecus devant lui sur la table puis quitta la taverne. Il avisa un soldat, un des plus hauts gradés de l'escorte, lui fit signe de s'approcher et lui glissa:

Des affaires m'appelle en Normandie... je vais devoir... M'absenter alors si on me cherche.... je suis parti faire la reconnaissance de la route de demain d'accord ? Il prononca sa derniére phrase en jetant à l'homme une petit bourse qui contenait quelques dizaine d'écus, puis allat en direction des ecurie. Là il arnacha son cheval, remplit les fouilles d'avoines, puis, toujours arborrant un grand sourire epernna la béte, saluant au passages les divers gardes, qu'il commencait à connaitre depuis le temps qu'ils marchaient ensemble.

Une fois sorti d'Angers il se pencha sur l'encolure de sa monture pour la faire gagner en vitesse... En direction du Nord-Est

Aprés quelques arréts, essentiellement proche de ruisseau, pour que lui même et sa monture puisse s'abreuver, ils arrivat en fin de journée a un frontiére... Celle d'Anjou d'Alençon et du Maine était deja loin derniére lui, ca ne pouvait être que celle de Normandie, enfin. Il fut conforté dans son idée lorsque il vit les soldat arborrant un tabard rouge frappé de lions d'or, ceux ci le laissant passer, voyant le siens frappé aux couleurs Artesienne...

Il continua sur le chemin, la lettre du capitaine de la Licorne entre sa chemise et ses mailles... Mais il baissat petit à petit son allure, à la mesure de la nuit tombante, ne sachant pas clairement ou se trouvait la Forteresse en question...

De plus en plus demotivé, chevauchant sa monture qui allait desormais au pas, il avait la tête baisser, pleine d'idée noire, lorsque, venant en face de lui, il entendit les bruit de pas d'un cheval. Ne voyant pas son interlocuteur dans la nuit, il le hella toutefois

Hey Messire ! Bien le Bonsoir... Je suis bien desolé de troubler votre voyage, mais par hasard... Sauriez vous quel direction prendre pour trouver la forteresse de Ryes ? Il souria, esperant tomber sur un homme de la licorne en vadrouille, ou alors une personne du cru sachant precisement ou se trouvait la forteresse

Reign attendit dans la nuit un reponse du voyageur, mais constata a fur et a mesure que celui ci avanceait qu'il lui repondrait pas "la legendaire avenance Normande... C'est bien connu" pensa t'il avant d'eperonner son cheval pour continuer sur la route, alors que le ciel prenait une couleur de plus en plus sombre. Au pas il suivait la route, deseperant de trouver une auberge où passé la nuit, et, à plus forte raison la forteresse en question.

Il ôta son gant et se frotta son menton, où était une barbe de quelques jours deja, qui le viellissait et le rendait peu presentable, mais enfin... Les "Licorneux" Partout leur nom était connu, et il était belle et bien reputé pour savoir se battre, et pas pour faire les beaux et prendre soin de leur apparence. Deja dans le ciel, les premiére etoiles commencaient à diffusé leur lumiére, Alors que l'artesien tentait de scruter la route du haut de son cheval, esperant paercevoir des trace de chavl qui lui indiquerait la proximité d'un Ost ou d'une troupe, mais rien ni fit... Trop peu de lumiere, Trop peu de trace, et même pas un hameau isolé ou une taverne de voyageurs pour se restauré.

Il chercha a taton dans la petite sacoche qu'il avait emporté, attrapant quelques laniere de lard seché et les machonna sans convictions avant de se resigné à mettre pied à terre. Il attrapa les rennes de sa montures et marchant devant, s'eloignant du chemin et s'enfoncant dans les bois. Puis dans une petite clairiére il attache son cheval a un arbre, le desella puis posa la selle et la couverture a terre, mit sa tête dessus et s'endormit.


Apres quelques heures d'un sommeil sans rêve il emergea, puis essaya de reprendre ses esprits. Une fois la chose faite, la couverture et la selle reposé sur l'Echine de son cheval, il lui donna une petit poigné d'avoine, une des derniére que contenait ses fonte avant de regrimpé dessus et de repartir au pas sur le chemin. Et la route continuait, longue et monotone probablement, comme la veille.

Il se resignait a passer encore une journée de errance, ou les seuls âmes qu'ils croiseraient serait des Normands apathique ne voulant même pas le renseigné. Tout en ruminant ces noirs pensé, il arriva au somment d'un petite buttes qu'escaladait le chemin et là s'ouvrit à sa vue... Un grand ensemble de tour et de rempart, avec a ses pieds plusieurs hommes d'armes s'attelant a divers tache et entrainement. Ravi et surtout impatient, il eperonna sa monture et fila au galop vers Ryes... Enfin, l'esperait-il.

Il arriva à la premiere herse et vit un homme en arme qui s'y trouvait derriere, il mit alors pied à terre sorti la lettre du Capite Rhuyzar de sous sa chemise et l'agita en l'air

Licorne ? Oh Eh ?

Puis il arriva juste devant la herse, regarda le garde et le gratifia d'un sourire

C'est bien Ryes j'espere ? Je viens... Je viens parceque l'on ma annoncé que l'Ordre de la Licorne m'accptait en tant qu'homme d'arme, puis-je rentré messire ?

Le Garde qui fut interpeler par Reign mit d'instinct sa main sur la gardede son épée, ce qui rejouis Reign... Enfin des vrai soldats et non plus des pochtrons comme à son habitude

Oui Messire, veuillez m'excusez... Je Suis Henri-Baptiste de Richebourg... Enfin... Plutôt Reigninblood mon surnom...

Puis Reign sourit au gaillard qui visiblement, et en remplissant sont role de garde, le scrutait. Peut-être ne trouvait-il pas son tabard aux couleurs Artesienne a son gout ? Aller savoir... Apres tout, bien que Ryes soit en Normandie l'Ordre couvrait le royaume, et ce garde pouvait aussi bien être Flamand que Languedocien... Voir même, eurk, Champennois... Le Jeune homme fit la moue a cette pensé, puis reprit vite son masque d'avenance. Un telle gaillard pouvait sans nul doute faire sonné la garde, et là, aupire il finirssait dans une douve, un boulet attaché au pied, au mieux sa avenir dans la Licorne se limiterait a avoir trouver Ryes.

Reign, toujours derriere la herse regardait ses bottes lorsque le garde en faction lui repondit. Ainsi il se souvenait de sa candidature, Bon ou mauvais presage ? Il n'aurait su le dire, mais il fut rassuré du ton prit par le garde, tout de suite moins... Garde. Le jeune homme croisa les bras sur sa poitrine pendant que la garde appela quelqu'un pour ouvrir la porte.

Dite moi euh... Messire, vous dites vous souvenir de ma candiature... Est-ce mal ? Sortait elle du lot ? J'espere ne point avoir fauté avant même le franchissement des portes de la forteresse

Puis il gratifia le garde d'une sourire qui cachait mal sa nervosité, attendant une geste du garde, mais apprhendant sa reponse qui pouvait s'avaerer devastatrice

Reign vit la herse se lever lentement, un grand sourire lui barrait le visage. La licorne enfin... Le premier garde en poste avait été rejoins par une deuxiéme, connu de Reign d'ailleurs. Une fois la herse assez relevé pour qu'il puisse passé et ben... Il passa et s'arreta devant les des hommes, s'adressant premierement au Berrichon.

Eh bien eh bien... Une belle bande qui garde la Reyne, Puis il eclata de rire avant d'essayer de se contenir pour continuer Le terrible baron de la Verrerie vous laisse donc vadrouillé a votre guise ? Car moi j'ai du user de milles stratagémes pour pouvoir me rendre ici... Bien gentil mais...Extremement concerné par sa tache.

Puis se tourna vers l'homme qui l'avait acceuilli

Merci bien messire... Messire comment d'ailleurs ? Que je puisse me souvenir du garde qui m'a acceullit

Tout en souriant, il tendit sa main vers la secondes herse et demanda

C'est par là je presume ? Et je presume aussi que comme toute fortesse qui se respecte vous devez rester aux corps de gardes ? Ah moins que l'un d'entre vous ne me guide vers la taverne ou enfin, vers le lieu qui remplie cette tache pour que je puisse le remercié ?