Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne


 
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 FréreNico.

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MessageSujet: FréreNico.   FréreNico. EmptyMar 30 Aoû 2005 - 12:48

FréreNico. Fondateur et maitre spirituel de l'ordre.

FréreNico. Titian-cardinal-pietro-bemb

Le portrait de FréreNico par le peintre Italien Vicenzo Marquezi



-Fondateur et responsable de l'Ordre Franciscain (réformé deux fois)
-Fondateur et maître spirituel des Chevaliers de la Licorne
-Fondateur et doyen de l'Université et de la bibliothèque.
-Co-Fondateur de la FAY, la fraterie d'aide aux Yndigents (échec).
-Co-fondateur de L'Eglise Universelle

FréreNico. Nicolaïde Tesson de son vrai nom est le second fils d'un petit seigneur Normand. Trés tôt envoyé comme oblat à un monastère Bénédictin il passa sa jeunesse penché dans les livres de la bibliothéque monacale. Aprés son Novicia, dégouté par le comportement de l'église il se prit de passion pour l'ordre Franciscain et se fit chasser de son monastére. Ordonné prêtre par l'évèque de Sens il accomplit sa besogne pendant 20 ans, aidant les plus démunis et donnant de sa personne. En 1440 il quitte Sens pour Paris accompagné de quelques Franciscains et devient professeur de sciences historiques à l'université puis Doyen.

En 1450 FréreNico accepte une mission d'évangélisation demandé par l'évêque de Sens et part s'installer à St Menéhould pour y fonder un couvent Franciscain. En 1451 à l'age de 60 ans il repart pour sa Normandie natale récemment rreprise aux anglois.

Il est ensuite mandaté par le Roy afin de devenir ambassadeur auprés des Anglais. Ambassade se terminant fort mal par la mort de l'Archevéque de rouen ayant insulté le Roy d'Angleterre. Suite aux accusations lancées par les un et les autres là dessus d'autres morts vinrent s'ajouter au tableau et l'ambassade reprit la mer vers la France laissant Frére Nico pour mort. il fut finalement soigné et recueillis par le Roy d'Angleterre et sa cours et renvoyé en france peut de temps aprés.

De retour à Avranche il reçut la visite d'une délégation papale lui annonçant qu'il avait été choisis pour devenir cardinal. Il partit donc pour Rome.

En rentrant à Avranche il eu connaissance de la création du culte Phookaïste qui prenant de l'empleur vint aux oreilles du vatican qui décréta la croisade. Il tenta de ramener le calme en Normandie avant que la croisade ne s'abatte sur la région mais échoua. Les Chevaliers de la Licorne intervinrent dans une tentative de médiation qui fut une réussite.

La croisade évitée il put prendre un tant soit peu de repos. Mais fut bien rapeller aux réalités de ce monde par les troubles à la curie avant d'être nommé duc régent du Dauphiné-Lyonnais par le Roy.
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Guidel

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MessageSujet: Re: FréreNico.   FréreNico. EmptyMar 18 Mar 2008 - 23:20

Lyonnais-Dauphiné a écrit:
FréreNico. 1-83

De la Vitea de Frère Nico et du Grand Frère qu'il devint,

Voici le récit d'un grand homme qui est un saint dans nos coeurs. Nous vous soummettons ainsi ici:


L'Hagiographie de frère nico




Raconté par la plume-même du principal sujet, et présenté par les membres du couvent franciscain en cette année 1455.

A la mémoire de notre Grand Frère, aussi saint soit-il.





De la vie mouvementée de frèreNico de sa venue au monde à la renaissance du royaume

"Ta vie commence en Normandie vers la fin du XIVème siècle, dans une bourgade de quelques centaines d'habitants tenue par un petit seigneur. Ce seigneur était ton père. Il était très croyant et soucieux d'avoir une bonne place au ciel, il disposait de nombreux fidèles et amis écclésiastiques. Ces mêmes prélats avaient une influence importante sur les souhaits de ton père, ils soufflèrent notamment aux oreilles de ton père de faire de son deuxième fils un oblat. Cet oblat, âgé seulement de quelques 7 printemps s'était toi : Nicolaïde fils du seigneur Normand Robert Tesson lui même descendant du duc défunt Guillaume-longue-épée. Ton frère cadet étant destiné à succéder à ton père à la seigneurie, il décida de te donner comme oblat à un monastère Bénédictin près de Sens pour te voir échapper à une éventuelle invasion anglaise en Normandie, mais aussi pour lui assurer son salut."

Voila les seules informations que le père abbé de l'abbaye Sainte-Blanche me concéda sèchement sur mon enfance, à défaut de ma mémoire. Je passais ainsi la grande partie de mon enfance comme oblat au monastère à lire et étudier les saintes écritures, à prier, et à apprendre à ne pas succomber aux pechés de ce bas monde. Arrivé à un certain âge, j'entrai dans le noviciat. Il faut avouer que le père abbé Denis ne m'aimait guère avec mes questions impertinentes et mon impétuosité, il m'octroya donc comme maître le débauché frère Konrad.

De l'éducation théologique et sentimentale de frère Nico

Frère Konrad était originaire du Saint empire Germanique, il était gros comme un pourceau, complètement ahuri et incompréhensible par son accent très prononcé. Il avait tous les défauts qu'un moine puisse avoir, et j'étais intimement persuadé de relations ineffables qu'il aurait eu avec une manante du village voisin. Par chance, il avait la charge par le père abbé d'assistant bibliothécaire. En effet le père abbé ne sachant que faire de lui et voyant son inculture totale décida de lui faire fréquenter un peu plus les couloirs de la bibliothèque. Ce n'est certes pas frère Konrad qui me poussa à dévorer des dizaines d'ouvrages, mais le fait de fréquenter l'imposante bibliothèque de l'abbaye Sainte-Blanche dont les ouvrages recueillis venaient des quatres coins de l'Europe aristotélicienne et même au delà ! Ma curiosité allait de paire avec le vaste nombre de rouleaux de papyrus et de codex en tout genre, et sans oublier les nombreuses versions des Logions. Je profitai des siestes de mon maître pour assouvir cette soif de savoir. Un auteur me resta inoubliable : Guillaume le Bleu. Son sens de l'intuition était colossal, il cherchait simplement la vérité, voila ce qui me plaisait ! Ma vision de l'Eglise et de la vie changea radicalement. Sorti de mon noviciat je pris la place de frère Dronad que l'on retrouva mort affalé sur la table lors d'un repas, consultant de plus en plus d'ouvrages notamment des hagiographies sur François de Gênes, les textes étonnant de Françis du Lard s'appuyant sur sa logique implacable, ou encore des textes antiques comme Hérodote ou Aristote. J'avais acquis une verve et une connaissance théologique importante, me lancant dans de sulfureux débats avec de nombreux frères.

En effet au début du XV, l'Eglise s'engrossit, le pouvoir la corrompt, en voyant mes frères amassant des sommes considérables sans bouger leurs ventres gras, passant la grande partie de son temps à compter leurs trésors, priant de temps en temps et recopiant des textes. Tout cela sans penser le moins du monde aux misères du monde extérieur, à la guerre qui déchire les sujets François aux perfides Anglois, aux nombreuses pestes et famines qui se déclenchent dans tout le royaume.

1415, les rumeurs comme quoi Henri V, roi d'Angleterre, aurait débarqué en Normandie se précisent et s'affirment. Deux ans plus tard, j'apprend la prise de Caen par Henri V malgré une vive resistance des seigneurs locaux. Un cousin était venu me voir à l'abbaye pour me prévenir, m'indiquant au passage que ma famille avait été décimée par les troupes d'Henri, mon père, mon frère étaient mort sur le champ de bataille, ma mère, elle, était morte de chagrin. 1419, Rouen est tombé, toute la Normandie est aux mains des Anglais.

Acquis à la cause Franciscaine, je demanda de partir du monastère, ce que le père abbé me permis. Je me retouve livré à moi même à Sens en pleine guerre de cent ans. "Foi,espérance,Charité" était ma devise en ces temps troublés, j'aidais sans compter. J'ai travaillé un temps dans une maison de charité, vivié de pestiféré, de lépreux et de soldats mutilés par la guerre. Ayant un forte connaissance théologique, je décide de me faire ordonner prêtre par l'éveque de Sens. 20 années à donner de ma personne et faire office de curé dans une petite paroisse de campagne. Entre temps, j'était retourné en communauté, dans le couvent franciscain de Sens, petite communauté mais très active surtout dans cette période. Les Franciscains avaient la ferveur populaire avec eux et effectuaient des actions forts louables, cependant la décadence les frappa. Leur idéal premier de pauvreté commença à s'émiétter, Saint François était loin.

En 1440, alors que le roy Charles VII est attaqué tant par les anglais que par son propre fils, je suis obligé de fuir Sens pour me diriger, accompagnée de quelques frères franciscains, vers Paris. Paris repris récemment par notre bon roi gràce aux précédentes actions pour le royaume de la divine Jeanne. C'est pendant cette période que je fis connaissance d'un homme saisissant de culture et d'intelligence, nos idées étaient proche et se trouvait être franciscain. J'appris après d'âpres discussions qu'il était doyen de l'Université de Paris. Raoul de Bègre était son nom. Raoul était âgés et fatigués de la vie et de ses étudiants, selon lui l'Université de Paris avait perdu de son prestige d'antan. La présence Angloise avait envenimé le fonctionnement du corps universitaire. Il me proposa un rôle de professeur de sciences historiques à l'Université, mais aussi pour redonner un coup de fouet à cet illustre corps.

Raoul commençait à perdre la tête tel Charles VI, la folie devint de plus en plus frappante. Les étudiants s'en donnaient à coeur joie pour le destabiliser et pour glousser de l'incohérence de ses propos. Il me demanda, un jour qu'il était dépité, de le remplacer à la tête de l'Université. Il se trouve que j'ai accepté. Je reste jusqu'à responsable de l'Université et accompagné d'illustres professeurs tant en arts libéraux qu'en grammaire, bien que j'ai délégué certains de mes pouvoirs à d'autres pour mieux administrer le corps Parisien.

Du retour de frèreNico en Champagne, et de la création du couvent franciscain

En 1450, le royaume renaît de ses cendres, le roy et sa nouvelle armée royale reprend possession de nombreuses terres. L'évêque de Sens, un ami que j'ai connu en étant frère avec lui au couvent, me propose un mission d'évangélisation. En effet, après les destructions de la guerre, la Foi a reculé laissant appraraître de plus en plus de cas de paganisme. Je serains installé un peu plus au nord, dans un village rebaptisé Sainte-Ménéhould lors de la rennaissance du royaume. Je pars donc seul dans ce modeste village de Champagne feint d'une mission évangélisatrice.

L'inexistence d'un prieuré Franciscain me donna l'idée de sa fondation, des fidèles me suivèrent peu à peu dans la voie de la pauvreté..

An de gràce 1453. Deux années denses et pleines de surprises viennent de se dérouler. Et je m'en vais vous raconter ces évènements récents qui ont bouleverser les royaumes. Je reprend donc mon histoire à Sainte Ménéhould, suivant ainsi la mission d'évangélisation et reconquète.

Un soir d'été, alors que je m'occupais de la cuissons de mes pains de sègles (un four à pain que j'avais acquis récemment), un messager de mon ami franciscain frère Poliskov vint me prévenir de l'imminence de la libération de la Normandie. Les bonnes villes Normandes s'émancipèrent une à une ; Dieppe, Lisieux, Fécamp, Honfleur, Bayeux, Avranches. La liesse était de mise chez les Normands. Dans mon humble habitat de Sainte Ménéhould aussi. Je préparais ainsi mon départ et donnait les dernières directives à mes amis. Après un brève passage à paris pour m'occuper de l'Université, j'arrivai enfin, après quelques jours de charette, dans cette fiers cité Normande : Avranches. Les Avranchais m'accueillèrent admirablement, me faisant oublier Sainte Ménéhould mais aussi cette pluie incessante. Une grande joie m'envahissais de retrouver cette terre où jadis mes ancètres avaient vécus, je fis quelques recherches tant qu'à leur destin mais je n'appris, à mon grand regret, rien de neuf. je fis donc définitivement le deuil de ma famille et rejoint ma nouvelle vie (a quelques 60 années de vie).

L'ordre franciscain continuait son chemin, essayant d'être toujours proche des principes de Saint François, car sa croissance pouvait éloigner certains frères de la vraie foi. Tant bien que mal, une réforme se fit pour s'adapter aux réalités du nouveaux royaume, en conséquence, de nouveaux frères se retrouvèrent au couvent suivant mes principes et ceux de Saint François. Bref le voyage de la vie allait sans peines et sans obstacles vers le but ultime de tout croyant : le salut. Je vous parle de cela car un évènement improbable brisa la monotomie de cette retraite en Normandie...

De l’extraordinaire histoire de son voyage en Angletterre, et de sa mort…

Un matin, par un temps pluvieux de Normandie, trois lourds chevaliers s'approchèrent de ma demeure. Sous une pluie battante, ils descendèrent de leurs chevaux cuirassés et se dirigèrent à ma rencontre. Quelle ne fût pas ma surprise quand j'aperçu, sur les écus de ces seigneurs, les armoiries royales ! Ils rèstèrent très courtois et aimable, me proposant sur ordre du roy une mission capitale. L'un deux, le seigneur de Roy, me fît prendre connaissance de mon devoir : "Votre réputation vous précède frère Nicolaïde, le roy n'est pas resté insensible à vos faits et gestes. Tout occupé qu'il est à reconstruire le royaume, il ne peut se permettre d'envahir ses hostiles voisins, pour cela une paix doit être conclue à l'aide d'une ambassade. Après moult réflexions, le roy a choisit des hommes de Dieu des plus sages et respectables. Vous en faite partit frère Nicolaïde."

C'est ainsi que je me retrouvais embarqué sur une galère Normande à Barfleur en compagnie des personnalités les plus érudites et diplomatiques du royaume. Le voyage se fît sans encombre et plutôt même dans une joyeuse allégresse. Nous avions proposé comme lieu de rencontre, l'abbaye d'Hastings, symbole de notre ancienne conquète sur l'Angleterre et gloire Normande. Le roi et toute sa cour nous accueilla étonnament bien, avec courtoisie et sympathie. Il se trouvait que le pays était en pleine guerre civile et que le roi voulait résoudre le problème le plus rapidement possible. La journée était belle et l'abbaye lumineuse. Mais cette joyeuse escapade prit fin le soir même. Le roi en effet avait dissimulé une tenace rancune envers les français et particulièrement pour certains de mes collègues arrogants, qui avaient, lors de la rencontre clairement froissé le roi. Avant même le début du dialogue sur la charte de paix, les choses s'étaient envenimées. L'archevêque de Rouen, éminent prélat, fut retrouvé mort dans son lit le lendemain matin, il est vrai qu'il avait sorti une phrase foudroyante au roi Anglois : " Seigneur, tout roitelet que vous êtes, croyez vous vraiment que nous allions nous laisser envahir par vos barbares tels les Seldjoukides annexant Byzance ?" La diplomatie Françoise possédait en effet, quelques lacunes.

Le lendemain, il régnait un véritable contexte inssurectionnel, les uns accusant les autres de complots, les gardes s'attaquant aux autres gardes et les morts se multiplièrent. Le roi autorisa les diplomates françois à retourner, la queue en quenouille, jusqu'à leur embarcation. Toutefois, il se trouve que je fît parti des morts, du moins on le croyais, et on le raconta à notre bon roi Charles VII.

Un mauvais coup sur la tête me fît partir dans les limbes de mes visions. Qui m'avait fait ça ? Je ne saurais répondre. Je me suis retrouvé quelques heures plus tard dans la salle de réception royale, en compagnie de roi et quelques nobles. Après le temps de reprendre conscience, une agréable discussion s'amorca entre nous. Il me prévint de la préparation d'une embarcation pour rejoindre ma patrie, mes collègues me croyant mort, ils étaient partis sans moi. Il se trouve que le roi d'Angletterre connaissait certains de mes faits, il était très savants, et connaissait de réputation mes enseignements à l'université de Paris. Nous eumes diverses discussions, sur la scolastique par exemple ou encore sur l'autorité Pontificale. Quelques jours après, le roi tint promesse et me renvoya dans la patrie.

J'allais de surprises en surprises, la population apprenant ma mort, eu des réactions très fortes. Me rendant hommage, préparant mes funérailles et accusant les fourbes Anglois. L'ordre francisain était perturbé, ne sachant que faire dans ces moments de tourmentes. Ma venue en rassura plus d'un, et la vie reprit son cour habituel à Avranches. Mais mon histoire ne s'arrête pas là, loin s'en faut.
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