Loi martiale et problèmes

Strakastre a écrit:

Citation :

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Au Peuple d'Armagnac et de Comminges,
A toutes celles et ceux qui liront ceci,

Attendu de la situation de crise militaire en la ville de Saint-Bertrand-de-Comminges, placée illégalement sous tutelle franche par l'armée La Magnifique, dirigée par Messire Lucasdeminestrol,

Attendu que cette tutelle imposée met gravement en péril les activités d'élevage, économique, universitaire et judiciaire des habitants de ladite ville, habitants qui subissent de fait ces carences sans les avoir désirées,

Attendu que le statut actuel de la Ville de Saint-Bertrand-de-Comminges risque de l'exposer aux convoitises territoriales d'autres provinces ou groupes dissidents et ainsi, remettre en cause la légitimité de la souveraineté originelle de l'Armagnac et de Comminges, accordée par Sa Très Aristotélicienne Majesté Levan III de Normandie,

En conséquence, nous, Charles de la Croix de Bramafan, en notre statut de VIIIème Comte d'Armagnac et de Comminges, pour une durée préliminaire de 6 jours francs, à compter du Seizième de Mai de l'An Mil Quatre Cent Cinquante Sept :


• instaurons en première instance, la loi martiale sur l'ensemble du Territoire d'Armagnac et de Comminges, y compris la Ville de Saint-Bertrand-de-Comminges ;
  
  
• plaçons, en seconde instance, la Ville de Saint-Bertrand-de-Comminges en état de siège, jusqu'à la restauration de la souveraineté effective de l'Armagnac et de Comminges sur l'ensemble des terres concernées et le rattachement effectif et officiel au Comté d'Armagnac et de Comminges.


En conséquence, et en vertu de la Loi Martiale instaurée :

> tout sujet reconnu d'Armagnac et de Comminges est libre de circuler sur l'ensemble du Territoire, en respect des lois et usages en vigueur ;

> tout sujet étranger à l'Armagnac et Comminges, sauf forces armées alliées d'Armagnac et de Comminges par traité ou convention avec les autorités comtales, est tenu d'obtenir un Sauf-Conduit délivré par le Prévost des Maréchaux Altania, avant de pouvoir circuler et/ou stationner sur l'ensemble du Territoire ;

> tout Marchand Ambulant devra impérativement se signaler dans toute Mairie d'Armagnac et de Comminges qu'il traversera et devra impérativement obtenir un Sauf-Conduit délivré par le Prévost des Maréchaux Altania, sur consultation du Maire concerné et avis du Commissaire au Commerce Comtal Le Chiffonier, avant de pouvoir commercer sur tout marché municipal et comtal ;

> la levée du Ban nobiliaire est confirmée ; ainsi donc tout Vassal d'Armagnac et de Comminges, où qu'il se trouve, est rappelé au service du territoire d'Armagnac et de Comminges ;

> les forces de la Défense Civile sont mobilisées pour la surveillance des villes d'Armagnac et de Comminges ; les volontaires doivent se faire connaitre auprès du Capitaine Comtal Philipaurus ou du Prévost des Maréchaux Altania ;

> la vente d'armes (épées, manches, boucliers), sur l'ensemble du Territoire, est strictement réservée aux forces armées de la F.A.D.A.C., aux Vassaux de l'Armagnac et de Comminges (nobles en titre) et aux autorités d'Armagnac et de Comminges ;

> la vente de fer et de pierre est strictement interdite à tout sujet / marchand ambulant étranger sans accord préalable du Comté d'Armagnac et de Comminges.

En vertu de l'état de siège décrété :

> les forces de la F.A.D.A.C. présentes à Saint-Bertrand-de-Comminges, placées sous autorité du Chef d'Armée NKhan, ont ordre d'interception et de mise hors d'état de nuire des responsables de la mise sous tutelle franche de la Ville de Saint-Bertrand de Comminges et, par extension, de tout groupe armé, de quelque origine que ce soit, qui tenterait de remettre en cause la légitimité de la souveraineté de l'Armagnac et de Comminges sur la ville de Saint-Bertrand-de-Comminges ;

> les forces de la F.A.D.A.C. sont autorisées à reprendre le statu-quo de la ville de Saint-Bertrand-de-Comminges et à procéder à son rattachement au Territoire d'Armagnac et de Comminges.

Le Comté d'Armagnac et de Comminges réaffirme son soutien entier et sans réserve, ainsi que son assistance, aux vaillants soldats de la F.A.D.A.C. et leurs alliés ainsi qu'aux habitants de la Ville de Saint-Bertrand-de-Comminges qui s'opposent aux dérives engendrées par les choix irraisonnés de Messire Lucasdeminestrol, et souhaitent par leurs actions retrouver leur appartenance originelle au Territoire d'Armagnac et de Comminges.

Qu'Aristote nous guide sur la voie de la Paix bientôt retrouvée, pardonne à celles et ceux ont versé vers le Malin, et bénisse les défenseurs acharnés de notre belle terre d'Armagnac et de Comminges.


pour l'Armagnac et Comminges, par la voix de Charles de la Croix de Bramafan, dict 'Strakastre', VIIIème Comte d'Armagnac et de Comminges,
pour valoir ce que de droit, à compter du Seizième de Mai de l'An Mil Quatre Cent Cinquante Sept.

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Je crois que je vais retourné de ce pas en ma contrée. Je vois avec Stra s'il a besoin d'aide.

Citation :

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Pòble de Armanhac e de Comenge,
A tout ceux qui liront ou se feront lire

Considérant le risque de troubles révélés par les services internes;
Considérant le nombre élevé d’étrangers relevé par la prévôté;

Nous, Davidgradir, XIème comte régnant d’Armagnac et de Comminges

Ordonnons l’état de siège en nos Comtés ainsi que la loi martiale sur l’intégralité du territoire.

• Tout passage des frontières, non autorisé par les autorités comtales est interdit, dans les deux sens.

• Les sauf-conduits seront octroyés par le prévôt des maréchaux ou par le comte Davidgradir.

• Seules les forces de la F.A.D.A.C., de la Prévôté, de la défense civile, des milices communales, dépositaires de fait de l'assentiment comtal ont droit de constitution de corps d'armes et de lances en terres d'Armagnac et de Comminges.

• Tout corps d'armes ou lance créé ou entrant sur les terres d'Armagnac et de Comminges devra faire l'objet d'un passe droit délivré par le Comte, le Capitaine, le Prévôt des Maréchaux.

• Les personnes créant un corps d'armes ou une lance, sans autorisation, et dont la destruction n'est pas constatées après sommations d'usages seront poursuivis pour Trouble à l'Ordre Public.

• Précisons que le présent décret n'ôte en rien le droit coutumier alloué à nos vassaux les plus fidèles de constituer lances pour assurer la défense de leurs personnes, de leurs terres et de leurs gens.

• Ce décret, entre en vigueur dès sa promulgation, soit le XVII ème jour du mois de Novembre de l'an de grâce MCDLVII et cela pour une durée indeterminée.

• Les étrangers n’ayant pas reçu d’autorisation de séjour sont priés de quitter le territoire dans un délai de 48h à compter de la parution de ce décret.

• Passé ce délai, toute personne non-Armagnacaise, ou non autorisée par un sauf-conduit qui sera encore présente dans notre Comté sera passible de poursuites judiciaires.

Davidgradir,
XIème comte d’Armagnac et de Comminges
Ecrit et scellé au castel d’Auch en ce XVIIème jour du mois de Novembre de l’an de grâce MCDLVII

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Citation :

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Par la présente, Nous, Cloé d’Albizzi, Comtesse d’Armagnac et Comminges,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,
Peuple d’Armagnac et de Comminges,
Annonçons ce qui suit :

Décidons de fermer les frontières de l'Armagnac et du Comminges devant les menaces de brigands.

Tout individu étranger se trouvant en Armagnac et Comminges est prié de quitter le comté dans les 48 heures par la frontière la plus proche ou bien de procéder à une demande de laisser-passer auprès du Prévôt, Sire Arthur_Pendragon, sans quoi il pourrait être poursuivi en justice.

Tout individu étranger entrant ou se trouvant en Armagnac et Comminges sans ledit laisser-passer, qu’importe la raison, se verra traduite en justice sur le champ pour trouble à l'ordre public et considéré comme ennemi de nos armées.

Nous conseillons vivement aux Armagnacais et Commingeois de participer à la défense de leur village et de ne pas se déplacer.

Tout emménagement en Armagnac et Comminges est interdit sauf accord des autorités sous peine de poursuites judiciaires.


Ceci prend effet immédiatement et ce jusqu'à nouvel ordre.

Puissent ces paroles être entendues et acceptées de tous,
En vous remerciant de nous avoir lue.



Rédigé en le Castel d’Auch,
Le Vingt-Deuxième Jour du Mois de Mai de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante-Neuf

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Ca a eu le temps de changer, mais aucune annonce annonçant la réouverture des frontières n'a été publiée à ma connaissance.