le retour du viel ours

Que faire ? Cette question , il avait eut le temps de se la poser mainte et mainte fois , de poser le pour et le contre de chaque réponse possible ...
Certes , il n était plus ours depuis belle lurette , mais la devise sonnait toujours dans sa tête : ours un jours , ours toujours ...
Et puis il n abandonnait jamais en cours de route ces amis de voyage , même pour des galères sans fin ...
Chinon commencer à lui sortir des yeux , certes son vin été très fameux mais la nourriture n était pas digne d une auberge pour grands voyageurs cela faisait déjà 44 jours qu il tournait en rond ...
Ayant encore un jour avant d être définitivement rétabli , il claudiqua jusqu'au poste de garde

Bien le bonjour à vous
je suis athos d argentan venu défendre les idées du royaumes de France , de sa reyne et la liberté de son peuple .
je souhaiterai retrouver place au sein de mon groupe de départ ou d un autre afin de continuer la lutte .
je sais bien que sans équipement , je suis peux crédible , mais je saurai le cas échéant me servir de mon marteau de forgeron pour rectifier 2 ou 3 figure bretonne ou ponantaise

Ayant plus rien d autre a dire , il s accota a mon le mur d entrée , attendant qu on lui donne les directives à suivre ou qu on le fasse déguerpir ...

re-bonjour
j attendais du fait de mon message qu on me donne accès a la nouvelle salle afin que je puisse connaitre mes ordres et itinéraires
a part des personnes venu voir mon messages personnes n a daigné faire un commentaire , un claquement de cil
sacré bureaucratie que vous avez ici , m étonne pas que l on prennent des branlée par les armée bretonne et ponantaise
je passe dire un coucou a Vendôme en prenant une route que je pense être correcte
et après je rentre chez moi
au moins la j aurai pas d ordre a attendre

toujours en mode grande gueule et tête de con
sur ceux bon joujou avec vos marionnettes et continuer à péricliter

Revenant du Maine, une ombre passa à coté d'un gueulard.
Lourde cape sur les épaules, capuche sur le museau, besace en bandoulière, bâton de marche à la main senestre, elle dépassa l'impatient d'un pas calme et serein.
S'approchant du garde, elle attendit que la herse se lève.
Ses yeux de brume rivés sur l'intérieur de la forteresse, elle parla d'une voix calme, posée.

Il attend depuis combien de temps ?

Il est arrivé avant hier.

Silence, alors que doucement la lourde grille se lève. Dos à l'homme qui s'agite derrière elle.

Impatient

Oui

Crissement familier quand la levée s'arrête. Puis, elle se remit lentement en marche, passant le seuil de la forteresse, et se tourna de trois quart braquant ses yeux couleur de pluie sur l'inconnu. Parlant au garde.

C'est quand je vois ce genre de soldat que je ne m'étonne plus que la guerre tourne mal.
IL va bien ?

Parlant bien évidemment de Blackhorn, responsable du poste de garde de la forteresse. Lui, non présent, pouvait laisser entendre qu'il puisse être souffrant. Mais parfois, il y a des priorités qui ne souffrent pas de précipitation. S'il n'était pas là, c'est qu'il y a avait une raison. La patience est la première vertus des Justes. Bien pour ça d'ailleurs qu'il y a tant de "têtes de con" en ce bas monde. Trop impatients.

Oui

Alors le reste importe peu

Se détournant du gueulard, elle fit un léger salue au garde qui abaissa la herse. Dernier regard impassible au visiteur, puis, elle se détourna de lui et continua son chemin au cœur de la forteresse de la Licorne.