De la chair fraiche...

Missive reçu de Julios qu'elle était attendu à la forteresse, non pas qu'elle la désertait ses derniers temps, plus que ses préoccupations étaient ailleurs... Mais rien ne l’empêcherait de remplir ses fonctions, même pas l'arrivée de son premier enfant!

Il fallait qu'elle se remette dans le bain, jamais elle n’avait accueilli hommes ou femmes d'armes encore, c'était ses premiers, non pas qu'elle n'en avait pas eu, quelques uns étaient déjà là à sa nomination. Mais soit, ils avaient désertés les murs de Ryes, soit ils avaient continués leur route dans la voie de la chevalerie et étaient maintenant écuyers.
Bon comment s'appelait ceux qu'elle devait réceptionner ? Comment allait elle le retrouver ? Ils avaient déjà dû passer la herse, et avaient dû être dirigés soit vers leur dortoir ou encore vers l'infirmerie...
Prendre un panneau et se placer a un endroit stratégique avec leur nom inscrit dessus ? Non cela n'était pas encore un moyen de trouver facilement les gens... Bon bah alors elle allait ouvrir la salle de réunion et surveiller le moindre bruit espérant qu'ils arriveraient seul jusqu'à là...

Huummmm Albin d'Ar Sparfel et Bertrand...

Et en souriant...

Petits, petits, petits...

Bertrand qui se trouvant en compagnie de sa sœur écuyère a la taverne de l'ordre. Des bruits dans les salles voisines piquèrent sa curiosité.

Il sorti prestement de la taverne et avisa un vélin sur une porte voisine qui supportait son nom.
Etonné Bertrand poussa la porte, mais ni Julios ni Alfgard ne l'avait prévenu de cette rencontre avec une autre sœur de l'ordre.

Une fois face à cette nouvelle sœur il se présenta:

Bertrand de la Reynie, nouvel écuyer de l'ordre, et filleul de sœur Alfgard. Vous semblez me chercher?

Elle tourna la tête vivement... Surprise... Toussota, regarda de la tête au pied l'arrivant quand soudain nouveau coup à la porte, on venait lui transmettre deux missives.

Excusez moi!

Elle les ouvrit et son teint dû passer par toutes les variations possibles entre l'état naturel d'une peau et le rouge cramoisi bien moisi... 'Fin bon n'exagérons pas non plus c'était de la rousse qu'il s'agissait, avant qu'elle ne perde la face pour une erreur de nom... Elle prendrait le temps de se flageller plus tard, pour l'heure il était sage de... De se confondre en excuse ? Nan, impossible ça, mais au moins de renvoyer l'écuyer d'où il venait.

Ahemmmm, euh oui, mais non.

Elle fit mine de se concentrer sur un vélin, comme si elle le lisait. Retroussa son nez comme elle savait si bien le faire... Puis releva la tête vers Bertrand.

Je vous prie de m'excuser j'ai commis une erreur en relevant les noms. Vous pouvez retourner à vos occupations.

Elle lui esquissa ce qui pouvait ressembler le plus a un sourire et se plongea à nouveau dans le fameux parchemin...

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Une lettre arriva, juste le temps de passer par l'infirmerie et Albin se rendit à la pièce indiquée. La chaleur pesante et un séjour chez les moines afin rendu un peu de fatigue chez l'Ar Sparfel.

Toutefois se tenant bien droit il se présenta devant la personne qui devait être celle qui lui avait écrit.

Bonjour ma Soeur, je suis Frère Albin. Est ce vous qui m'avez demandé?

Au passage, l'Ar Sparfel salua Frère Bertrand qu'il avait croisé en arrivant.

Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 14/04/2013

La rousse avait suivi les ordres à la lettre, d´abord poser ses humbles biens dans ses quartiers ou plus simplement son lit. Elle n´avait pas grand chose et ne voulait rien, ce qui aidait parfaitement pour un rangement rapide. Pour une fois qu´une femme n´avait pas des montagnes de valise. Ensuite, il y avait eu le passage à l´infirmerie, avec des questions qui la perturbaient un peu sur les bords. Qu´est ce que cela pouvait bien leur faire qu´elle soit mariée ou célibataire? Ils comptaient la mettre dans un coin car elle n´avait pas de bague á son doigt. Mais l´oiseau n´avait rien, remplissant la feuilke et etouffant des remarques cinglantes. Il est vrai que la communication ce n´était pas son truc, mais pour défendre ses interets, elle se transformait en une oratrice de taverne de premier plan. Comprennons dans cela, l´usage intensif de propos imagés qui font siffler les oreilles. Même si on lui avait appris la belle langue française.

A la sortie de la salle du médicastre, la rousse se dirigea vers les écuries. Lieu qu´elle ne trouva pas dans l´immédiat, le problème des nouveautés on se perd toujours. Elle qui voulait approcher au plus tôt un quadripède ou comme on les nomme, des chevaux. Ses jambes avaient été son moyen de transport privilégié, maintenant, il fallait rencontrer le nouveau. Seulement, trouver l´écurie était son problème du moment. Elle finit par demander son chemin avec son air le plus innocent. Le hic, elle devait rencontrer une nouvelle personne, une sorte de guide. Les écuries attendraient, direction son mentor. Ce fut assez simple, ses noisettes avaient repéré un homme d´arme qui venait lui aussi de debarquer, elle se mit à la suivre. Soit il la menait à son but, soit dans une zone réservée pour les hommes. Une chance sur deux, un virage à droite, puis à gauche et miracle, l´objectif était là. Un pas pour sortir de l´ombre et se présenter.

Je suis Arya, nouvellement nommée femme d´arme.

Un qui partait deux autres qui arrivaient, bah ça devaient être les bons cette fois... Elle releva donc le nez de son parchemin, et les scruta d'abord tour à tour avant de lâché un simple...

Bonjour à vous deux!

Puis se reprenant elle continua sur sa lancée.

Vous pouvez rentrer un peu plus je ne vais pas vous mordre, du moins pas encore!

Elle sourit intérieurement mais ses lèvres elle ne se dessinèrent pas, décidément elle ne changerait jamais... Et de toute façon ils n'étaient pas là pour prendre le thé ni bavasser des heures sur les dernières tenues à la mode du royaume... Ses yeux n'avaient pas quitté les arrivants, de bout derrière son bureau le parchemin toujours à la main, elle finit par le poser, contourna le mobilier et vint appuyer son arrière train dessus, croisa les jambes, attendant un pas de l'un ou de l'autre, un signe un geste... Une fuite ? Non elle plaisantais intérieurement, elle espérait plus des prises d'initiatives, les sentir à l'aise, tout en restant à la place qui étaient la leur...

Bien, je suis Ewaele, votre responsable, je suis ici pour vous guider, vous accompagner, vous diriger, pendant la période plus ou moins longue ou vous serez homme et femme d'armes.
N'attendez pas de moi que je vous dise quoi faire a chaque seconde, par contre comptez sur moi pour remuez le derrière quand cela sera nécessaire.
Rapidement chacun votre tour, vous allez vous présenter que chacun sache un minimum qui est l'autre, vous me direz aussi par où vous êtes passés déjà en arrivant ici... Infirmerie, le dortoir et ainsi de suite, que l'on prévoit quand même un tour de la forteresse, afin d'éviter de vous perdre dans un couloir, les cachots ou je ne sais où encore...

Elle s'arrêta un temps et tourna la tête vers son bureau, changea de vélin...

Je ne sais pas si vous êtes déjà au courant vu que vous arrivez, mais on cherche une personne pour le poste de garde et vous avez le droit de poser votre candidature si cela vous intéresses. Je vous laisse y réfléchir, mais faites vite je crois que le dossier sera clos le 6 à minuit. Ce sont deux postes d'assistants qui sont ouverts aussi bien aux écuyers qu'à vous mêmes. Bref, le cas échéant c'est à Julios qu'il faut écrire par missive privée.

Elle se tût enfin, avala sa salive les scrutant toujours, maintenant c'était à eux de prendre la parole... Qui se lancerait le premier ?

Nombre de messages : 534 Date d'inscription : 12/03/2013

Une rousse arriva lui faisait suite.

Puis il écouta la responsable parler.

Il répondit.

Cela veut dire quoi "quand c'est nécessaire"?

Il se présenta en premier même si Albin si galant d'habitude aurait mieux aimé laissé la rousse commencer.

Je suis Frère Albin d'Ar Sparfel, je réside à Bourganeuf dans le comté du Limousin et de la Marche, accessoirement noble de l'arrière ban Mainois, j'ai 19 ans et quoi dire de plus sur moi...j'aime les joutes, j'aime la soule, boire et rire enfin l'essentiel est dit. Ah non avant j'ai habité Mayenne..un cauchemar de ma vie et une blessure profonde je parle de blessure physique j'en porte une cicatrice sur l'épaule gauche d'une tentative de meurtre dont j'ai été la victime, puis Laval où j'ai été pendant un mandat municipal conseiller au commerce de la ville et à côté ambassadeur puis vice chancelier du Maine ainsi qu'enquêteur pour la Grande Prévôté de France entre temps j'avais aidé aussi le prévôt de Champagne de cette époque où sans résider dans en Champagne j'étais son adjoint. A mon adoption par Hersent d'Ar Sparfel, j'ai quitté le Maine puis aller en Champagne où on m'a nommé Chambellan et douanier de la ville de Varennes. j'étais jeune j'avais 14 ans et amoureux et une déception amoureuse m'a fait tout quitté et besoin de me ressourcer dans le Bearn auprès de ma suzeraine. Une fois là bas je me suis engagé chez les hospitaliers pour être avec la fille de ma suzeraine mais cruelle erreur que de venir ou faire quelque chose pour une autre personne que pour soit même et j'y suis parti au bout de quelques mois. Puis quelques mois sur les routes à voyager et je me suis installé à Bourganeuf en février de cette année et depuis j'y réside.
Actuellement dans le Limousin j'y suis ambassadeur, archiviste politique et lieutenant royal. Le plaisir de vivre que j'y avais trouvé m'a donné l'envie de m'investir et j'ai aussi intégré la prévôté du Guet Royal de la ville de Paris. J'étais fiancé jusqu'à il y a peu à Soeur Anna Jagellon qui attend mon enfant mais le destin a fait que l'on ce soit séparé et lorsque celle ci était maire de Bourganeuf pendant ces 2 mandats j'y étais tribun.
A savoir qui je suis diplômé de médecine et en herboristerie.
A savoir aussi que récemment j'ai été aidé la Champagne contre le Fatum, l'Eldorado et La Main notamment à reprendre la ville de Varennes qui avait été prise par Santiagorricardo cela m'avait coûté un poutrage, un séjour dans un hospice et tout ce qui s'en suit.
Je suis toujours volontaire pour aider, toujours prêt à m'investir et volontaire pour des missions.

Puis se tournant vers la responsable.

J'ai aussi postuler pour le poste de garde, pour le dortoir..peut on simplement dormir dans une tente dans un jardin? Je préfère parfois la solitude à la foule et à la collectivité même si ici nous sommes en famille je suis plutôt du genre solitaire.

Il laissa la parole à Arya

Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 14/04/2013

Les mains croisées devant elle, la rousse se mit à suivre la troupe. C'était tout de même mieux que de rester dans un couloir, tel une chope sur une table. Oui oui, la gamine commençait à employer les métaphores tavernesques. Il fallait bien s’intégrer et d'après ce que ses noisettes avaient pu observer, la boisson jouait un rôle central dans un bon nombre de conversations. Il faudrait d'ailleurs, qu'elle se penche sur la Boulasse. Une sainte qui parait-il possède une fontaine qui recrache de l'alcool. D'un geste, sa main remit en place une mèche avant de prendre place. Puis vint son passage favoris: écouter. D'abord, celle qui devrait les guider, les informations de base et bien entendu la petite présentation. Cette dernière action, la rouquine connaissait bien, elle l'avait fait auparavant pour son entretien. C'était un exercice qu'elle arrivait presque à maitriser, parler de soi ce n'était jamais évident, surtout quand son humble vie se résumait en une phrase. Cependant, il ne fallait pas avoir honte de son inexpérience sur le terrain brute de la guerre. Après tout, elle était une coupe vide qui demandait qu'à être remplis. Ce qui était plus facile que l'inverse, non? Ensuite vint son collègue, comme prévu il avait fait un tas de choses. Forcement son discours ferait pâlichon à côté, mais la peur n'entrait pas dans son catalogue de mots, enfin pas officiellement. La peur était tout de même pratique par certains côtés.

Hum, je suis Arya, j'ai vécu en Anjou. Puis lorsque j'ai pu, j'ai pris mon balluchon pour parcourir le royaume autant que possible. J'ai, pour l'heure, terminé ma course à Orléans. J'ai intégré l'ost un temps, avant de le quitter pour cet ordre. J'ai tendance à aller droit au but et à éviter d'épiloguer outre mesure.

Léger sourire pour paraitre aimable, ça aussi, la rousse l'avait piqué, à une marchande pour être précise. Visiblement, les clients avalaient mieux la somme dépensée pour une babiole.

J’apprécie la lecture, j'ai d'ailleurs pu voir à travers ma... promenade à travers la forteresse qu'il y avait une bibliothèque. Mon problème majeur, actuellement est que je suis une véritable néophyte dans l'art de la cavalerie. Heureusement, je sais où se trouve l'infirmerie, si jamais j'en ai le besoin après mon passage à l'écurie.

Sujet: Re: De la chair fraiche... Dim 8 Sep 2013 - 12:56

Après un tour dans les endroits nécessaires, je venais me joindre à ce groupe comme me l'avait proposé Julios. Je n'aimais pas arrivé en cours de route mais bon. Je saluais les personnes présentes.

Bonjour, je m'appelle Malwyn, je viens d'arriver il y a peu, on m'a dit de me joindre à vous.

Je souris à l'assemblée, attendant qu'on me donne le droit de parler.

Nombre de messages : 534 Date d'inscription : 12/03/2013

Un autre individu arriva. Il se présenta, l'Ar Sparfel le salua avant de se présenter à lui
Enchanté mon frère je suis frère Albin

Sujet: Re: De la chair fraiche... Mar 1 Oct 2013 - 10:14

Houla , la rousse avait du avoir un blanc plus ou moins long, il faut dire aussi que plusieurs choses lui trottaient dans la tête et qu'elle avait ses derniers temps de plus en plus de mal à faire la part des choses, elle avait espéré avec l'arrivée des nouveaux hommes et femmes d'armes pouvoir s'impliquer de nouveau comme avant et laisser ses préoccupations derrière elle... Mais cela était plus souvent facile à dire qu'a faire... Elle avait de plus en plus souvent comme un léger souffle dans la tête, un souffle... Souffle d’Éole qui la faisait voyager loin pour essayer de rejoindre sa moitié mais toujours sans succès...

Elle avait bien écouté les propos d'Albin et d'Arya... Même si elle pouvait sembler absente, rien ne lui avait échappé pour l'instant... Au moment ou elle allait prendre enfin la parole, un individu déboula dans le bureau, elle ouvrit des yeux ronds, sortant du coup de sa torpeur...

Bien bien... Je ne suis pas au courant mais je suppose que vous n'êtes pas arrivez ici par hasard alors comme les autres viennent de le faire, vous allez vous présenter me dire si vous avez pu ou pas voir déjà différent lieu de Ryes... Et après on se bougera un peu le popotin si non on risque de prendre rapidement racine...

Silence... Elle fit demi tour leur tournant le dos , puis revint sur le visage du dernier arrivant, les autres le savent déjà mais répéter n'est jamais négatif, a ce qu'il parait ça rentre mieux dans les caboches!

Je suis Ewaele, responsable des hommes et femmes d'armes, ici pour vous guider, vous accompagner, vous diriger, pendant une période plus ou moins longue, cela dépendra de vous il en va de soit.
N'attendez pas de moi que je vous dise quoi faire a chaque seconde, mais dites vous que je ne serais jamais loin, surtout si c'est pour vous faire bouger!!!

Esquisse d'un sourire, plus carnassier qu'autre chose cette fois, elle laissa donc la parole a celui qui se faisait appeler Malwyn!

Sujet: Re: De la chair fraiche... Ven 4 Oct 2013 - 22:45

Je saluais la dame.

Enchanté Madame. Je suis Malwyn Nicholas Cooper. Je vis à Montpellier, enfin pour le moment. J'ai un peu vécu partout, je n'ai pas de ville d'attache. J'ai toujours voulu être des vôtres. Cela fait 3 ans que je tente et enfin on me donne ma chance de prouver que je mérite cette place. J'ai déjà vu le dortoir, l'infirmerie et euh...un endroit dont j'ignore le nom. C'est un endroit ou on peut proposer son aide.

Il s'était fait tirer les oreilles pour avoir parler dans les dortoirs. Fichtre, fallait-il faire voeu de silence dans cet ordre? La rousse dirigeant ces lieux l'amena jusqu'ici... Dorn en silence regarda les gens qui étaient déjà là, et écouta, attendant que son tour de parler ne vienne.

Un bref instant après avoir croisé la rousse au dortoir, Anthy se dirigea vers le bureau ou il semblait falloir se rendre. Il ne connaissait point trop l'endroit et suivait un peu comme l’âne suit la carotte ne cherchant pas la raison de cette pièce. N’était ce pas le principe d'un nouveau soldat avancer sans se poser de question ?

Il se contenta d'attendre, espérant au moins savoir ce coup-ci, quel grade avait la donzelle rousse afin d'avoir peu être une idée de ce qui l'attendait. Un entrainement, une beuverie improvisé ? Concours de levé de coude, torture ? Il s’arrêta une fois être arrivé dans la pièce et attendit comme son frère d'arme d'en savoir un peu plus.

Sourire en coin... Cela était dans ses habitudes tout en avançant... Puis elle poussa la porte et se laissa choir sur son siège, monta les pieds sur son bureau toujours par habitude, puis réalisant la scène les reposa aussi sec au sol...

Regard perçant vers les deux nouveaux hommes d'armes, les scrutant un poil amusée... Quoi c'était son droit non ?

Hum... Bien. J'ai convoqué les autres hommes et femmes d'armes afin qu'ils nous rejoignent icelieu. Nous allons patienter un peu mais pas trop non plus, s'ils se font trop attendre nous iront visiter la forteresse de Ryes afin que vous y preniez vos marques du moins si vous y arrivez!!!
En attendant une petite présentation de chacun ne serait pas de trop non plus que je sache qui est qui quand même...

Et ses yeux passaient sans cesse de l'un à l'autre afin de savoir qui était Anthy et Petitfrèrekoala...

Donc reprenons. Ewaele, cavalière à la licorne, je suis aussi responsable des hommes et femmes d'armes, c'est à dire que vous allez m'avoir sur votre dos régulièrement...

Nouveau sourire en coin mais cette fois face au deux hommes...

Nombre de messages : 534 Date d'inscription : 12/03/2013

Une lettee et Albin prit le chemin de la tour Hestia rejoindre la salle des hommes d'armes. Depuis il avait prit ses marques et sans difficulté il y arriva.

Saluant l'ancien duc de Touraine, snobant Anthy avant de saluer Ewaele.

Soeur Ewaele me voila.

Puis aux autres.

Bonjour aux nouveaux même si on se connait je suis Frère Albin.

Il regarda la rouquine s'installer à son bureau. Elle devait aimer son statut visiblement. Comment la blâmer? Dorn avait tendance à faire pareil dès qu'il avait une chaise et un bureau de disponible. Elle regarda le Koala et Anhy avec un petit sourire amusé. Et le grand bourguignon lui rendit exactement le même.

Elle voulait qu'ils se présentent, et s'amusa à remarquer qu'elle serait sur leur dos régulièrement. Dorn prit donc la parole.

Je suis Dorn Rogal, dit Petitfrerekoala. Capitaine des Dragons, ancien Duc de Touraine depuis moins d'une semaine. Et si je peux me permettre, j'aimerai mieux vous avoir autrement que sur mon dos.

Et il rajouta un petit sourire en coin bien identique à celui qu'elle arborait en les regardant. Il vit alors entrer Albin, qu'il avait côtoyé à la Chancellerie, lui était ambassadeur et Koala était Duc. Il inclina la tête par respect pour le jeune homme.

Écoutant la rousse, Anthy fit un sourire a Dorn quand il se présenta, alors comme ça il est un ancien Duc. Il attendit un instant voyant arriver Albin avant de se présenter a son tour.

"Pour ma part, je suis Anthy, actuel Maire de Bordeaux, je me taierai sur mes expérience passé puisque je n'aimes point trop déballer a part si vous me demandez."

Puis il fit un sourire amusé quand elle dit qu'elle allait être sur leur dos; il se demandait si c’était dans le sens ange-gardien ou père fouettard. Enfin bref, l'essentiel était qu'il avait affaire a une cavalière, d'ailleurs il en connaissait une se disait il a cet instant.

Il fut ravie de savoir que ce qui l'attendait n’était pas une séance de torture mais une visite guidée de cette forteresse qui semblait bien grande.

Je saluais les nouveaux arrivants.

Bonjour, je suis frère Malwyn, arrivé récemment à l'ordre.

Bien, bonjour à tous... Nous n'allons pas attendre Aria...

Vous allez faire des binômes. Albin et Malwyn vous allez faire la visite de Ryes à Petitfrèrekoala et Anthy. Vous n'oublierez pas en passant par l'infirmerie de remplir les fiches pour ceux qui ne l'ont pas encore fait. Je vous laisse créer les groupes comme vous le désirez. Je reste ici a ce bureau si jamais il y a un soucis. Quand vous aurez fini on se retrouvera icelieu et nous nous rendrons tous ensemble dans la salle d'armes.

Elle se leva et se dirigea vers la porte, l'ouvrit afin de leur faire comprendre que le moment était venu de la laisser.

Nombre de messages : 534 Date d'inscription : 12/03/2013

Devant la proposition d'Ewaele sans hésiter l'Ar Sparfel prit les devants c'est qu'on allait pas se retrouver avec un meurtre à Ryes si on le laissait seul avec Anthy alors devant la proposition.

Je vais avec Dorn.

Il regarda son voisin, dont il avait fait la connaissance un peu plus tôt.

A tout à l'heure Anthy!

Puis il s'avança vers son guide.

Je te suis alors, Albin. Je peux t'appeler Albin où je dois t'appeler autrement ici?

Nombre de messages : 534 Date d'inscription : 12/03/2013

Le suivre, le suivre même lui avait encore du mal encore à prendre ses repaires. Toutefois la question de Dorn était intéressante mais ici tout est différent.

Ici vous pouvez m'appelez Albin et non votre Excellence ou je ne sais quoi. Si vous le souhaitez on peut commencer par l'infirmerie? A moins que vous y êtes déjà allez? Normalement Ewaele a du le dire de vous y rendre.

Sujet: Re: De la chair fraiche... Jeu 9 Jan 2014 - 14:06

La rousse regarda les deux groupes partir afin de visiter la forteresse. Puis posa les yeux sur la missive qu'elle avait reçu d'un certain Gauvin, qui se demandait quoi faire en la forteresse. Elle lui répondit rapidement de venir la rejoindre dans son bureau afin de l'attacher a un des deux groupes s'ils n'étaient pas trop éloignés à l'arrivée du nouvel homme d'armes.

Sujet: Re: De la chair fraiche... Jeu 9 Jan 2014 - 19:35

Gauvin ayant reçu une réponse à ça missive, et comme il lui était indiqué de venir rapidement, il marcha vite, très vite au bureau. Il toqua à la porte, puis entra. Il était un petit peu essoufflé par ça marche rapide.
Une fois dans le bureau il se mit au garde à vous et salua comme il avait appris à l'Ost du Languedoc.

Homme d'Arme Gauvin à vos ordre!

Gauvin resta au garde à vous et attendit un quelconque ordre.