[RP] Entrainement "punitif" d'Ellesya et de Gauvin.

Gauvin c'était levé assez top en se début de journée hivernal. Quand il alla regardé dehors par la fenêtre du dortoir des écuyers, comme à son habitude quand il se lève. Il aimait bien voir quels temps la Normandie allait offrir chaque jours aux licorneux de Ryes. Ce matin là, pouvait à peine voir les premières lueurs du soleil pointé à l'Est, il s'était levé un peut plus top, pour pouvoir préparé un petit peut la salle d'arme, pour l'entrainement qu'il avait préparé avec sa sœur d'arme, Ellesya. Un vent froid venant du Nord, lui rafraîchit rapidement le visage, peut être une peut trop, car l'écuyer referma en vitesse la fenêtre du dortoir. Mais cela l'avait réveillé d'un coup, il alla se passé un peut d'eau sur le visage, pour se débarbouillé, puis il s'habilla, commençant par ses braies, puis par son gambison il le recouvrit de son haubert puis mit sa ceinture et attacha son épée à celle ci. Il mit ses cuissardes en fer et ses bottes de cuire. Il alla ensuite au cuisine, pour mangé un bout de pain, puis il retourna chercher son plastron, son casque qu'il mit aussitôt, et ses gantelets de fer, il enfila également son mantel gris laine, qu'il avait reçus lors de son intronisation. Puis il prit le chemin à travers les couloirs encore désert de la forteresse, en direction de la salle d'arme.

Gauvin, poussa la grand et lourde porte de la dite salle d'arme, et entra. Il refermât la porte, car le vent si engouffrait rapidement, puis il posa son barda dans le coin ou son rangé les mannequins en bois. Il retira et posa également, son casque et ses gantelets, ceux ci pouvait le gêner dans l'échauffement et le début de son entrainement. Il commença à faire des cercles avec ses épaules pour s'échauffé, puis il se mit en position de pompe, et commença à faire des séries de vingt. Il fit cinq séries, mais à la deuxième il retira tous de même ses cuissardes et son haubert, qui pesait lourd pour l'exercice. Quand il était rentré dans la pièce il y faisait frai à son goût mais suite à l'exercice des pompes il était bien réchauffé et transpirait déjà, son visage avait également rougie avec l'effort. Entre chacune des séries il faisait une pose, un coût il installa le mannequin sur pivot qui sera utilisé pour l'entrainement suivant, puis au repos suivant il vérifia le huilage. Entre la troisième et la quatrième série il le fit tourné, pour vérifier que la moindre touche le face bien tournée. Entre la quatrième et cinquième séries il souffla un grand coup et bu plusieurs grande gorger d'eau, finalement il craignait un peut de s'être trop fatigué pour la suite de la journée d'entrainement.

L’errante fit son entré une petite vingtaine de minutes après celle de l'écuyer. Gauvin, finissait ça dernière séries de pompes, il était devenue rouge écarlate avec l'effort, et il se demandais bien si ses bras allaient lui permettre de lever son épée. La série terminé il se relava, puis salua ça sœur d'arme.

Bonjour ma sœur, comment vous portez vous d'un si bon et top matin?

Pendant que Ellesya, commençait son entrainement, Gauvin après avoir récupéré durant de longue minute et étiré ses bras, il détacha le fourreau de son épée, et le posa avec le reste de son équipement, il remit alors son haubert, ses cuissardes et ses gantelets en fer. Il alla chercher une épée émoussé et commença à mettre quelques coups dans un des mannequin en bois de la salle d'arme.

Gauvin attendit qu'Ellesya finisse sont échauffement pour commencé le second entrainement de la journée. Se rappelant une règle fondamentale de galanterie il se tourna vers l’errante et lui dit:

Ma sœur, les dames d'abord, je vous laisse donc entamé se pauvre mannequin, à moins que cela vous déplaise.

Il se mit en retrais pour lui laissé de la place pour l'entrainement.

Jour convenu avec Gauvin pour la suite des réjouissances. Il fallut un certain temps à Sya pour se tirer de la chaleur de ses draps alors que le froid avait envahi la forteresse. Pourtant, elle ne dormait plus depuis un certain temps, mais Sang Dieu, qu’aurait-elle donné pour aller paresser dans des bras chaleureux plutôt d’aller se prendre des coups. Elle était si fatiguée depuis l’année d’avant et ses turpitudes. Elle peinait à s’échapper des rets dans lesquels elle s’était prise, cette vase qui lui collait aux pas et l’alentissait. On avait beau la taquiner sur l’attachement qu’elle démontrait pour Julios, c’était quand même dans leurs échanges qu’elle puisait encore de l’énergie et des objectifs, et dans la communauté licorneuse qui s’était formée en Touraine alors qu’elle était seule avant. A cette pensée, un sourire revint sur ses traits et d’un geste vif, elle quitta l’abri tiède de la couche. Puis, plus tard, descendit les degrés de la tour Achille.

Apprêtée comme d’habitude pour les entrainements de ce type (cf rp précedents, j’ai une flemme d’enfer !), l’estomac calé sans excès, le corps réchauffé par un vin épicé, tiède et coupé d’eau, mais surtout par la traversée de la dame de pierre à un bon pas vif, elle gagna les écuries pour saluer son compagnon de champs clos et de bataille, en prend un peu soin, puis gagna la salle d’armes où elle découvrit Gauvin, écarlate. De son côté, elle avait occupé son cheminement à s’assurer de la souplesse du poignet qui lui avait fait défaut et qui désormais se portait mieux après du repos puis une reprise progressive des activités.

Je vais relativement bien, dirons-nous. Je te remercie. Et toi même ?

Avec un petit sourire amusé, l’errante alla inspecter le mannequin léger, la fluidité du pivotement, opine du chef et sourit à Gauvin en guise d’approbation. Puis acheva les étirements et prise d’assurance devant éviter un nouveau sursaut de doute. Ensuite de quoi, sa main gantée empoigna la fusée d’une des armes d’entrainement sur l’un des râteliers. L’équilibre lui convint d’emblée, aussi elle décida in petto de la conserver pour le duel qui suivrait.
Son regard clair se posa sur Gauvin qui débordait d’énergie alors qu’elle paraissait plus posée. Un léger rire s’éleva.

Les dames d’abord, cela vaut aussi sur le champ de bataille ?

Un petit sourire carnassier teinté de malice plus tard, la walkyrie de Tyr s’élança, souple, vers le dispositif de la quintaine. Le premier coup était le plus ardu car on découvrait alors la réaction du « sarrasin » et on pouvait ainsi méditer quelques instants après une bonne calotte octroyée par le sac de sable.
Tenant des deux mains la bâtarde empruntée, elle choqua l’écu et esquiva sans réel souci la riposte du mannequin. Satisfaite et plus confiante, elle le remit en place pour retenter comme il l’était prévu.
Nouvelle courte course où elle déploya toutefois une part de sa puissance. La targe est à nouveau heurtée mais avec moins de précision. Le sac lui octroya la pénitence directement tout en manquant de force, heureusement, vu sa mauvaise touche. Remise en place de l’ébauche de mannequin, petit regard vers Gauvin qui se tenait un peu en retrait, puis on repart.
L’acier tinta clair et net sur le bouclier qui en avait déjà vu d’autres. Le pivot fit son office mais cette fois, Sya esquiva lestement le contre-coup, ravie de cette troisième et dernière passe.

Le regard clair, plissé d’un sourire, se tourna vers l’écuyer.

A toi ! Achève-le !

Je vais bien merci.

Pendant que le jeune écuyer, s’entraînait à la frappe et à la touche, l'errante vérifia l’installation du matériel. Quand il lui dit Les dame d'abord eu un léger rire et la réponse de celle ci fit sourire Gauvin.

Bah pour les bataille je sais pas, quoique si en face il respecte les règles tu crains rien, comme il est dit qu'on ne doit pas violenté une femme, ni lever la main sur elle.

Sa réponse le fit rire un peut, puis il fit le silence, il observa désormais comment l'errant abordait l'exercice. Elle se débrouillait bien elle esquiva le sac lors de la première touche, rata la deuxième esquive de peu et elle fini en beauté avec prestance. Ellesya donnait l'impression à Gauvin qu'elle avait fait cela depuis toute petite.

L'écuyer replaça bien le mannequin, puis se mit en garde, tenant l'épée bâtarde émoussé de la main droite, à auteur d'épaule et un peu en retrait, il garda son bras gauche libre et le plaça devant lui à la manière d'un bouclier. Sa jambe gauche en avant, la jambe droite en retrait, près à s’élancer. D'un bon en avant, le pied droit passa devant, allongeant son bras, la pointe de son épée frappa la targe en son centre, puis il plaça rapidement son pied gauche en retrait sur sa droite. Et d'un bon en arrière il évita le sac de justesse.
Deuxième frappe l'écuyer prit la même posture, et frappa de la même manière, l'épée toucha la targe sur l'extérieur se qui malheureusement donna plus de vitesse au sac de sable, et au lieu d'avoir le réflexe de tenté une esquive, il envoya son bras gauche au devant du sac, mettant tous son poids et bloquant son avant bras il stoppa net le sac, manque de chance c'était pas l’exercice...
Il regarda Ellesya avec un sourire et dit.

Désolé j'ai trop l’habitude du bouclier.

Pour sa dernière passe, il attaqua le mannequin de biais, cela ne lui porta pas plus chance, il toucha la targe encore une fois sur l'extérieur, mais il avait mit un peut moins de force, le sac arriva il eu le temps de se reculé mais le sac frappa la lame, se qui eu pour simple effet de déchirer une partie du sac de sable et de mettre du sable partout. Un juron sortie de la bouche de l'écuyer, qui se voit déjà entrain de nettoyer la salle d'arme de fond en comble après l'exercice.

Bon il me restera plus qu'a tous ramassé... Et je pense ne pas trop m’avancer en disant que cette exercice n'est pas mon fort.

Il regarda l'errante l'aire dépité de la tache, grain de sable par grain de sable. Il alla chercher au pas de course un sceau de bois et une petite pelle ainsi qu'un balais en paille. Il passa le quart d'heure suivant à tous ramasser. Une fois la tache fini il posa le matériel de nettoyage dans un coin de la sale d'arme au cas où.

Le regard gris resta toutefois perplexe devant la réponse que Gauvin lui servit au sujet de la courtoisie et des femmes sur le champ de bataille. Humour ou non ? La capacité limitée de comprendre le second degré de la Walkyrie était connue de ses proches qui ne manquaient généralement pas une occasion de la faire courir d’ailleurs.
Mais le rire de Gauvin désamorça toute réplique probablement à côté de la plaque.

Son tour étant achevé, celui de l’écuyer était arrivé. Son sourire s’étira un peu plus en remarquant la manière dont il parait à défaut d’avoir son bouclier. Elle le savait plus à l’aise avec le duo épée-bouclier mais les exercices du jour avaient été pensés autrement. Ainsi il s’adaptait… plus ou moins.
« Désolé, j’ai trop l’habitude du bouclier »

Ca arrive, puis ça va, ce n’était pas une hache d’armes, juste un sac de sable.
Au moins, tu as pu le bloquer, avec un bon ancrage, plutôt que de te faire balayer.

Le regard clair scruta le dernier essai, en apprenant dans la foulée sur son filleul puisque l’étape suivante serait un duel. Gauvin possédait de la technique, une grande volonté et une force certaine, mais il avait également livré quelques points faibles dont Sya comptait bien se servir.

Le sable jonchait désormais le sol. L’air dépité du turon eut en réponse un rire plutôt joyeux de l’errante.

Je t’avis dit de l’achever… Je peux compter sur toi, à ce que je vois !

Allez, au travail. Je t’aide pour virer le plus gros pour ne pas s’handicaper pour le duel, puis nous achèverons celui-ci par une séance de nettoyage en règle de la salle. Pas envie qu’on nous tombe dessus pour ne l’avoir pas laissé comme on l’a trouvée.

Tandis que Gauvin avait filé chercher de quoi ramasser le sable, elle avait dégoté dans un coin un balai de genêts et avait entamé l’ouvrage qu’ils continuèrent puis achevèrent ensemble. Elle n’allait quand même pas le regarder, bras croisés, désensabler la salle.
Les finitions seraient pour plus tard. Pour l’heure, il était temps de reprendre leurs armes d’entraînement.

Comme convenu. Victoire à celui qui désarme l’autre le premier.

Elle lui adressa un salut. Le sourire avait laissé place à la concentration.
Puisque ce n’étaient pas les touches qui comptaient mais bien de garder son arme en main, la tourangelle se mit en garde, lame portée vers l’arrière, à dextre.
Dès que Gauvin fut également prêt, motivée, Sya ne tergiversa pas et attaqua. Se portant vers l’avant avec vivacité pour surprendre son adversaire, sa lame remonta dans le même temps pour venir brutalement heurter sa consoeur. Là, la Louveterie exerça sur la lame de Gauvin une pression, glissante, brusque et puissante, en tenant fermement la poignée et le ricasso de sa propre arme des deux mains. Le tout se déroula assez vite, sans laisser trop de chance à l’écuyer qui se retrouva les mains vides avant de pouvoir contrer.

Dès qu’il fut sans arme, Ellesya rompit et le regarda, oscillant entre la satisfaction d’avoir réussi et le désappointement d’avoir certainement causé une déception si rapide à Gauvin.
Elle se pencha pour ramasser l’arme et lui tendit, poignée vers lui.

Si tu veux la revanche et retenter l’exercice.

Après que le gros du nettoyage fut effectuer, Gauvin reprit son épée émoussé d’entraînement, puis il se mit en position défensive. Pied droit en arrière, épaule droite et main droite en arrière la lame de sa bâtarde parallèle au sol. Prête à plonger sur l'errante. Son bras gauche comme à son habitude devant lui prêt à bloqué ou déviez.

Mais cette fois il tenta de surprendre l'errante en contre attaquant directement, en vain, il avait plonger sa lame en direction de celle de son adversaire, mais avec une vitesse éclaire elle désarma Gauvin sans que celui là ne comprenne se qu'il venait de se passé. C'était décidément pas ça journée. Il fût content quand l'errante lui proposa une revanche. Il l'accepta directement avec un grand sourire.

Avec plaisir, j'accepte la main tendu pour une revanche.

Puis il se remit en garde, de la même manière.

Gauvin attendit que l'errante se mette garde, son aire était concentré il ne voulait pas laissez cette chance que Ellesya lui avait donné, puis sans attendre t'entant une fois de plus de joué sur la surprise. Le jeune écuyer s’élança, malheureusement pour lui quelques grains de sable roulairent sous son pied droit quand il s'élança. Ni une ni deux on pu lire sur le visage de l'écuyer la surprise et son aire disait tous haut ce qu'il pensait « merde!! ». Gauvin se retrouva ainsi par terre presque dans un grand écart, il préféra lâcher son épée pour pouvoir se rattrapé et ne pas se faire mal dans la chute non contrôle.

Il leva son regard sur son adversaire, qui riait sûrement intérieurement, un large sourire se dessina sur les lèvres de l'écuyer. Gauvin se releva avec le peut de dignité qui pouvait lui resté pour l'heure. Il ramassa son épée la tenant par la lame émoussé et tendit la poignée à l'errante.

Bon je dirais victoire par chute, pour toi ma sœur. Le très haut ne souhaite pas m'accorder une petite victoire aujourd'hui me semble t'il.

Puis Gauvin repris le ballait et nettoya tous le sable, qu'il pouvait resté, jusqu'à ce qu'il ne reste plus du tous de sable au sol. Puis il se retourna devant sa marraine et lui demanda avec le sourire:

Bon on fait quoi maintenant, je me reprend une toise ou pas ?

Ellesya prit la poignée de l’arme qui lui fut tendue lorsque Gauvin fut remis sur pied. Partagée entre l’envie de le taquiner et la compassion pour le dépit qu’il devait nourrir, elle se contenta de lui adresser un léger sourire amical.

Elle s’en fut ranger les armes d’entrainement au râtelier, profitant d’ailleurs de l’occasion et du fait que Gauvin avait repris le balayage pour inspecter les autres armes afin d’évaluer si certaines ne devraient pas refaire un petit tour par la forge dans les prochaines semaines.
Elle fut tirée de ses réflexions par la question de Gauvin. Elle se redressa alors.

Il y a des jours où ça ne veut vraiment pas. Mieux vaut reprendre une prochaine fois.
Je n’ai aucun doute quant au fait que tu feras en sorte de mettre toutes les chances de ton côté à notre prochain échange.

Après un bref silence, elle conclut.

J’ai de l’ouvrage qui m’attend encore ailleurs avant la fin de la journée. Si cela ne t’ennuie pas, je vais te laisser pour cette fois.

En prévision donc : rafraîchissement en règle, repas et hop, paperasse !