De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions

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De la Reconnaissance Royale de l'Ordre des Chevaliers de la Licorne
et de ses reconductions

Prime reconnaissance royale du 6 septembre 1454
Par le GM Thierry
Et le GEF Rassaln d’Arduilet

Reconduction du 24 mai 1455
Par le Capitaine Rhuyzar
Et le GEF Nico de Brassac

Reconduction du 10 septembre 1455
Par le GM Guillaume de Jeneffe
Et le 1er Ecuyer de France Antoyne Knotwise d'Azayes et de Louvelle

Reconduction du 19 février 1456
Par le GM Guillaume de Jeneffe
Et le GEF Kirah du Breuil

Reconduction du 21 novembre 1456
Par le GM Rhuyzar de la Louveterie
Et le GEF Kirah du Breuil

Reconduction du 30 janvier 1457
Par le GM Enguerrand de Lazare
Et le GEF Kirah du Breuil

Reconduction du 5 juin 1457
Par le GM Enguerrand de Lazare
Et le GEF Zalina de Montmorency

Reconduction du 7 mars 1458
Par le GM Nith de Cassan
Et le GEF Rhuyzar de la Louveterie

Reconduction du 3 août 1458
Par le GM Nith de Cassan
Et le GEF Cyrielle d’Arduilet Saint ange

Reconduction du 19 avril 1459
Par le GM Nith de Cassan
Et le GEF Guillaume de Jeneffe

Reconduction du 21 septembre 1459
Par le GM Bess Saincte Merveille Rouben
Et le GEF Guillaume de Jeneffe

Reconduction du 15 janvier 1461
Par le GM Bess Saincte Merveille Rouben
Et le GEF Enguerrand de Lazare

Reconduction du 6 mai 1461
Par le GM Bess Saincte Merveille Rouben
Et le GEF MarieAlice de Meyrieux

Reconduction du 9 mars 1463
Par le GM Bess Saincte Merveille Rouben
Et le GEF Julien Giffard

Reconduction du 19 octobre 1463
Par le GM Julios
Et le GEF Julien Giffard

MàJ par Ellesya, le 12 mars 1464

Citation :: Charte validée et confirmée par nos soins, ce jour 24 mai de l'an de Grâce 1455.

Fait en nos bureaux des Offices de la Pairie.

Nico de Brassac, Comte de Turenne, Baron de Neuvic, Chevalier de Fontenay. Grand Ecuyer de France.

Pour le Grand Maître de l'Ordre, Rhuyzar, Vicomte de Delle, Capitaine de La Licorne.

Citation :: Au nom de Sa Majesté Levan III de Normandie, Roy de France.

Nous, Antoyne Knotwise d'Azayes et de Louvelle, Premier Ecuyer de France reconnaissons au nom du Grand Ecuyer Nico de Brassac, messire Guillaume de Jeneffe, Baron de Marchiennes, Seigneur de Wavrin, comme Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne et, à ce titre, lui signifions qu'il peut d'ores et déjà jouir des privilèges et droits afférents à cette charge.

Fait pour valoir ce que de droit, en nos bureaux des Offices de la Pairie, ce lundi 10 septembre de l'an de Grâce 1455.

Pour Nico de Brassac, Grand Ecuyer de France,
Antoyne Knotwise d'Azayes et de Louvelle, Baron de Jarnac, Seigneur de Montaillé, Premier Ecuyer de France.

Citation :

Charte de reconnaissance royale de l'Ordre de la Licorne

Par le présent document, la Couronne de France reconnaît officiellement l'existence de l'Ordre de la Licorne
Le Grand Maître de l'Ordre de la Licorne, ainsi que ses successeurs, doivent de celà allégeance au Roy de France, jurant ainsi fidélité et obéissance à la Couronne de France pour les terres, domaines et commanderie situées en le Royaume de France. L'allégeance du Grand Maître de la Licorne engage celle des membres de l'Ordre qui résident ou voyagent en le Royaume de France, quelque soit leur rang et leur fonction au sein d'icelui.

Le présent acte implique engagements autant de la Couronne de France à l'Ordre de la Licorne que de l'Ordre de la Licorne à la Couronne de France.

I. Engagements de la Couronne de France envers l'Ordre de la Licorne.

Article 1 :
Par cette reconnaissance, la Couronne reconnaît la noblesse issue de l'Ordre de la Licorne. Ainsi, le Grand Maistre de l'Ordre de la Licorne pourra adouber chevalier, la présence du Grand Ecuyer de France à la cérémonie étant conseillée. Il ne pourra cependant pas intervenir durant icelle et encore moins opposer son véto sur le choix des impétrants. Sa présence assure que l'adoubement s'est bel et bien déroulé et que le nouveau chevalier peut désormais entrer de plein droit au sein de la noblesse du Royaume de France. Les Chevaliers adoubés de l'Ordre de la Licorne pourront afficher leur statut au moyen d'un écu ancien, sur lequel leurs armes seront blasonnées.
Article 2 :
Par cette reconnaissance, la Couronne permet à l'Ordre de la Licorne d'implanter des commanderies sur le sol français et reconnaît celles déjà existantes. Cette implantation devra cependant se faire avec l'accord des dirigeants locaux. LOrdre de la Licorne et ses membres s'engagent à respecter la législation des provinces dans lesquelles ils seront présents.
Pour ce qui est des domaines royaux, l'accord du Grand Ecuyer de France sera demandé, ce dernier pouvant également servir de médiateur entre le Domaine Royal et l'Ordre de la Licorne.

II. Engagements de l'Ordre de la Licorne envers la Couronne de France.

Article 1 :
Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne s'engage à lutter pour la paix au sein du Royaume de France. Il s'engage également à servir la Couronne de France, incarnée par Sa Majesté Très Aristotélicienne Levan III de Normandie.
Article 2 :
Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne dispose d'un Héraut, choisi au sein de ses membres, qui siègera à la Chapelle héraldique Saint-Antoine, en Paris, sous la présidence du Roy d'Armes de France.

III. De la validité de la présente reconnaissance.

Article 1 :
La présente reconnaissance est valide dès l'apposition des sceaux du Grand Ecuyer de France ainsi que de celui du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne par iceux.
Article 2 :
A chaque changement de Grand Ecuyer de France , la présente Charte de reconnaissance royale devra être confirmée et reconduite. Une simple missive scellée du Grand Ecuyer de France et lue en public par
le Grand Maître de l'Ordre de la Licorne suffira.
A chaque changement de Grand Maître de l'Ordre de la Licorne, la présente Charte de reconnaissance royale devra être confirmée et reconduite et l'allegeance au Roy de France renouvelée en la présence du Grand Ecuyer de France, représentant Sa Majesté.
Article 3 :
La présente reconnaissance peut être rendue caduque sur décision unilatérale du Roy de France, de la Curia Regis, de la Pairie ou du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne. Tous les avantages et privilèges qu'elle octroie seront alors annulés.
Article 3bis :
L'annulation de la présente Charte après décision unilatérale décrite ci-dessus prendra effet au terme d'un préavis de trois [3] jours après la notification officielle de ladite décision. La publication sera considérée officielle après que le Grand Ecuyer de France ou le Grand Maitre de l'Ordre l'aura publiée, dûment scellée, dans l'espace réservé aux Ordres chevalerie sur la place centrale du Royaume ou dans les annonces de l'administration royale.

Fait et signé le XIXe de février 1456 en Paris.

Au nom de la Couronne de France,
Kirah du Breuil, Grand Ecuyer de France.
De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Orhe3

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Orhe3

Au nom de l'Ordre de la Licorne,
Guillaume_de_Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre.
De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Sceaulicorne23qg

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Sceaulicorne23qg

Citation :: Bayeux, le 21e jour de novembre 1456,

Qu'il soit dit et qu'il soit su,

Qu'en ce mois de novembre 1456, après la disparition tragique de Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de la Licorne et selon les statuts internes de l'Ordre de la Licorne, des élections se sont tenues en vue d'élire un nouveau Grand Maitre de l'Ordre après que le Grand Ecuyer de France en ait été avisée.

item qu'en ce 20e jour de novembre 1456, Rhuyzar de la Louveterie, Chevalier de l'Ordre de la Licorne et Capitaine du meme Ordre a été élu par ses pairs.

item qu'en respect avec les modalités quant à la reconnaissance d'un nouveau Grand Maitre d'un Ordre Royal, audience a eu lieu.

item qu'il a été décidé de reconduire la reconnaissance royale de l'Ordre et de conserver en l'état la charte signée par son prédécesseur et le Grand Ecuyer de France le XIXe de février 1456.

Pour attester de cette élection et de cette décision, nous, Rhuyzar de la Louveterie et Kirah du Breuil, respectivement Grand Maitre de l'Ordre de la Licorne et Grand Ecuyer de France, apposons nos sceaux.

Citation :: Bayeux, le 30e jour de janvier 1457,

Qu'il soit dit et qu'il soit su,

Qu'en ce mois de janvier 1457, selon les statuts internes de l'Ordre de la Licorne, des élections se sont tenues en vue d'élire un nouveau Grand Maitre de l'Ordre.

item que ce meme mois, Enguerrand de Lazarre, Chevalier de l'Ordre de la Licorne et Capitaine du meme Ordre a été élu par ses pairs.

item qu'en respect avec les modalités quant à la reconnaissance d'un nouveau Grand Maitre d'un Ordre Royal, audience a eu lieu.

item que des modifications à la charte interne de l'Ordre ont été soumises et validées selon les modalités requises par la charge de reconnaissance royale

item qu'il a été décidé de reconduire la reconnaissance royale de l'Ordre et de conserver en l'état la charte de reconnaissance royale signée et reconduites par ses prédécesseurs et le Grand Ecuyer de France le 20e de novembre 1456.

Pour attester de cette élection et de cette décision, nous, Enguerrand de Lazarre et Kirah du Breuil, respectivement Grand Maitre de l'Ordre de la Licorne et Grand Ecuyer de France, apposons nos sceaux.

Citation :: Bureaux des Ecuries Royales de Paris, ce 5ème jour de juin 1457,

Qu’il soit dit et su de tous,

Qu’en mai de cette année 1457, un nouveau Grand Ecuyer de France a été nommé en la personne de Zalina de Montmorency, suite à la démission de Dame Kirah du Breuil.

Item qu'en respect avec les modalités quant à la nomination d'un nouveau Grand Ecuyer Royal, audience a eu lieu entre le Grand Maitre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et le nouveau Grand Ecuyer Royal.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduites par nos prédécesseurs le 19ème jour de février 1456.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de Lazare et Zalina de Montmorency, respectivement Grand Maitre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et Grand Ecuyer de France, apposons nos sceaux.

Citation :: Bureaux des Ecuries Royales de Paris, ce 7ème jour de Mars 1458,

Qu’il soit dit et su de tous,

Qu’en février de cette année 1458, un nouveau Grand Escuyer de France a été nommé en la personne de Rhuyzar de la Louveterie, suite à la démission de Dame Zalina de Montmorency.

Item qu'en respect avec les modalités quant à la nomination d'un nouveau Grand Escuyer Royal, audience a eu lieu entre le Grand Maistre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et le nouveau Grand Escuyer Royal.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduites par nos prédécesseurs le 21ème jour d'octobre 1457.

Pour attester de cette décision, nous, Nith le Perplexe et Rhuyzar de la Louveterie, respectivement Grand Maistre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et Grand Escuyer de France, apposons nos sceaux.

Citation :: Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce 3ème jour d'août 1458,
Qu’il soit dit et su de tous,

Qu'en juillet de cette année 1458, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne de Cyrielle d'Arduilet-Saint Ange, suite à la démission de Messire Rhuyzar de la Louveterie.

Item qu'en respect avec les modalités quant à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer Royal, audience a eu lieu entre le Grand Maitre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et le nouveau Grand Écuyer Royal.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduites par nos prédécesseurs le 19ème jour de février 1456.

Pour attester de cette décision, nous, Nith de Cassan dict le Perplexe et Cyrielle d'Arduilet-Saint Ange, respectivement Grand Maitre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et Grand Écuyer de France, apposons nos sceaux.

Citation :: A tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire, salut,

Nommons ce jour Guillaume de Jeneffe, vicomte de Marchiennes, au poste de Grand Ecuyer de France.

Remercions tous les candidats qui se sont présentés.

Faict à Lyon, le 15ième jour du mois d'avril 1459.

Marie Alice Alterac
Grand Maitre de France

Citation :: A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Guillaume de Jeneffe, Grand Escuyer de France, etc, et Nith de Cassan dict le Perplexe, Grand Maistre de l'Ordre royal des Chevaliers de la Licorne, etc, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le XVe jour d'avril del an de grasce MCDLVIIII, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne de Guillaume de Jeneffe, à la suite du retrait de Cyrielle d'Arduilet-Saint Ange.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer Royal, audience a eu lieu entre le Grand Maitre de l’Ordre des Chevaliers de la Licorne et le nouveau Grand Écuyer Royal.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduites par nos prédécesseurs le 19ème jour de février 1456.

Pour attester de cette décision, nous, Guillaume de Jeneffe et Nith de Cassan dict le Perplexe, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l’Ordre royal des Chevaliers de la Licorne, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce 19e jour d'avril de l'an de grasce MCLDVIIII.

Citation :: Bureaux des Ecuries Royales de Paris, ce XXIème jour de 9bre del an de grasce MCDLVIIII,

Qu’il soit dit et su de tous qu’en 8bre de cette année MCDLVIIII, Nith de Cassan est tombé les armes à la main dans sa juste lutte face aux Félons. En respect avec la Charte de l’Ordre, un vote a été réalisé pour élire le nouveau Grand Maistre de l’Ordre royal des Chevaliers de la Licorne.

Item que le mois suivant, Bess de Saincte Merveille Rouben, Chevalier de l’Ordre royal de la Licorne et Capitaine Maître de Guerre du même Ordre a été acclamé par ses pairs.

Item qu'en respect avec les modalités quant à la reconnaissance d'un nouveau Grand Maître d'un Ordre Royal, audience a eu lieu.

Item qu'aucune modification à la charte interne de l'Ordre n'a été souhaitée. Elle reste donc validée selon les modalités requises par la charte de reconnaissance royale.

Item qu'il a été décidé par les deux parties de reconduire et de conserver en l'état la Charte de la reconnaissance royale de l'Ordre signée et reconduites par ses prédécesseurs et le Grand Ecuyer de France le XXIème jour d'8bre del an de grasce MCDLVII.

Pour attester de cette élection et de cette décision, nous, Guillaume de Jeneffe et Bess de Saincte Merveille Rouben, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l’Ordre royal des Chevaliers de la Licorne, apposons nos sceaux.

Citation :: A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Enguerrand de Lazare, Grand Escuyer de France, et Bess Saincte Merveille Rouben, Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le dixième jour de Janvier de l'an de grasce 1461, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne d'Enguerrand de Lazare, à la suite du retrait de Guillaume de Jeneffe.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Escuyer de France, audience a eu lieu entre Bess Saincte Merveille Rouben et le nouveau Grand Escuyer de France.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le 21eme jour de novembre 1459.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de lazare et Bess Saincte Merveille Rouben, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce quinzième jour de janvier de l'an de grasce 1461.

Citation :: De Marie Alice de Meyrieux, Grand Escuyer de France, et Bess Saincte Merveille Rouben, Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne
A tous ceux qui liront ou se feront lire, portons connaissance :

Que le vingt-sixième jour du mois d'avril 1461 un nouvel Ecuyer de France a été nommé en la personne de Marie Alice de Meyrieux.

Qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer de France, audience a eu lieu entre Bess Saincte Merveille Rouben et celui-ci.

Qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le vingt et unième jour de novembre de l'an de grasce 1459.

Pour attester de cette décision, nous, Marie Alice de Meyrieux et Bess Saincte Merveille Rouben, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce sixième jour du mois de mai 1461.

Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne.

Citation :: Charte de reconnaissance royale de l'Ordre de la Licorne

Par le présent document, la Couronne de France reconnaît officiellement l'existence de l'Ordre de la Licorne.
Le Grand Maître de l'Ordre de la Licorne, ainsi que ses successeurs, doivent de cela hommage au Roy de France, jurant ainsi fidélité et obéissance à la Couronne de France pour les terres, domaines et commanderies situées en le Royaume de France. L'hommage du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne engage celle des membres de l'Ordre qui résident ou voyagent en le Royaume de France, quelque soit leurs rangs et leurs fonctions au sein d'icelui.
Le présent acte implique engagements autant de la Couronne de France à l'Ordre de la Licorne que de l'Ordre de la Licorne à la Couronne de France.
De surcroit, l'Ordre s'engage à respecter les principes fondateurs de "La Reconnaissance Royale pour les Ordres de Chevalerie".

I. Engagements de la Couronne de France envers l'Ordre de la Licorne.

Article 1 :
Par cette reconnaissance, la Couronne reconnaît la noblesse issue de l'Ordre de la Licorne. Ainsi, le Grand Maître de l'Ordre peut adouber chevalier. Le Grand Maître doit au préalable solliciter l'accord de la Couronne par l'entremise du Grand Écuyer de France avant de procéder à un adoubement auquel le Grand Écuyer de France et le Roy d'Armes peuvent opposer leur veto.
En outre, l'adoubement et le serment vassalique à la couronne doivent avoir lieux sous les auspices d'un officier héraldique, voire également de la présence du Grand Écuyer de France.
Une fois la cérémonie terminée, le nouveau chevalier peut désormais entrer de plein droit au sein de la noblesse du Royaume de France, intégrant le ban royal par l'entremise de leur ordre. Les Chevaliers adoubés de l'Ordre de la Licorne doivent afficher leur statut au moyen d'un écu ancien, sur lequel leurs armes seront blasonnées.

Article 2 :
Par cette reconnaissance, la Couronne permet à l'Ordre de d'implanter des commanderies sur le sol français et reconnaît celles déjà existantes. Cette implantation devra cependant se faire avec l'accord des dirigeants locaux. L'Ordre de la Licorne et ses membres s'engagent à respecter la législation des provinces dans lesquelles ils seront présents.
Pour ce qui est des domaines royaux, l'accord du Grand Écuyer de France sera également demandé, ce dernier pouvant également servir de médiateur entre le Domaine Royal et l'Ordre de la Licorne.

II. Engagements de l'Ordre de la Licorne envers la Couronne de France.

Article 1 :Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne s'engage à lutter pour la paix au sein du Royaume de France. Il s'engage également à servir la Couronne de France.

a. En cas de levée de ban royale, l'Ordre et son Grand Maître sont placés sous le commandement du Connétable de France afin de renforcer l'Ost Royal. Le Grand Maître de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l'État Major de l'Ost Royal.
b. En cas de guerre ou de mission royale hors levée de ban, demande pourra être formulée par la Couronne à venir renforcer l'Ost royal. Le Grand Maître de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l'État Major de l'Ost Royal.
Dans le cas où l'Ordre de la Licorne choisirait une orientation médicale, il lui est reconnu le droit de soigner tous les combattants, sans distinction de camp. Il est admis que les campements de soins établis par l'Ordre sont du seul ressort de celui-ci et sous sa seule autorité. Si litige il devait y avoir quant à l'établissement en terres de conflits de ce campement, le Grand Écuyer de France pourra être saisi au titre de médiateur. Si d'autres Ordres Royaux choisissaient la même orientation, la coordination entre les différents campements se feraient par l'entremise des Grands Maîtres des Ordres concernés ou leurs délégués.
Enfin, dans le cas où l'Ordre de se dirigerait vers une action diplomatique, il lui est octroyé un statut d'impartialité envers les camps opposés, sans qu'on puisse l'accuser de trahison envers la Couronne, sauf preuve dûment constatée et produite.
c. En temps de paix, l'Ordre garde son autonomie, tant qu'il ne s'oppose pas aux intérêts directs de la Couronne de France.

Article 2 :
Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne dispose d'un Héraut, lequel aura passé et réussi l'examen héraldique. Il siégera à la Chapelle héraldique Saint-Antoine, en Paris, sous la présidence du Roy d'Armes de France.
a. Le héraut de l'Ordre de portera le nom héraldique de Licorne. Il doit être membre de l'Ordre de la Licorne.
b. Pour postuler comme héraut d'armes de l'Ordre, le candidat doit préalablement avoir obtenu l'autorisation du Grand Maître.
Il communiquera à la Hérauderie de France la dicte autorisation lors de sa postulation, à l'ouverture à candidatures à la charge de héraut d'armes de France par la Hérauderie.
Si le candidat réussit l'examen héraldique, il sera nommé par le Roy d'Armes de France, lequel, seul, a le pouvoir d'entériner sa nomination ou non.
c. Une fois nommé, l'impétrant prêtera serment héraldique au cours d'une cérémonie et recevra caducée et cry, symboles de sa charge. Cérémonie après laquelle il bénéficiera des mêmes droits, privilèges mais aussi devoirs que n'importe quel autre héraut d'armes royal.
d. Ce statut de héraut demande de lui qu'il soit impartial, sans pour autant oublier que dans le cadre de sa charge, il sert le Roy avant tout.
e. A chaque nouvel adoubement, il devra rapporter icelui dans le registre héraldique de son Ordre, ainsi que fournir un rapport sur les mérites du nouveau chevalier au Grand Écuyer de France.
f. Il aura également en charge supplémentaire de communiquer au Grand Écuyer de France tout changement dans la charte de l'Ordre, dans sa hiérarchie, toute nouvelle commanderie ouverte, ainsi que tout traité signé avec une région de France.

Article 3. L'Ordre Royal de la Licorne siège de droit au Conseil des Ordres Royaux de France à hauteur de trois membres dont le Grand Maître.

III. De la validité de la présente reconnaissance.

Article 1 : La présente reconnaissance est valide dès l'apposition des sceaux du Grand Écuyer de France ainsi que de celui du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne par iceux.

Article 2 : A chaque changement de Grand Écuyer de France et/ou de Grand Maître de l'Ordre, la présente Charte de Reconnaissance Royale devra être confirmée et reconduite. Une simple missive scellée du Grand Écuyer de France et du Grand Maître, lue en public par le Grand Maître de l'Ordre pouvant suffire si nulle modification n'a eu lieu depuis la dernière reconduction.

Article 3 : La présente reconnaissance peut être rendue caduque sur décision unilatérale de la Couronne ou du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne. Tous les avantages et privilèges qu'elle octroie seront alors annulés.

Article 3bis : L'annulation de la présente Charte après décision unilatérale décrite ci-dessus prendra effet au terme d'un préavis de trois [3] jours après la notification officielle de ladite décision. La publication sera considérée officielle après que le Grand Écuyer de France ou le Grand Maître de l'Ordre l'aura publiée, dûment scellée, dans l'espace réservé aux Ordres chevalerie sur la place centrale du Royaume ou dans les annonces de l'administration royale.

Fait et signé le IXe jour de Mars del an de grasce MCDLXIII, sous le règne de Sa Majesté Angélyque

Au nom de la Couronne de France,
Julien Giffard, Grand Écuyer de France

Au nom de l'Ordre Royal de la Licorne,
Bess Saincte-Merveille Rouben, Grand Maître de l'Ordre

Citation :: Charte de reconnaissance royale de l'Ordre de la Licorne

Par le présent document, la Couronne de France reconnaît officiellement l'existence de l'Ordre de la Licorne.
Le Grand Maître de l'Ordre de la Licorne, ainsi que ses successeurs, doivent de cela hommage au Roy de France, jurant ainsi fidélité et obéissance à la Couronne de France pour les terres, domaines et commanderies situées en le Royaume de France. L'hommage du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne engage celle des membres de l'Ordre qui résident ou voyagent en le Royaume de France, quelque soit leurs rangs et leurs fonctions au sein d'icelui.
Le présent acte implique engagements autant de la Couronne de France à l'Ordre de la Licorne que de l'Ordre de la Licorne à la Couronne de France.
De surcroit, l'Ordre s'engage à respecter les principes fondateurs de "La Reconnaissance Royale pour les Ordres de Chevalerie".

I. Engagements de la Couronne de France envers l'Ordre de la Licorne.

Article 1 :
Par cette reconnaissance, la Couronne reconnaît la noblesse issue de l'Ordre de la Licorne. Ainsi, le Grand Maître de l'Ordre peut adouber chevalier. Le Grand Maître doit au préalable solliciter l'accord de la Couronne par l'entremise du Grand Écuyer de France avant de procéder à un adoubement auquel le Grand Écuyer de France et le Roy d'Armes peuvent opposer leur veto.
En outre, l'adoubement et le serment vassalique à la couronne doivent avoir lieux sous les auspices d'un officier héraldique, voire également de la présence du Grand Écuyer de France.
Une fois la cérémonie terminée, le nouveau chevalier peut désormais entrer de plein droit au sein de la noblesse du Royaume de France, intégrant le ban royal par l'entremise de leur ordre. Les Chevaliers adoubés de l'Ordre de la Licorne doivent afficher leur statut au moyen d'un écu ancien, sur lequel leurs armes seront blasonnées.

Article 2 :
Par cette reconnaissance, la Couronne permet à l'Ordre de d'implanter des commanderies sur le sol français et reconnaît celles déjà existantes. Cette implantation devra cependant se faire avec l'accord des dirigeants locaux. L'Ordre de la Licorne et ses membres s'engagent à respecter la législation des provinces dans lesquelles ils seront présents.
Pour ce qui est des domaines royaux, l'accord du Grand Écuyer de France sera également demandé, ce dernier pouvant également servir de médiateur entre le Domaine Royal et l'Ordre de la Licorne.

II. Engagements de l'Ordre de la Licorne envers la Couronne de France.

Article 1 :Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne s'engage à lutter pour la paix au sein du Royaume de France. Il s'engage également à servir la Couronne de France.

a. En cas de levée de ban royale, l'Ordre et son Grand Maître sont placés sous le commandement du Connétable de France afin de renforcer l'Ost Royal. Le Grand Maître de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l'État Major de l'Ost Royal.
b. En cas de guerre ou de mission royale hors levée de ban, demande pourra être formulée par la Couronne à venir renforcer l'Ost royal. Le Grand Maître de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l'État Major de l'Ost Royal.
Dans le cas où l'Ordre de la Licorne choisirait une orientation médicale, il lui est reconnu le droit de soigner tous les combattants, sans distinction de camp. Il est admis que les campements de soins établis par l'Ordre sont du seul ressort de celui-ci et sous sa seule autorité. Si litige il devait y avoir quant à l'établissement en terres de conflits de ce campement, le Grand Écuyer de France pourra être saisi au titre de médiateur. Si d'autres Ordres Royaux choisissaient la même orientation, la coordination entre les différents campements se feraient par l'entremise des Grands Maîtres des Ordres concernés ou leurs délégués.
Enfin, dans le cas où l'Ordre de se dirigerait vers une action diplomatique, il lui est octroyé un statut d'impartialité envers les camps opposés, sans qu'on puisse l'accuser de trahison envers la Couronne, sauf preuve dûment constatée et produite.
c. En temps de paix, l'Ordre garde son autonomie, tant qu'il ne s'oppose pas aux intérêts directs de la Couronne de France.

Article 2 :
Par cette reconnaissance, l'Ordre de la Licorne dispose d'un Héraut, lequel aura passé et réussi l'examen héraldique. Il siégera à la Chapelle héraldique Saint-Antoine, en Paris, sous la présidence du Roy d'Armes de France.
a. Le héraut de l'Ordre de portera le nom héraldique de Licorne. Il doit être membre de l'Ordre de la Licorne.
b. Pour postuler comme héraut d'armes de l'Ordre, le candidat doit préalablement avoir obtenu l'autorisation du Grand Maître.
Il communiquera à la Hérauderie de France la dicte autorisation lors de sa postulation, à l'ouverture à candidatures à la charge de héraut d'armes de France par la Hérauderie.
Si le candidat réussit l'examen héraldique, il sera nommé par le Roy d'Armes de France, lequel, seul, a le pouvoir d'entériner sa nomination ou non.
c. Une fois nommé, l'impétrant prêtera serment héraldique au cours d'une cérémonie et recevra caducée et cry, symboles de sa charge. Cérémonie après laquelle il bénéficiera des mêmes droits, privilèges mais aussi devoirs que n'importe quel autre héraut d'armes royal.
d. Ce statut de héraut demande de lui qu'il soit impartial, sans pour autant oublier que dans le cadre de sa charge, il sert le Roy avant tout.
e. A chaque nouvel adoubement, il devra rapporter icelui dans le registre héraldique de son Ordre, ainsi que fournir un rapport sur les mérites du nouveau chevalier au Grand Écuyer de France.
f. Il aura également en charge supplémentaire de communiquer au Grand Écuyer de France tout changement dans la charte de l'Ordre, dans sa hiérarchie, toute nouvelle commanderie ouverte, ainsi que tout traité signé avec une région de France.

Article 3. L'Ordre Royal de la Licorne siège de droit au Conseil des Ordres Royaux de France à hauteur de trois membres dont le Grand Maître.

III. De la validité de la présente reconnaissance.

Article 1 : La présente reconnaissance est valide dès l'apposition des sceaux du Grand Écuyer de France ainsi que de celui du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne par iceux.

Article 2 : A chaque changement de Grand Écuyer de France et/ou de Grand Maître de l'Ordre, la présente Charte de Reconnaissance Royale devra être confirmée et reconduite. Une simple missive scellée du Grand Écuyer de France et du Grand Maître, lue en public par le Grand Maître de l'Ordre pouvant suffire si nulle modification n'a eu lieu depuis la dernière reconduction.

Article 3 : La présente reconnaissance peut être rendue caduque sur décision unilatérale de la Couronne ou du Grand Maître de l'Ordre de la Licorne. Tous les avantages et privilèges qu'elle octroie seront alors annulés.

Article 3bis : L'annulation de la présente Charte après décision unilatérale décrite ci-dessus prendra effet au terme d'un préavis de trois [3] jours après la notification officielle de ladite décision. La publication sera considérée officielle après que le Grand Écuyer de France ou le Grand Maître de l'Ordre l'aura publiée, dûment scellée, dans l'espace réservé aux Ordres chevalerie sur la place centrale du Royaume ou dans les annonces de l'administration royale.

Fait et signé le 19e jour d'Octobre de l'an de grâce 1463, sous le règne de Sa Majesté Zelha

Au nom de la Couronne de France,
Julien Giffard, Grand Écuyer de France

Au nom de l'Ordre Royal de la Licorne,
Julios, Grand Maître de l'Ordre

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Licorne_reco1

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Licorne_reco2

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Licorne_reco3

Copie de l'acte a écrit:: Reconnaissance Royale

Ordre de France

Par le présent document, la Couronne de France reconnait officiellement l’Ordre de la Licorne.
Le Grand Maître de l’Ordre de la Licorne ainsi que ses successeurs doivent de cela allégeance au Roy de France, jurant ainsi fidélité et obéissance à la Couronne de France.

Cet acte ci-présent implique engagements autant de la Couronne à l’Ordre que de l’Ordre à la Couronne.

I. Engagements de la Couronne à l’Ordre

A. De par cette reconnaissance, la Couronne reconnait également la noblesse issue de l’Ordre Royal de la Licorne. Ainsi, le Grand Maître de l’Ordre pourra adouber chevaliers, la présence du Grand Ecuyer de France à la cérémonie étant tout de même demandée. Il ne pourra intervenir durant icelle, et encore moins apposer un veto. Mais cela assure que l’adoubement s’est bel et bien déroulé, et que le nouveau chevalier fera désormais bel et bien partie de la noblesse de France.

B. De par cette reconnaissance, la Couronne permet à l’Ordre Royal de la Licorne d’implanter commanderies sur le sol français. Cela devra tout de même se faire avec l’accord des dirigeants locaux. Pour ce qui est des domaines royaux, l’accord du Grand Ecuyer de France sera autant demandé, ce dernier pouvant également servir de médiateur entre le Domaine Royal et l’Ordre Royal.

II. Engagements de l’Ordre à la Couronne

A. De par cette reconnaissance, l’Ordre Royal de la Licorne s’engage à lutter pour la paix dans le Royaume de France. L’Ordre Royal de la Licorne jure de servir la Couronne de France, incarnée par le Très Aristotélicien Levan le Troisième.

i. En temps de guerre, sur demande du Roy ou de son conseil [Pairie, via le Connétable ET le Grand Maitre de France], l’Ordre Royal de la Licorne pourra être appelé à venir renforcer l’Ost Royal, en tant qu’une troupe à part entière, qui gardera alors tout de même sa structure.

ii. En temps de paix, l’Ordre Royal de la Licorne garde une certaine indépendance. Cependant, il est demandé à l’Ordre d’au moins ne pas s’opposer au Roy et son conseil, peu importe la situation.

B. Il sera demande à l’Ordre Royal de la Licorne de dépêcher un héraut, qui rejoindra la Hérauderie de France.

i. Icelui devra faire partie de l’Ordre Royal de la Licorne et, après acceptation de sa candidature par l’assemblée héraldique, portera le nom de « Licorne ».

ii. Il ne devra en aucun cas oublier que son statut de héraut demande de lui qu’il soit impartial, sans pour autant oublier que dans le cadre de sa charge, il sert le Roy avant tout.

iii. A chaque nouvel adoubement, il devra rapporter icelui dans le registre héraldique de son Ordre, ainsi que fournir un rapport sur les mérites du nouveau chevalier au Grand Ecuyer de France.

iv. Il aura également, en charge supplémentaire, de communiquer au Grand Ecuyer de France tout changement dans la charte de l’Ordre, toute nouvelle commanderie ouverte, ainsi que tout traité signé avec une région de France.

III. De la validité de la présente reconnaissance

A. La présente reconnaissance est valide dès l’apposition des sceaux du Grand Ecuyer de France ainsi que du Grand Maitre de l’Ordre Royal de la Licorne par iceux.

B. A chaque changement de Grand Ecuyer ou e Grand Maitre de l’Ordre, la présente devra être confirmée. Une simple missive scellée du Grand Ecuyer, et lue en public par le Grand Maitre de l’Ordre suffira en cela.

C. La présente reconnaissance peut se briser unilatéralement sur décision du Roy, de son Conseil, ou du Grand Maitre de l’Ordre de la Licorne. Tous les avantages qui en découlaient seront alors rendus à néant.

Fait et signé le VIe de septembre MCDLIV
En la forteresse Licorneuse de Ryes, Normandie.

Au nom de la Couronne de France,
Rassaln d’Arduilet, Grand Ecuyer de France
[sceau]
Rassaln d’Arduilet, Duc d’Amboise et de Maillé
Pair de France

Au nom de l’Ordre Royal de la Licorne,
Thierry, Grand Maitre de l’Ordre
[sceau]
Thierry, Duc d’Argenton, Comte de Corbières
Pair de France

Citation :: Charte de reconnaissance royale de l'Ordre Royal de la Licorne

Par le présent document, la Couronne de France reconnaît officiellement l'existence de l'Ordre Royal de la Licorne.
Le Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne, ainsi que ses successeurs, doivent de cela hommage prime au Roy de France, jurant ainsi fidélité et obéissance à la Couronne de France pour les terres, domaines et commanderies situées en le Royaume de France. L'hommage du Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne engage celui des membres de l'Ordre qui résident ou voyagent en le Royaume de France, quels que soient leur rang et leur fonction au sein d'icelui.
Le présent acte implique engagements autant de la Couronne de France à l'Ordre Royal de la Licorne que de l'Ordre Royal de la Licorne à la Couronne de France.
De surcroit, l'Ordre s'engage à respecter les principes fondateurs de "La Reconnaissance Royale pour les Ordres de Chevalerie".

I. Engagements de la Couronne de France envers l'Ordre Royal de la Licorne.

Article 1 :
Par cette reconnaissance, la Couronne reconnaît la noblesse issue de l'Ordre Royal de la Licorne. Ainsi, le Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne peut adouber chevalier. Le Grand Maitre doit au préalable solliciter l'accord de la Couronne par l'entremise du Grand Écuyer de France avant de procéder à un adoubement auquel le Grand Écuyer de France et le Roy d'Armes peuvent opposer leur veto.
En outre, l'adoubement et le serment vassalique à la couronne doivent avoir lieu sous les auspices d'un officier héraldique, voire également de la présence du Grand Écuyer de France.
Une fois la cérémonie terminée, le nouveau chevalier peut alors entrer de plein droit au sein de la noblesse du Royaume de France, intégrant le ban royal par l'entremise de son Ordre. Les Chevaliers adoubés de l'Ordre Royal de la Licorne doivent afficher leur statut au moyen d'un écu ancien, sur lequel leurs armes seront blasonnées.

Article 2 :
Par cette reconnaissance, la Couronne permet à l'Ordre Royal de la Licorne d'implanter des commanderies sur le sol français et reconnaît celles déjà existantes. Cette implantation devra cependant se faire avec l'accord des dirigeants locaux. L'Ordre Royal de la Licorne et ses membres s'engagent à respecter la législation des provinces dans lesquelles ils seront présents.
Pour ce qui est des domaines royaux, l'accord du Grand Écuyer de France sera demandé, ce dernier pouvant également servir de médiateur entre le Domaine Royal et l'Ordre Royal de la Licorne.

II. Engagements de l'Ordre Royal de la Licorne envers la Couronne de France.

Article 1 :

Par cette reconnaissance, l'Ordre Royal de la Licorne s'engage à lutter pour la paix au sein du Royaume de France. Il s'engage également à servir la Couronne de France.
a. En cas de levée de ban royale, l'Ordre et son Grand Maitre sont placés sous le commandement du Grand Écuyer de France. Le Grand Maitre de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l’État Major de l'Ost Royal. Le Grand Maitre de l'Ordre siège de droit à l'Etat Major de la Chevalerie de France.
b. En cas de guerre ou de mission royale hors levée de ban, demande pourra être formulée par la Couronne à venir renforcer l'Ost royal. Le Grand Maitre de l'Ordre peut, de droit ou de représentant par l'entremise du Grand Écuyer de France, participer à l’État Major de Mobilisation Royale. Le Grand Maitre de l'Ordre siège de droit à l'Etat Major de la Chevalerie de France.
Dans le cas où l'Ordre Royal de la Licorne choisirait une orientation médicale, il lui est reconnu le droit de soigner tous les combattants, sans distinction de camp.
Enfin, dans le cas où l'Ordre Royal de la Licorne se dirigerait vers une action diplomatique, il lui est octroyé un statut d'impartialité envers les camps opposés, sans qu'on puisse l'accuser de trahison envers la Couronne, sauf preuve dûment constatée et produite.
c. En temps de paix, l'Ordre Royal de la Licorne garde son autonomie, tant qu'il ne s'oppose pas aux intérêts directs de la Couronne de France.

Article 2 :

Par cette reconnaissance, l'Ordre Royal de la Licorne dispose d'un Héraut, lequel aura passé et réussi l'examen héraldique. Il siègera à la Chapelle héraldique Saint-Antoine, en Paris, sous la présidence du Roy d'Armes de France.
a. Le héraut de l'Ordre portera le nom héraldique de Licorne.
b. Pour postuler comme héraut d'armes de l'Ordre, le candidat doit avoir obtenu en amont l'autorisation du Grand Maitre.
Il communiquera à la Hérauderie de France la dicte autorisation lors de sa postulation, à l'ouverture à candidatures à la charge de héraut d'armes de France par la Hérauderie.
Si le candidat réussit l'examen héraldique, il sera nommé par le Roy d'Armes de France, lequel, seul, a le pouvoir d'entériner sa nomination.
c. Une fois nommé, l'impétrant prêtera serment héraldique au cours d'une cérémonie et recevra caducée et cry, symboles de sa charge. Cérémonie après laquelle il bénéficiera des mêmes droits, privilèges mais aussi devoirs que n'importe quel autre héraut d'armes royal.
d. Ce statut de héraut demande de lui qu'il soit impartial, sans pour autant oublier que dans le cadre de sa charge, il sert le Roy avant tout.
e. A chaque nouvel adoubement, il devra rapporter icelui dans le registre héraldique de son Ordre, ainsi que fournir un rapport sur les mérites du nouveau chevalier au Grand Écuyer de France.
f. Il aura également en charge supplémentaire de communiquer au Grand Écuyer de France tout changement dans la charte de l'Ordre, dans sa hiérarchie, toute nouvelle commanderie ouverte, ainsi que tout traité signé avec une région de France.

III. De la validité de la présente reconnaissance.

Article 1 :
La présente reconnaissance est valide dès l'apposition des sceaux du Grand Écuyer de France ainsi que de celui du Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne par iceux.

Article 2 :
A chaque changement de Grand Écuyer de France et/ou de Grand Maitre de l'Ordre, la présente Charte de Reconnaissance Royale devra être confirmée et reconduite. Une simple missive scellée du Grand Écuyer de France et du Grand Maître, lue en public par le Grand Maître de l'ordre pouvant suffire si nulle modification n'a eu lieu depuis la dernière reconduction.

Article 3 :
La présente reconnaissance peut être rendue caduque sur décision unilatérale de la Couronne ou du Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne. Tous les avantages et privilèges qu'elle octroie seront alors annulés.

Article 3bis :
L'annulation de la présente Charte après décision unilatérale décrite ci-dessus prendra effet au terme d'un préavis de trois [3] jours après la notification officielle de ladite décision. La publication sera considérée officielle après que le Grand Écuyer de France ou le Grand Maître de l'Ordre l'aura publiée, dûment scellée, dans l'espace réservé aux Ordres chevalerie sur la place centrale du Royaume ou dans les annonces de l'administration royale.

Fait et signé le XVII Mars de l'an MCDLXV sous le règne de Sa Majesté Lafa de Bussac

Au nom de la Couronne de France,
Sakurahime de Valrochelles, Grand Écuyer de France.

Au nom de l'Ordre Royal de la Licorne,
Guillaume de Jeneffe, Grand Maître de l'Ordre.

Citation :: De par Sakurahime de Valrochelles, Grand Écuyer de France, et Guillaume de Jeneffe, Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne;
A tous ceux qui liront ou se feront lire, portons connaissance :

Que le vingt-et-unième jour du mois de décembre 1464 un nouvel Écuyer de France a été nommé en la personne de Sakurahime de Valrochelles.

Qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer de France, audience a eu lieu entre le chevalier Guillaume de Jeneffe, en raison de l'élection de ce dernier comme nouveau Grand Maître en ce début d'année 1465,

Il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de valider la nouvelle charte de reconnaissance royale signée et validée par le Grand Maitre et le Grand Écuyer de France le 17 mars 1465.

Pour attester de cette décision, nous, Sakurahime de Valrochelles et Guillaume de Jeneffe, respectivement Grand Écuyer de France et Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce XVIIème jour du mois de mars 1465.

Au nom de la Couronne de France,
Sakurahime de Valrochelles, Grand Écuyer de France.

Au nom de l'Ordre Royal de la Licorne,
Guillaume de Jeneffe, Grand Maître de l'Ordre.

Citation :

Charte de reconnaissance royale
de l'Ordre de la Licorne

Par le présent document, la Couronne de France reconnaît officiellement l'action pour la France de l'Ordre de Chevalerie de la Licorne et le reconnait comme ordre royal de chevalerie.
En vertu du texte royal sur l'Organisation Générale de la Chevalerie de France, cette reconnaissance engage la Couronne de France envers l'Ordre Royal de la Licorne et, réciproquement, l'Ordre Royal de la Licorne envers la Couronne de France, selon les modalités suivantes.

I. Engagements de la Couronne de France envers l'Ordre Royal de la Licorne

Article 1

Article 2

Article 3

Article 4

Article 5

II. Engagements de l'Ordre Royal de la Licorne envers la Couronne de France

Article 1

Article 2

Article 3

Article 4

III. De la validité de la présente reconnaissance

Article 1

Article 2

Article 3

Article 4

Fait et signé le sous le règne de Sa Majesté Laure d'Orsenac, le 13 juillet 1469

Au nom de la Couronne de France,

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions G6ja

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions G6ja

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Znzr

Au nom de l'Ordre Royal de la Licorne,
Walan de Meyrieux,

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions Signat11

De la Reconnaissance Royale de l'OR de la Licorne et de ses reconductions 15578311

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