[RP]Visite d'un ambassadeur

Arrivant des écuries suivi du visiteur, Rhuyzar poussa la porte de la sombre taverne tenue dans la cour de l'Aile Droite.

Il regarda un peu partout et trouva une table libre dans un coin, un peu isolé, pour pouvoir discuter tranquillement. Il y conduisit l'ambassadeur, lui présentant un siège de bois avant de s'asseoir lui-même en face. Il prit la parole en attendant le tavernier.

Vous allez pouvoir vous restaurer et vous désaltérer ici messire, vous pourrez aussi me dire plus précisemment ce qui vous amène en ces murs ?

Invité

Sjnoel entrant dans la taverne avec son acceuillant Ruyzar, s'assit alors après avoir remercié le Cavalier de son signe de politesse. Il fit un soupir de soulagement qu'il pouvait enfin s'asseoir.

Pour commencer, je vous remercie de votre acceuil. Alors je suis venu ici pour discuter de notre propre ordre et de peut-être nous retrouver dans certains domaines. Mais... Où est le Grand-Maistre?

Invité

Thierry prévenu de l'arrivée d'un ambassadeur d'un autre ordre pénétra dans la taverne, et se dirigea vers la table.
Bonsoir Rhuyzar, Bonsoir a vous monsieur l'ambassadeur, bienvenue en notre forteresse, que nous vaut votre visite en ces temps troublés?

A l'entrée du Grand Maistre, Rhuyzar se leva et le salua comme le voulait le protocole, attendant qu'il prenne siège pour se rasseoir à son tour, n'attendant pas la réponse de l'Ambassadeur pour demander:

Vous préférez peut-être que je vous laisse discuter tranquillement de ce qui vous amène ici ?

Invité

Sjnoel vit un individu entrer dans la taverne, il fut accompagné de deux gardes et fut vêtu en un long mantel noir avec une barrette argentée et une belle licorne de diamand.
Il s'avança vers la table où ils étaient assis, les deux personnes se levèrent et le saluèrent puis il s'y assit, et commença à parler:

Bonsoir Rhuyzar, Bonsoir a vous monsieur l'ambassadeur, bienvenue en notre forteresse, que nous vaut votre visite en ces temps troublés?

Bonjour et enchanté noble Seigneur,

Je me présente, je suis Sjnoel ambassadeur et Hospittler Teutonique. Je suis venu ici pour vous expliquer notre fonctionnement et nos objectifs, mais aussi pour prévenir les malentendus entre nos deux ordres et d'essayer de prévenir alors des conflits entre nos deux ordres. Surtout que nous servons principalement le Très Sanct Pape et vous le Roy de France.

Sjnoel prit la choppe de bière qui fut servie et attendit la réponse du Grand Maistre de l'Ordre de la Licorne.

Invité

Non Rhuyzar reste avec nous.
Je suis a votre écoute, monsieur l'ambassadeur nous respectons les autres ordres, meme si par le passé nous avons connu quelques tensions avec vous, et pense que nos discussions nous permettrons d'avancer ensemble dans la meme direction, sachant que chacun de nous sert selon ses convictions profondes.
Ensuite tout dépend de ce que vous attendez de nous en terme d'amitié, car malheureusement on ne peux exclure des tensions entre la france et le Serg.

Le Cavalier aquiesca aux paroles de Thierry, et sirotant son verre de chouchen que lui avait porté le tavernier attendit la suite de la discussion en silence.

Invité

Sjnoel écouta attentivement le Grand Maistre et poursuivit alors.

Je vous remercie donc de votre chaleurosité mon noble Sire, comme vous la savez nous, Ordre Teutonique, nous servons avec honneur notre Sainteté le Pape, gardien de la Foy Aristotélicienne. Nous combattons que ci-cela est vraiment nécessaire et défendons alors la Foy. Nous respectons les différentes valeurs, qui sont Amitié, Charité et Paix.

Je viens donc pour la première, qui est l'Amitié. Je pense comme l'Ordre le pense, que l'Amitié doit être respectée et maintenue entre nos deux ordres et que nous devons alors avoir la possibilité de coopérer ensemble si les coditions le permettent biensur. Votre grand ordre par excellence, sert le Roy qui est évidamment Aristotélicien mais de même français. Notre Ordre receuille des Germains et voila donc un point délicat, c'est donc la raison que je vous dit "si les conditions le permettent".

Mais grâce alors, si notre amitié peut exister, nous pouvons trouver nos points communs et nous pourrons voir les qualités des uns et des autres.

Je viens aussi pour la dernière valeur de la Foy Aristotélicienne qui est donc la Paix. Cette valeur retombe sur celle de la première mais est beaucoup plus précise. Si nous nous engageons dans une acte de Paix, nous pourrons alors coopérer en toute liberté ensemble sans y trouver des contraints. Si cette valeur peut être mise en valeur alors, je vous peux vous assurer une fidélité de la part Teutonique inégalé.

Sjnoel bu de sa choppine et attendit la réponse.

Invité

Comme vous le savez surement, notre ordre est ouvert a tous, francais ou non, et de toute confession reconnue.
C'est pour cela que nous nous considérons comme un ordre laic, bien que la plupart d'entre nous sont de bons aristotéliciens, comme je vous le disais nous respectons les autres ordres, et serions heureux de vous compter parmis nos amis, meme si il existe beaucoup de différences entre nous.
Mais jusqu'a présent hormis une petite tension il y a quelques temps déja, je n'ai pas souvenir de problème entre nos deux ordres, donc rien n'empeche de voir nos relations évoluer dans le bon sens.

Invité

Un sourire de joie apparut sur le visage de Sjnoel et appela le tavernier pour une commande pour souhaiter la concordance.

Messire jes suis ravie d'entendre cela, mais veuillez m'excuser, pourrons nous continuer demain je ne tiens plus debout.

Invité

Aucun problème, Rhuyzar peux tu montrer ses appartements a monsieur l'ambassadeur et veille a son installation.
Si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas a le demander.
Sur ce je vous laisse, j'ai encore pas mal d'affaires a traiter.

Invité

Je vous remercie et je suis enchanté de vous connaïtre bonne nuit et à demain.

Rhuyzar se leva, saluant le Grand Maistre qui partait avant de se tourner vers le visiteur.

Si vous voulez bien me suivre Messire, une chambre vous a été réservée en l'auberge, je vais vous y conduire de ce pas.

Ceci dit il se dirigea vers le comptoir, laissant une petite bourse au tavernier avant de prendre les clefs qui lui étaient tendues, guidant ensute l'ambassadeur jusqu'à l'escalier en direction des chambres.