Construction du Près principal

Knarel passer dans le coin, quand il lui avait prit l'envie d'aller voir le haras. En le voyant de loin, il ce souvint de ça construction. C'était un bon moment qu'il avait passer, faisant la connaiscance de ses freres et soeurs d'armes. Puis en approchant encore, il entendit un bruit. Il s'approcha et vit Zalina alias "la peste" qui planter des piquets dans le sol. Il s'approcha et lui demanda :

-Besoin d'un coup de main ?

Liagan marchait non loin de là du Haras quand il entendit des bruits de masse. Peut estre s'imaginait t-il des choses, mais quand un autre coup ce fit entendre, Liagan alla voir. Il marchait, mais avec ce temps, il se dépécha et accéléra sa marche. Il rentra dans le haras et à par quelques étalons et juments, il n'y avait rien. Il essortit de l'autre coté et vit Zalina qui plantait des piquets, voilà donc d'où venez le bruit. Puis il posa son regard, il ne reconnut pas l'homme mais il devina finalement que c'étai Knarel. Il s'aprocha d'eux.

Bonjour Zalina et Knarel. Avez vous besoin d'un coup de main? Je suis là et je veux aider.


Liagan attendit une réponse.

B’jour. Ouais, il y a besoin de renfort.
Faut finir la clôture et c’est Enguerrand qui a les clés de l’abri où sont rangés les masses et marteaux. L’un de vous l’a vu en v’nant ?

Bonjour Zalina;

Liagan pouvait voir que Zalina n'avait pas dormit de la nuit. La cavalière avait les traits tirés, de petits yeux et de grandes cernes. Elle observa une gourde après d'elle, peut estre restait t-il quelques choses? Quoi qu'il en soit Zalina avait du en bavé celà est sur, pourquoi Liagan n'est t-il pas arrivé plus tôt???
Liagan devancant Knarel, répondit:

Je vais y allé, Zalina, et par la mesme occaion donne moi ta gourde, je vais allé la remplir d'eau bien fraiche. De plus, si tu es fatigué, Knarel et moi on ce charge du prés, on est en bonne forme, enfin pour ma part.

Liagan prit la gourde de Zalina et partit n courant versle chateau. La pluie était belle et bien présente, le chemin était gras, celà était confirmé. Il rentra dans la forteresse et alla remplri l'eau de Zalina au puit. Une fois celle-ci remplit, il partit à la recherche d'Enguerrand...

Au bout d'un petit moment Liagan reprit le chemin du prés du Haras. Il courra et arriva finalement à son point de départ. Essouflé, celui-ci donna la gourde à Zalina et reprit son souffle. Il ouvrit l'abri où était les masses, et, en donna à Knarel mais il ne savait pas si c'était préférable pour Zalina. Non pas que Liagan la sous-estimait, mais elle avait du travialler une bonne partie de la nuit voir toute la nuit et un bon repos, elle le méritait. Il prit sa masse et partit avec 5 piquets.

Pas une minute à perdre! se disait t-il.

Et c'était partis, et de un, de deux ....

Knarel était heureux de reprendre les petits travaux du haras. Lorsque Liagan courut chercher les clefs, il s'était assit par terre, dans l'herbe fraiche, et il avait fait derriver ses pensées vers l'unique amour de sa vie. Il ce dit qu'un jour, il faudrait qu'il parle d'Iseult à ses freres... Le retour de Liagan le sortit de ses rêverie. Il prit la masse et quelques piquets et partit plus loin pour les planters à grands coups de masse.

-Et de un... et de deux...

Comme chaque jour, Benjamin était passé à la salle d'armes. Il y avait vu une annonce fraîchement écrite ; elle venait de Zalina, et demandait la présence de tous ceux qui le pouvaient au haras, où des travaux seraient une nouvelle fois menés. Il ne pouvait pas ne pas y aller. La précédente annonce affichée au panneau informait d'un cours ; l'écuyer s'y était inscrit, et n'avait pu y aller, sans même pouvoir prévenir. Alors cette fois-ci, même s'il ne fallait pas s'inscrire, il viendrait, ne sachant pas s'il ferait partie des premiers ou non - il était encore tôt. Rapidement, il fit un détour par le dortoir des écuyers, pour récupérer gants et réserve d'eau ; à la suite de ça, il se dirigea vers le haras. Il arriva dans les minutes qui suivirent, et vit déjà plusieurs personnes à l'oeuvre, ainsi que d'autres qui attendaient des consignes ; il salua tous les présents, d'un signe de tête, d'un "bonjour", ou d'un simple geste de la main agrémenté d'un sourire. Il posa sa gourde à terre, enfila ses gants, puis, voyant Zalina avec une planche, et Caturix l'accompagnant, il prit l'initiative : il attrapa un marteau, plusieurs clous - il en avait dans ses mains, mais aussi entre ses dents -, se dirigea une dizaine de pas plus loin que l'errante aux yeux fatigués, et appela parmi ses frères un qui pourrait l'aider.

Un volontaire pour venir avec moi, avec autant de planches qu'il peut prendre ? Zalina a commencé à fixer les planches là-bas, - désignant les premiers piquets plantés avec sa main gantée - on pourrait poursuivre là où je suis, pour qu'on ne se marche pas dessus...

Herman avait eu vent du besoin de main d'oeuvre pour une construction. Il n'avait pas compri qu'elle était cette construction mais peut importe, tant qu'il pouvait se rendre utile. Il se dirigea vers le haras, pour aller aider le groupe qui avait commencé les travaux.
Comme il était écri, Herman avait pri des gants et de quoi à boire en cas de soif majeur.
Herman alla saluer la personne chargée de ces travaux :

Bonjour, je me présente à vous pour aider.
Il faut juste m'expliquer.

dit il en souriant.

Le soleil pointait doucement son nez… Psycho s’étirait paisiblement sur sa couche dans le dortoir des écuyers. Psycho profitait de ces petits moments de bonheur, où l’on se sentait bien au réveil, prés à affronter toutes les épreuves de la vie. D’autant plus que ses blessures n’étaient maintenant pour la plupart qu’un lointain souvenir… Tant qu’on ne lui demandait pas trop. La seule blessure visible était celle faite au crâne durant un duel… La cicatrice était encore rouge et épaisse. Mais Psycho arrivait à subtilement la dissimuler en ordonnant ses cheveux.

Psycho s’assit sur sa couche, il parcourut l’horizon du dortoir, et vit que beaucoup de ses frères étaient déjà parti à leurs occupations. Il se demandait d’ailleurs ce qu’il allait bien pouvoir faire de sa journée ?
Aller à la bibliothèque, consulter les ouvrages théoriques concernant l’armée ? Psycho voulait approfondir ses connaissances militaires…
Aller en salle d’armes, voir si un cours aller être donné ? Les livres c’est bien mais c’est parfois soporifique…
Ou encore allez voir le panneau des duel pour faire un peu de pratique ? Peu probable, Psycho ne voulait pas se recevoir de nouveau un mauvais coup sur la tête.

Psycho décida donc de partir pour la salle d’arme. Après une brève toilette, il sorti nonchalamment des dortoirs. Sur le chemin il aperçut au loin certain de ses frères sortant de la forteresse… Mais il ne se posa pas plus de question. Arrivé dans la salle d’arme il lut le panneau d’affichage, dont le mot de Zalina… Il fut contant de voir que la construction du Haras allait continuer… Puis ne trouvant pas de projet de cours, il s’en retourna et dit pour lui-même:

Bon... direction la bibliothèque alors.

Mais à peine avait-il fait trois pas qu’il stoppa net… Il revient en arrière et se pencha de nouveau sur le panneau d’affichage.

Sapristi !!! le Haras? c’est aujourd’hui !

Il courut aussitôt en direction des dortoirs afin de récupérer ses gants, puis toujours courant à en perdre haleine il alla à la taverne. Là il se fit des plus discret… Marchant à tâtons, ce n’était pas le moment de croiser le René, si tant est qu’un tel moment puisse exister. Là il trouva du pain et un peu de fromage. Il sorti de la taverne tel un voleur, contant d’avoir trouver sa nourriture du jour.

Il courut de nouveau jusqu’à se trouver en vu du Haras, là il s’accorda un rythme plus acceptable. Aprés tout il n'était pas vraiment en retard... Il profita des quelques minutes de marche séparant la forteresse du Haras pour reprendre peu à peu son souffle.

Perdue dans son travail, Zalina n’avait pas entendu Mackx arriver. Son Salut la fit sursauter et ce furent ses doigts qui en payèrent de nouveau le prix.

Put… !!!!!!!!!!!! Grrrrrrrrrrr !!!

Une traduction toute amicale du "Bonjour mon Frère" en langage Zalina-sucidaire, pour ceux qui ne le parle pas couramment. Elle n’eut pas le temps de répondre à la question de l’Ecuyer sur son état mental plus que déficient, que Caturix arrivait en faisant de l’humour.
Quoi qu’il venait de lui donner une idée à étudier. Donner des coups de marteau sur ce qu’elle déteste… Est-ce qu’elle pourrait se tuer en se donnant des coups de masse sur la tête ? A défaut, cela ferait peut être entrer quelques consignes dans sa cervelle-passoire. Ou se broyer le cœur, ou ce qu’il en restait, à coups de marteau… Il faudrait qu’elle essaie.

Mais pour l’heure, l’Errant voulait la priver de son marteau ? Elle leva un regard noir sur son Frère, prête à défendre son outil de travail à coup de griffes quand elle se rappela qu’il avait du mal à se déplacer.
Elle imita l’Ours des tavernes mal léché et lui tendit son précieux marteau avant de se lever pour se rendre au tas de bois pour en rapprocher quelques planches et piquets.

Arrivée près du tas, Zarhroc fit surface. Du moins physiquement, son esprit semblait encore aux dortoirs. Elle qui n’avait pas envi de parler, il allait falloir donner des indications. Engue !!! T’es où pour faire le boulot à ma place ??!!
Un soupire et elle se décida à ouvrir la bouche pour répondre à sa question. Début de phrase arrêté par l’arriver de nouveaux Frères. Ravlich, Benjamin et Herman. Zalina les laissa approcher pour ne pas avoir à se répéter. Déjà qu’elle n’avait pas envie de discuter, si en plus il fallait qu’elle recommence plusieurs fois dans la même journée, çà allait mal finir.

Finalement au lieu de parler, elle décida de leur montrer. La Peste se rendit dans l’abri et revient avec un plan du haras qui parlerait pour elle. Bonne idée qui permit à Psycho d'arriver à son tour.

On est là. Doigt qui se place au milieu du près principal (le 6 du plan).
Planches et piquets ici. Son doigt glisse sur l’emplacement de la future grange (le 3).
Faut clôturer tout çà. Et finit par dessiner le contour du près principal (toujours le 6).
Clous, masses et marteaux dans l’abri ici (le 5 prolongeant le 1).

Questions ?

Une nuit blanche à planter une petite dizaine de piquets sur la face ouest du près en buvant du Génépi et son envie de disparaître des derniers jours lui avaient décidément enlevées toute sociabilité et capacité à faire de phrases. Elle ne pouvait pas faire mieux que çà.
La Cavalière attendit en fixant ses Frères tour à tour une éventuelle question à son explication. Si aucune ne venait, elle reprendrait ses allers-retours pour rapprocher les planches à Caturix.

Toujours assis, toujours endormi, Zarhroc vit arriver d'autres frères les uns après les autres. C'est yeux toujours mi-clos observait le manège sans vraiment permettre au gascon une quelconque réaction. Il vit Benjamin à peine arrivé, et déjà au boulot. Ravlich et Herman demandaient des explications, comme lui, et Psycho arrivait le souffle coupé...ou presque.

Zalina allait d'ailleurs commencer à montrer de quoi il s'agissait, de façon d'ailleurs très clair, avec un plan tout auss clair, même pour Zar', qui s'était levé pour l'occasion.
Lorsqu'elle demanda, toujours aussi clairement (au moins pour un endormi), si quelqu'un avait des questions, Zarhroc eut pour toute réponse de demander le plus poliment possible :

Peux voir le plan de plus près ?

Il regarda alors un peu plus attentivement le plan. Il semblait d'ailleurs se réveiller.

Alors... nous on est là... faut aller ici pour chopper ça... Il leva la tête. OK... On clotûre ça Il releva la tête, se déplaça un peu, et fit un p'tit tour sur lui-même, l'air un peu étonné. Puis se reconcentra sur le plan. Pas mal tout ça ! Boudiou !...enfin bref... Et on va chercher ça là-bas !

Il leva la tête encore une fois, et pour de bon...

Allez c'est parti !!

Le p'tit déj avait fait son effet, le bonhomme allait un peu mieux. Il alla sans attendre chercher quelques clous, marteaux et masses (dans la mesure du possible), déposa le tout prêt de Zalina (ou de la carte comme vous voulez) et repartit porter quelques piquets.
Et peu plus lourd ce bazard, mais ils seront bien utile.

Benjamin mettait des planches...

Bon le but est de planter les piquets avant que les cloueurs de planches n'arrivent.

Il ne s'adressait à personne en particulier, donc se retourna vers le groupe des "sans boulot" :

Quelqu'un m'aide ?

Knarel planter ses piquets quand une marrée de freres étaient apparut. Avec tout ce petit monde, ça allait vite être fini. De plus, le soleil brillé haut dans le ciel, ce qui rendait le haras encore plus magnifique. Knarel avait fini de planter les piquets qu'il avait en main lorsqu'il s'approcha et écouta attentivement les explications de soeurette Zaza. Ensuite, il fila chercher d'autres piquets et retourna là où il c'était arreter précedement.

-C'est les planteurs, qui gueeeeeeule, qui gueeeeeele. C'est les planteurs, qui gueule les plus fooooooort !!!

Psycho arrivait donc juste à temps pour recevoir les consignes, il écouta attentivement chacun des rares mots que prononçait la peste... Il observa méticuleusement les plant tandis qu'elle y déposait en tout sens ses doigts rougies voir ensanglanté...

Puis il observa les alentours afin de voir qui était là, et ce que chacun était en train de faire.

Zarhroc avait entreprit de planter du piquet, voilà une chose qui était dans le domaine de compétence de Psycho... et qui plus est il commençait à avoir un peu d'expérience.

Il enfila ses gants et se porta volontaire à peine une seconde après Mackx et Herman

Bon qui tien le piquet? qui assomme... heu... martel? et qui ramasse les morceaux?
Psycho rit à gorge déployée...
Bon je ne suis pas suicidaire et j’en ai assez reçut sur la tête pour un an, il jeta un regard en direction de Herman… alors moi je vous rapproche les pieux au fur et à mesure et vous vous les plantez... ça marche?
Psycho souriait toujours... il était de bonne humeur et il comptait bien profiter de cette journée en plein aire auprès de ses frères et soeurs.