[RP] Banquet d'intronisation

( Pasqu'il parait qu'il faut faire bien. Pasqu'il parait que je suis sensé être trèèèès gentil, meme avec les petites pestes...

Donc, Hommes d'Armes, This way, après le boulot! )

Liagan enta avec son armrueencore abimé a certaisn endroits. I lse dirigea vers ses freres

Bonsoir ms freres, comment allez vous donc? J'ai appris qu'il y avait un banquet ? Est ce bien ici?

L'ambiance était pesante et lourde, selon les souhaits du Grand Maistre. Ambiance sombre, quelques chandeliers sur les tables, quelques torches aux murs, mais rien de plus pour éclairer. Le soleil qui était en train de décliner marquait les derniers soubresauts de sa course journalière, et dardait de quelques derniers rayons roux l'intérieur de la forteresse. La cérémonie d'intronisation était globalement bien entamée, et les préparatifs du banquet étaient achevés. Des chemins de table aux couleurs de l'ordre, licornes d'argent sur fond azur ceintes d'étoiles brillantes et de lys d'argent étaient apposés sur les tables, avec écuelles et cornes à boire. Comme le voulait la tradition, les banquets nécessiteraient la cuillère et le coutel de chacun. Bancs étaient prêts, les tablées du milieu étant réservées au haut conseil, et aux intronisés du jour. Ce soir, Enguerrand de Lazare et Semnos dineraient avec les dirigeants de l'Ordre. Les chevaliers et les hommes d'armes se placeraient alors de chaque côté du Haut Conseil: les chevaliers vers le comptoir, les hommes d'armes vers le mur. Ainsi, les deux groupes ne pourraient pas prétendre à une quelconque distance de ceux qui dirigeaient l'ordre par rapport à eux. Meme dans le banquet, le Haut Conseil faisait partie des hommes d'armes.

La viande était rôtie, les tonneaux au frais, et tous les plats prêts. La salle de la taverne serait comble, et on espérait bien qu'il y aurait chants, danses et autres amusades spontanées de la part des uns et des autres. Kékidi ne ménageait pas sa peine, slalomant entre les fours pour sortir le pain frais, les assiettes pour y mettre la viande, les corbeilles pour les fruits. Le menu serait frugal, chevaleresque. Il avait opté ce soir, plutôt que de garder sa vieille chemise en lin maculée de tâches de condiments, de prendre chemise propre et brassards de force, qui aideraient à ajouter au cérémoniel du banquet. Le Grand Maistre avait été clair: c'était une fête.

Le pain était en train d'être coupé, les brocs d'eau étaient sur les tables, et les tonneaux de bière et les bouteilles de vin frétillaient, attendant d'être bues avec impatience. D'autres alcools pourraient, pour les motiver, permettre de bien finir la soirée s'ils le désiraient, autour d'une partie de "Roy qui boit", par exemple. La soirée et le banquet, bien que frugaux, promettaient d'être une belle fête.

Quelques hommes d'armes venaient d'entrer, encore tout étonnés de leur découverte de la Forteresse. René reconnut le gamin à qui il avait demandé de l'eau, ainsi qu'une jeune fille qu'il avait déjà dû croiser à une reprise. Affairé, il ne détourna quasiment pas le regard de son pain lorsqu'elle vint à lui, lui demandant des éclaircissements.

" - Bonjour tavernier, ou doit-on dire Kékidi ? ! Nos gosiers sont asséchés, auriez-vous l'obligeance de nous servir deux dames blanches, s'il vous plait ? Gné potib ?? Et pourriez vous nous dire, qui nous attendons ? "

Kékidi, tout en tentant de bien comprendre ce qu'elle disait, prépara minutieusement sa réponse.

- BIERE DANS LES TONNEAUX. POUVEZ VOUS SERVIR. ET METTEZ TUNIQUES DE L'ORDRE, ET PROPRES. SOIR D'INTRONISATION, CE SOIR.

Là fut toute sa laconique réponse: globalement: Ma grande, pour la bière, t'es grande. En plus, tu pues et tu es sale, et c'est pas forcément le standing demandé. Et on attend les chevaliers, qui sont en pleine intronisation. Claire, concise, la réponse fusa. Et Lefunambule de repartir, avant d'entendre dans son dos:

- PREND LES CHOPES. PLUS SIMPLE POUR LE SERVICE. SUR LE COMPTOIR.

(Le funambule fait 8. Considérant qu'on va être sympa, on va dire qu'il comprend.)

Content que je ne em sois aps trompé, enfin on, les Capitaines vont venir dans longtemps? La réunion a du etre plus longue que prévu, je pense.

Tavernié, je vais vus predre une chope s'il vous plait.

Liagan alla prendre une chope et demanda si quelqu'un en voulai

J'ai vu le Capitaine Ruhu, tout a l'heure.

Liagan regarda que Zarhroc regardait sa tenue et Liagan lui dit


Vous en faites pas pour votre tenue, nous sommes qu Homme d'Arme ce n'est qu'a partir d'Ecuyer ou on a des choses de l'Ordre de la Licorne. Regardez moi, depuis la Guerrede Bretagne, mon armure ne vaut lus rien.



Liagan monra le flanc gauche de son plastron et son cuissards gauche, ces parties qui était en plaque, et sa cotte de maille commencait a avoir queques anneaux cassé, ou tordu par le combat.

Donc bon, dificile de faire pire que moi.

Mais deriens frere.

Le tavernier est si méchant que ca?

Liagan remercia Zarhorc de sa réponse, il but une gorgée de bière, et reposa sa choppine, il entendit la porte s'ouvrir et se retourna, il vit une femme charmante. Il l'écouta, et une fois fini, il lui répondit


Bonsoir soeur, je suis l'Homme d'Arme Liagan, enchanté de faire la connaissance d'un membre des Licornes. Et bien, Kékidi est dans le coin gente dame, et oui, il y a normalement une cérémonie, néanmoins, nous ne sommes que trois, si vous voulez vous joindre a nou, ce serait avec grand plaisir que nous vous laisserons de la place gente dame.

Citation :

Bonsoir soeur, je suis l'Homme d'Arme Liagan, enchanté de faire la connaissance d'un membre des Licornes. Et bien, Kékidi est dans le coin gente dame, et oui, il y a normalement une cérémonie, néanmoins, nous ne sommes que trois, si vous voulez vous joindre a nou, ce serait avec grand plaisir que nous vous laisserons de la place gente dame.

Akane souria à un de ses nouveaux frères

Et bien cela sera volontiers que de me joindre à vous ! La journée fut harassante n'es ce pas Fufu ?

Elle fit un clin d'oeil à sa soeur, puis reprit la parole

Alors il va y avoir une cérémonie ? Une cérémonie d'intronisation je pense !

Elle regarda sa tenue, oui, elle était présentable. Heureusement qu'elle avait pensé à aller revetir une tenue propre avant de se rendre à la taverne

Et bien en attendant ce grand moment je prendrais bien une chopine moi !

Mackx arriva dans la salle et vit Zahroc avec qui il avait coupé du bois, deux autres personnes qu'il avait croisé le matin même et une quatrième qu'il ne connaissait point.

Salut à tous ! Il fait soif ici , puis, voyant la carrure du tavernier, C'est à lui qu'on demande pour les bières ?

Heureusement pour lui, le serveur monolithique avait l'air d'avoir compris sa soif intense et déposa une pinte sur le comptoir.
Mackx alla la chercher, non sans bien vérifier que le serveur se tenait hors d'atteinte puis vint s'assoir avec ses frères.

Et bien, je suis fourbu de la tête aux pieds ! Et vous ?

Puis, s'adressant vers Akane, Je ne pense pas vous connaitre ma soeur, comment vous appelez-vous et quel est votre grade ?

[iLiagan s'inclina devant la dame, puis, une autre personne arriva, il s'inclina et se présenta.[/i]


Bonjour Frère, Homme d'Arme Liagan, venez donc vous assoir avec vous.

Allé hop, prenez une bière, on ne mord pas a ce que je sache.
Savez- vous, quand cela commence?

Kékidi, qui était sourd globalement quand ça l'arrangeait, avait décidé de suivre l'opération du coin de l'oreille. Il ne fallait pas croire non plus que ce brave tavernier baillait aux corneilles, car les tâches étaient là, et elles attendaient avec empressement!

Kékidi avait encore quelques petites choses à préparer, qui nécessitaient une attention constante.

Les volailles se plumaient une à une, et allaient bientôt passer à la broche. Les légumes cuisaient, dans un bouillon qui en ferait un pot-au-feu parfait. Du miel et du beurre étaient sortis, placés sur de grandes plaques ou en de grands bols, avec des cuillères en bois. Le four à pain, qui illuminait la partie proche du comptoir (objectif évidemment calculé) fonctionnait à plein régime, les miches entrant, sortant. Kékidi avait eu fort à faire pour le faire fonctionner, car non content d'avoir un besoin constant en combustible, le bougre n'avait pas été allumé depuis perpet'!

Et allumer un four à pain, c'était là toute une histoire...

L'intérieur du four était tapissé de briques, qui étaient thermoréactives. Elles absorbaient la chaleur du feu, la rendant par la suite à ce qui cuisait. L'intérêt était alors de préparer un feu gargantuesque, ce dont René s'était chargé en début de matinée, qui chauffait les briques quasiment à blanc. Cet effet obtenu quasiment dès le zénith, Kékidi en avait alors relayé les braises dans le fond du four, pour maintenir la température le plus longtemps possible, avait ôté les cendres au fur et à mesure, et y avait alors enfourné les premières miches et fort était de constater que, presque 7 heures plus tard, le four continuait à tourner, et à fort bien cuire. La chaleur à proximité était quasi-intenable, et kékidi seul pouvait se permettre d'approcher à moins de 3 mètres, et encore en suant comme un porc. Torse nu, le diable s'échinait autour du four, enfournant, défournant, controlant la chaleur, versant eau ou pétrin avec la meme énergie, dans une température qui près de la porte du four atteignait les 50 à 60 degrés. La salle étant placée relativement loin du four, la chaleur y était tres tenable, mais on observait bien que les soirs de banquet, aucune cheminée n'avait besoin de fonctionner dans la pièce: la température parvenait à être de 22 à 24 degrés dans la taverne sans le moindre embarras. Il sortait du four, réinserrait, coupait le pain, le faisait porter sur les tables, alors que les hommes d'armes affamés commençaient à boire en attendant leurs ainés. La cérémonie était sans doute bien entamée, et le Grand Maistre risquait de la faire durer...Il n'avait pas laissé d'instructions pour le banquet, et René hésitait, en regardant les hommes de troupe attendre après leur dure journée, à leur proposer de s'asseoir et de commencer à manger.

Tendant l'oreille, il entendit à un moment la remarque de Liagan, qui demandait quand cela devait-il commencer. Ayant été prévenu par Guillaume de ce point en tout cas, il se retourna, s'épongeant le front, et répondit à sa manière, succintement et brièvement, de façon claire et forte:

Citation :

Savez- vous, quand cela commence?

LES HOMMES D'ARMES S'PAS CONVIES A LA C'REMONIE. 'FONT PAS OFFICIELLEMENT PARTIE D'L'ORDRE. VOUS ATTENDREZ LA FIN D'LA CEREMONIE POUR R'TROUVER LES AUT'.

Et, les voyant pour certains hésiter à se servir:

HESITEZ PAS AVEC LA BIERE ET L'CIDRE, SURTOUT. Y'EN A POUR TOUTE UNE ARMEE.

Et, ceci fait, de se rabaisser devant l'entrée du four et, la sueur continant à dégouter sur le carrelage, de regarder si le pain était cuit...