Anjou : situation susceptible d'évoluer vers un peu d'action, non ?

Simple supposition. Mais vu certains indices, peut-être qu'il va falloir en tenir compte.

Citation :

De Nous, Angelyque de Monstestier, par la Grâce de Dieu, Reyne de France.
De Nous, Crezus de Monstestier, Roi de France

A toutes celles et ceux qui liront ou se feront lire,
A vous l'Anjou; braves sujets français,
A vous dirigeants politiques angevins.

Salut & paix

Ne nous leurrons pas, l'affaire est grave. Les balbutiements ronflants que certains de vos élites politiques, qui aiment jouer à la sédition, font vrombir à nos oreilles, sont autant d'ennuis dont Nous nous passerions bien, et autant d’occasions de vous causer du tort.

Pour éviter tout malentendu, Nous parlons ce jour de la mise aux arrêts et de la condamnation de notre Secrétaire d'Etat, Son Excellence Andaine, représentant officiel de la Couronne de France en ses terres vassales, et ce alors même que son Altesse Charlemagne de Castelmaure Von Frayner venait d'être envoyé par nos soins afin d'engager une discussion saine entre adultes consentants, en gage de la très bienveillante impression que l'Anjou fit en s'opposant aux Fatum, dans l'après de notre élection.

Que faire d'autre devant un groupe d’enfants dont les meilleurs représentants sont au mieux gâtés, au pire corrompus. Qui pensent que l'Anjou est leur possession, disposant des pouvoirs attachés aux terres, pour engager leur peuple sur une pente glissante et rebelle, et nous met de fort méchante humeur. Las, l’Histoire nous a montré où cette folie mène. Oui, que faire, voilà la question dont bruissent les couloirs de Paris et les réactions sont unanimes, nul pour défendre ces indociles naïfs.

Le sujet est critique, mais les actes répétés d'une junte politique abîmée et imbue, bien qu'ils ne soient pas représentatifs de la volonté de son propre peuple, scient nos nerfs, et sont une insulte à la royauté et son rayonnement, couleuvre que la France n’a plus la force d’avaler. Si vous avez pu jouir d’une certaine complaisance jusqu’alors, il n’en n’est plus rien.

Vous politiques, êtes sujets angevins & français à part entière, vous en avez les droits tout comme les devoirs; c'est donc avec la plus grande fermeté que nous condamnons votre dernier éclat, niant de fait les efforts diplomatiques que nous avons entamé officiellement afin d'aplanir les dissensions, voire peut être même vous accorder ce à quoi vous aspirez tant. Le Rubicon ne se franchit pas impunément, Nous attendons ainsi des excuses officielles de la part de l'Anjou.

Instamment & promptement.




Car ainsi nous l'avons décidé et parce que tel est notre bon plaisir.

Donné et scellé à Compiègne le 24 ème jour de janvier 1463

Et moi qui viens à peine de revenir en Flandres... Si j'avais su, je serais resté dans le Maine...

Actuellement nous en sommes ou?
Que ce soit pour l'Anjou ou pour le Maine?