Annonces Royales et des Grands Offices.

Nous recenserons ici les annonces qui pourraient nous intéresser de près ou de loin.

Citation :

Moi, Maurrane* Hebourg, Grand Prévôt de France,

Porte à la connaissance de toutes et tous, présents et à venir, l'annonce suivante.

[hr=50]

Dès ma nomination à la tête de la Grande Prévôté de France, certains membres des Ordres Royaux m'ont fait parvenir des demandes pour obtenir le jeu de clefs de la Grande Prévôté de France. Pensant bien faire & comme la Charte me le permettait, j'ai fait le choix de les attribuer.

Après réflexion & enquête, je me suis aperçue qu'aucun d'eux n'avaient accès à la Connétablie de France, aucun de mes officiers n'avaient les clefs des Ordres Royaux non plus. Trouvant cela anormal & étant dans mon bon droit, en application avec la Charte actuelle de la Grande Prévôté de France, les portes seront fermées aux membres des Ordres Royaux.

N'étant pas contre le partage d'informations, ils trouveront toujours une réponse, que cela soit auprès de mon adjointe & moi-même.

Cette annonce fait suite aux courriers envoyés au Grand Écuyer de France & aux Grands Maîtres des Ordres Royaux.

[hr=50]

Rédigé par Emma* de Castelviray & Bonnemaison, Vice Grand Prévôt de France.
Je signe et appose mon scel en ce 25ème jour de mai 1468.

[hr=25]

* Maurrane28
* Emma_castelviray

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------Un royaume est condamné à sa perte s'il avance sans respecter son histoire et son héritage, et la qualité principale d'un bon dirigeant est ainsi de savoir mettre ses intérêts personnels en veille et de faire passer les intérêts de son peuple avant tout le reste. Le rêve inatteignable de Lemerco vient de condamner la Bretagne.

----------La terre de Bretagne, les acquis bretons, il les a troqués contre le rêve fou du Mont Saint-Michel depuis la mi-février où une armée constituée de bretons a franchisé la ville d'Avranches en Normandie, en mon Domaine. L'absence de pavillon n'a dupé personne sur ce cheval de Troie. J'ai été alors plus que conciliant envers eux. Les limites de ma patience ont encore été repoussées lorsqu'une armée battant cette fois pavillon breton est venue à Avranches, pour de prétendus pèlerinages qui n'avaient, jusqu'à mi-février, jamais posé problème puisque la France et la Bretagne étaient liées par de nombreux traités. Cet acte aurait pu être celui de trop mais j'ai choisi de faire montre, une fois encore, de magnanimité, non pour Lemerco, mais pour le peuple de Bretagne, pour préserver la paix que leur dirigeant tenait à jeter au feu. Vexé de n'être pas chez lui en Normandie, Lemerco a promis prime sonnante et trébuchante à tout navire breton qui coulerait un navire normand. La France s'est engagée dans une procédure diplomatique pour faire entendre raison à Lemerco, aveuglé comme un enfant contrarié, mais l'obsession du Mont Saint-Michel a altéré son esprit, et la Bretagne a ainsi rapidement coupé la connexion que nous avions établie.

----------Si j'ai tendu la main, encore et encore, je n'oublie pas tous les affronts que Lemerco a fait à la France. Ma bienveillance a des limites qui ont été franchies. Aussi, puisque Lemerco a décidé de placer la Bretagne au niveau de provinces comme l'Anjou ou le Berry, elle sera traitée comme telles et suivra le même destin qu'elles : un destin de désertification et de mort, amené par la folie de ses dirigeants.

----------A compter de ce jour, la France dénonce donc tous les traités la liant à la Bretagne -hop, à la corbeille-, ce qui entraine, entre autres, les conséquences suivantes :


• La noblesse bretonne n'est plus reconnue par la France - les bretons déjà inscrits en joutes françaises sont de facto retirés ;
  
• La Bretagne n'est plus reconnue comme un État par la France ;
  
• Tout commerce avec la Bretagne est désormais interdit.


----------Je demande officiellement à nos alliés étrangers de couper tout lien, diplomatique, commercial ou militaire, avec la Bretagne.

----------Enfin, puisque quand on cherche, on trouve, je déclare Lemerco ennemi de la Couronne de France.

----------Lorsque la Bretagne se dotera d'un nouveau chef qui aura le respect de son peuple et de son Histoire, un chef qui saura diriger un état, de nouvelles discussions pourront être envisagées.

---------- Il est encore temps de fermer la session "Lemerco" et de faire une restauration système à des versions antérieures à ce Gand Duc V3.1 qui agit envers son peuple comme un véritable processus d'autodestruction.

Qu'Il veille,

Rédigé à Paris au mois de mai 1468 et de ce jour le troisième.

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------La Gascogne, depuis bien des années, est le terrain de jeu malheureux du félon à la Couronne Namaycush Salmo-Salar et de ses acolytes rassemblés ou non sous la bannière de la Memento Mori. Mais la Gascogne n'est pas un terrain de jeu, c'est une province vassale que je sais fidèle à la Couronne sous la crasse et l’opprobre que Namaycush s'échine à jeter dessus.

----------Le 13 mai, la liste ducale GPP, menée par le sus-nommé, a été élue à la majorité absolue mais personne n'est dupe quant au fait que les acolytes de Namaycush profitent de la baisse démographique pour interpréter les résultats et ainsi manipuler le désir des gascons. La résistance farouche qui s'organise au sortir des urnes est la preuve que les gascons sont fidèles à la France, décidés à lutter contre les imposteurs qui s'arrogent leur volonté.

----------C'est pourquoi je ne reconnaitrai aucun membre de la liste GPP comme duc ou duchesse de Gascogne. Jamais je ne cautionnerai que les pantins d'un félon à la Couronne de France - quand ils ne sont pas eux-mêmes traîtres ou félons - aient une quelconque légitimité sur les gascons et puissent se targuer d'être leur voix. J'encourage ces derniers, nobles et roturiers, à se battre pour leur identité, à se battre contre une bande de traîtres qui n'a pas à cœur les valeurs de la France.

----------Le château sera donc repris car nul joyau ne saurait rester entre des mains malintentionnées. Il sera remis à Sa Grâce Isabelle Sorel qui assurera, d'ici-là, le rôle d'intendante du duché ; elle a ainsi en charge, à partir d'aujourd'hui, la gestion de la Gascogne et ce, jusqu'à la reprise du château.

----------Si des traîtres et félons veulent de nouveau pouvoir échanger un serment vassalique avec la France, ils devront obtenir une grâce qui n'a rien de rapide ou de gratuit ; les chemins du pardon sont ardus.

Qu'Il veille,

Rédigé à Paris au mois de mai 1468 et de ce jour le vingtième.

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------Fragile est l'équilibre au sein d'un conseil ducal déjà sous tutelle afin de s'assurer que sa stabilité soit durable. Alençon étant une province du Domaine Royal, la Couronne est particulièrement exigeante quant aux qualités qui doivent être rassemblées et exercées.

----------Objet de toutes les attentions depuis le début de mon règne, la tutelle en Alençon dure depuis presque deux mois, sous deux conseils ducaux différents. Les problèmes, s'ils ne sont pas égaux, sont globalement les mêmes.

----------Retard dans les nominations, plusieurs démissions, éviction pour querelle, effondrements de mine, problèmes de communication au sein du conseil ducal : le bilan des Pairs qui nous a été transmis est sans équivoque. S'il convient de saluer la remontée du prestige, des stocks et la bonne communication avec la connétablie de France, ces points positifs ne sauraient contrebalancer les autres.

----------C'est pourquoi je décide de renforcer la tutelle et de prendre les mesures suivantes, afin d'être certain qu'à l'issue du mandat ayant cours, la situation du duché d'Alençon soit saine et durable :


• Pour les décisions économiques, elles devront désormais être évaluées et validées par l'officier royal de la Surintendance des Finances sur place, et par les pairs en charge de la tutelle.
  
• Les Pairs de France me représenteront, et ils pourront ingérer et devront valider les affaires ducales, notamment dans les nominations, les prises de décision politique du duché.
  


----------En appeler à un renforcement de tutelle n'est jamais une décision plaisante, mais c'est le prix pour que les querelles cessent et que le duché retrouve la paix et un équilibre durable.


Qu'Il veille,

,

Rédigé à Paris au mois de mai 1468 et de ce jour le vingt-huitième.

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------Il y a près de quatre mois, la Bretagne envoyait une armée à Avranches pour rendre la ville franche, afin de s'accaparer ensuite le Mont Saint-Michel qui est et restera normand. Au nom de la paix, j'ai ordonné l'arrêt de cette manœuvre et j'ai cru alors à un coup de folie passager de la part de Lemerco. Lors de l'arrivée de la seconde armée bretonne, j'ai choisi, une fois encore, de poser un avertissement et un ultimatum à Lemerco, bien conscient qu'il s'agissait là de la lubie d'un homme qui n'avait pas conscience - ou se moquait éperdument - des conséquences de ses actes, tel un petit enfant.

----------Non content de ce que j'avais déjà laissé passer pour la paix entre la Bretagne et la France, Lemerco se permettait de mentir et d'insulter nos vassaux les Grands Feudataires, fanfaronnant de rien puisque, par deux fois déjà, il était rentré la queue entre les jambes. Malgré tout, encore, j'ai accepté la discussion de paix demandée par la Provence. Lors de celle-ci, il était convenu qu'aucun acte offensif ne devait être commis, d'un côté comme de l'autre. Or, Lemerco n'a pas respecté ce principe.

----------Dans les eaux normandes, une corsaire bretonne a coulé un navire français. Ceci est déjà inacceptable mais le fait est d'autant plus grave que des officiers royaux de la Surintendance des Finances se trouvaient à bord. J'ai demandé à Lemerco d'agir à l'encontre de cette corsaire, de faire paraître une annonce publique pour dénoncer cet agissement contraire à l'esprit de paix de la discussion que nous menions. Lemerco a refusé et, par son choix, se fait complice de cet énième attaque envers la France et démontre son manque d'intérêt et de considération pour la paix, la discussion aimablement demandée par la Provence, et ses propres mots qui n'avaient déjà pas plus de valeur qu'un vulgaire caillou.

----------Il suffit, désormais, de ses palabres vaseuses, de ses actes odieux visant à reprendre le Mont Saint-Michel au prix de la paix et de son peuple. J'ai par trop de fois déjà, été le bon père de famille qu'il aurait dû être pour les bretons, en pensant réellement à eux et à une guerre qui leur aurait été imposée et douloureuse. A présent, il est temps que la Bretagne prenne ses responsabilités.

----------Garant de l'intégrité de la France, je lève le ban royal. Pour rappel, la levé de ban royal concerne mes vassaux directs : nobles du Domaine Royal, d'Île-de-France, régnants des provinces vassales, les ordres royaux, l'ordre souverain de l'Étoile et chevaliers. Les Grands Feudataires devront lever le ban de leur province pour répondre à l'appel ou s'acquitter de 18 écus par noble de leur ban et par jour ; leur décision devra être transmise au héraut de leur province. Si un régnant de Province Vassale lève son ban, il devra lui-même indiquer les modalités d'acquittement de ses nobles. Si un noble d'Île-de-France et du Domaine Royal choisit de s'acquitter, celui-ci devra 18 écus par jour à la Couronne. La réponse des nobles devra être donnée au héraut de leur province et les compensations devront être réglées à la Surintendante des Finances, Erraa de la Huchaudière.*

----------Tous les nobles du Royaume de France occupant un poste In Gratibus les obligeant à une présence fixe, ainsi que les chefs d'armée, peuvent êtreexcusés d'office le temps de leur mandat. Les nobles sont encouragés à lever leur propre mesnie pour défendre les valeurs françaises. Les volontaires non-nobles désirant s'impliquer sont invités à contacter le Connétable de France, Sa Magnificence Coleen de Colmarker.** Le rendez-vous est donné à Orléans, capitale du duché d'Orléans, le 16 juin 1468.

----------Namaycush ayant des liens avérés avec la Bretagne, j'appelle les régnants d'Armagnac et Comminges, de Béarn, de Guyenne, de Gascogne - lorsque le trône comtal sera revenu en de saines mains - et de Rouergue à maintenir leur ban dans le Sud afin d'éviter des débordements éventuels et de ne pas ouvrir une brèche dans la défense française. Nous les appelons donc tous à se rendre sur Mont-de-Marsan pour le 16 Juin. Ces nobles mobilisés recevront leurs accès dans un espace de mobilisation pour recevoir les missions.

----------Enfin, ainsi qu'énoncé plus tôt, il est temps que la Bretagne prenne ses responsabilités : les bretons disposent désormais de dix jours à compter de la parution de cette annonce pour quitter les armées et démettre Lemerco de son statut de chef. Si Lemerco est démis durant ces dix jours, la France restera en ses frontières et rétablira les traités dénoncés. En cas contraire, la France ira se faire justice elle-même pour toutes les attaques et tous les affronts qu'elle a subi, et libérer la Bretagne du joug d'un enfant despote qui salit son peuple et son histoire.

Qu'Il veille,

Rédigé à Paris au mois de juin 1468 et de ce jour le seizième.

* [char]Erraa[/char]
** [char]Coleen_de_colmarker[/char]

On notera tout le dévouement à la Couronne et à la France de certains membres de la Connétablie, qui ne trouvent rien de mieux que de quitter l'office en plein conflit et au moment même où il faudrait pouvoir assurer une transition "simple" :

Citation :

A tous ceux présents et avenirs qui la présente annonce liront ou se feront lire, De Nous, Carmen Esmée de La Serna, Dauphin de France, Connétable Pro Tempore,





Salutations et Paix,



Aujourd'hui est un triste jour pour le Grand Office de la Connétablie de France. En effet trois démissions entre hier et aujourd'hui. Anastasie de Clairesses, Maréchal aux frontières et Daisy Black, Maréchale de France ainsi que Cecilya Dellabosia, Aide de camp démissionnent suite aux différents changements que l'office a subit ce 11ème jour de Juin mil quatre cent soixante-huit.*

Ces officiers avaient de nombreuses qualités et méritent largement les remerciements et éloges pour avoir tenu leur postes avec une telle loyauté envers leur mentor. Hélas c'est aussi cette admirable loyauté qui les pousse à partir.

Nous leur souhaitons de nouveaux projets épanouissants et beaucoup de plaisir dans leur futures charges.





Que le Très Haut les garde.

Rédigée et scellée au Louvre, le douzième jour de Juin 1468 par Carmen de La Serna,

Les rats quittent le navire...Ça me faisait mal au seant de voir Daisy Black maréchale de France... quand à Anastanase ça ne fait que confirmer ce que j'ai toujours pensé d'elle...

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------Deux jours se sont écoulés depuis le rassemblement officiel à Orléans et dans d'autres villes de France pour organiser la levée de ban royale. La France est grande et forte, et nous achevons, tous ensemble, de nous préparer. Nous sommes nombreux, bien plus que les bretons, et ceux-ci apprendront au prix du sang, qu'ils ont voulu, ce qu'il en coûte de s'en prendre à la France.

----------Au nombre conséquent de vaillants soldats que compte la France, s'ajoute la valeur de ses capitaines d'armées. Je cite ainsi Sa Seigneurie Lexhor d'Amahir et Sa Grâce Julien Giffard dont les courriers quotidiens galvanisent leurs troupes par leur bonne humeur et leurs convictions. Des initiatives similaires se mettent en place dans différentes sections et je les salue.

----------Depuis plusieurs mois, les bretons attaquent la France. Ils ont pris Avranches, il est vrai. Ils étaient aux portes de Laval, il est vrai aussi. Toutefois, les voici, à ce jour, rentrés à Fougères, comme des rats qui rentrent dans leur trou quand ils sentent le feu arriver. Car c'est ce que nous sommes, c'est ce que chaque homme et femme de nos armées sont : une flamme qui brûlera les rats bretons. A l'aide de la pelle du 18 juin, nous les enterrerons !

----------Soldats ! Ils étaient mal préparés ! Rien n'aurait pu les préparer au courroux qu'ils ont réveillé. Ils ont faim, ils n'ont plus d'écus pour se fournir, plus d'alliés pour les soutenir. Leurs champs sont à l'abandon, leurs échoppes sont vides. Ils pensaient pouvoir se nourrir chez nous mais ils ne savaient pas combien le pain est précieux au français ! Ils ont reculé, et nous avançons maintenant, sans une égratignure.

----------Avranches redeviendra normande, et la France la relèvera de la négligence bretonne. Avranches est un joyau dont on doit prendre soin, non un vulgaire trophée qu'on accroche au-dessus de sa cheminée. Et à l'heure où la France retrouvera sa sûreté, la Bretagne tremblera pour la sienne.

Qu'Il veille,

Rédigé à Paris au mois de juin 1468 et de ce jour le dix-huitième.

Citation :

GUILLAUME de la Mirandole, Roy de France par la grâce de son peuple & par la volonté du Très-Haut.

Aux Nobles & Clercs,
Aux Bourgeois & serfs,

Salutations & paix

----------Chaque jour depuis l'annonce de la levée de ban royale, des hommes et femmes sont mobilisés au sein des armées françaises. Séparés souvent de leur famille, de leurs obligations, ils sont parfois venus de loin pour défendre la France et son intégrité. Du côté breton, les motivations sont bien plus turpides mais le sort est similaire. Ainsi que je l'avais annoncé de moult fois, nos peuples sont déjà affligés de la guerre et de ses conséquences.

----------Obsédé par une guerre que nul ne voulait, Lemerco a persisté dans ses attaques et ses provocations, jusqu'à vouloir faire croire à une fausse rédemption bretonne au début du mois. S'imaginant probablement se jouer de ma personne, il n'a fait que mettre en exergue son immaturité et le désir de paix français. Ce faisant, également, il a renforcé la détermination des français à obtenir réparation pour tous ses actes et mots à leur encontre.

----------Récemment, Lemerco a de nouveau proposé la paix, tremblant sans doute devant le nombre de soldats français prêts à en découdre. Je ne le laisserai pas salir une seconde fois la France par ses jeux futiles et ses provocations enfantines. Néanmoins, puisque l'homme est connu pour faire un pas en avant et deux arrière - sa dernière annonce devant être le deuxième pas en arrière -, j'accepte de considérer le sérieux de la volonté affichée. Mais les choses ne sont pas aussi simples : on ne mobilise pas un royaume contre ses actions offensives répétées pour se rétracter ensuite sans y laisser des plumes.

----------Rappelant ce que la France a subi comme dommages et préjudices, les propositions de Lemerco sont bien insuffisantes. Des bateaux normands ont été coulés, des officiers royaux ont manqué de perdre la vie en mer, des habitants ont perdu ce qu'ils avaient mis parfois toute une vie à bâtir, Avranches a été annexée, les murs de Laval ont été franchis et le ban royal levé - liste non-exhaustive. Il serait trop facile de passer l'éponge comme s'il ne s'était rien passé, étant donné que les bretons n'ont jusqu'à présent rien perdu d'autre que leur honneur.

----------Octroyer un dédommagement à la Normandie et au Maine, en écus et/ou en vivres sera ainsi la condition française pour accepter la paix. La Couronne attend désormais des bretons une proposition sensée et honnête, car il apparait évident que la paix a ici un prix et qu'il n'est pas de trois cents écus. Je déconseille fortement à la Bretagne de s'amuser à présenter une plaisanterie à la France : il n'y aura qu'une et une seule proposition. Aucune négociation ultérieure.

----------Ma femme, Son Altesse Royale Madeleine de la Mirandole-Firenze*, ayant été enlevée par la Bretagne - affront de plus -, j'adresse un message personnel à Lemerco : pensez à me la rendre. Je sais qu'elle est jolie mais c'est la mienne. Merci de me la rendre en bon état, non-souillée, et avec toutes ses culottes - les siennes coûtent cher.

----------Pendant cinq jours, jusqu'au 30 juin à minuit, la France attendra une proposition de dédommagement de la Bretagne. Les armées françaises ne sont pas démobilisées durant ce laps de temps. Ce délai dépassé, je considérerais que la Bretagne ne désire pas assumer d'elle-même les conséquences de ses actes et le courroux français s'abattrait alors sur les terres bretonnes pour obtenir réparation par lui-même.

----------Unie pour son intégrité sous bien des bannières, la France affûte ses épées. Aussi, j'encourage la Bretagne à faire preuve de lucidité et à comprendre qu'elle aurait plus à perdre à sous-estimer le prix de la paix qu'à croire qu'elle peut sauver ses meubles face aux armées françaises qui attendent justice.

Qu'Il veille,

Rédigé à Paris au mois de juin 1468 et de ce jour le vingt-cinquième.

* [char]Madeleine_df[/char]

Et bien on va attendre 5 jours...

Citation :

Je , Liloia de Jacetania de Baish , Grand Ecuyer de France, au nom et pour le compte de Sa Très Gracieuse Majesté Guillaume Enguerrand de la Mirandole, Roy de France,

Acte ce jour la nominationElisabeth Stilton * au poste de Premier Écuyer de France .

Je lui accorde toute ma confiance et lui souhaite courage et réussite pour ses nouvelles responsabilités.

Fait et scellé à Paris au Louvre le 27 juin 1468

*[char]Elisabeth_stilton[/char]

Je comprends qu'elle connaisse suoer bien le poste puisque c'est elle qui l'a créé mais elle doit avoir assez de boulot en tant que montjoie non... une chose qui est sûre c'est que si elle reste les deux elle va avoir besoin d'aide et pas qu'un peu.

Citation :

Aux officiers du Secrétariat d'État,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,


En date du onze (11) juin de cette année, nous annoncions l'ouverture des candidatures à la fonction de Connétable de France.

À l'issue de leur évaluation par les pairs et Grands Officiers, et sur accord de Sa Majesté,

Nous avons décidé de nommer Helsinki de Gaudemar(*), à la fonction de Connétable de France.

Nous l'invitons sans plus attendre à nous rejoindre au Louvre mais tenions également à saluer la volonté des autres candidats qui auront manifesté leur désir d'occuper la fonction désormais pourvue.

Saint-Louis veille sur la France.

[hr=50]

Rédigé au Louvre, en date du 29 juin 1468, sous les hospices de Saint Louis,
Par Mheïl de Volvent Perche-Ried, Grand Maître de France

(*Helsinki)

Axel se facepalm .

Dites! Vous pensez que je peux postuler la?! Ou je ne serais pas capable et il est comment le connétable?
Et oui, j’ai besoin de me trouver quelques choses à faire, me sens bien inutile dans ce monde

Citation :

A tous ceux présents et avenirs qui la présente annonce liront ou se feront lire,
De Nous, Carmen Esmée de La Serna, Dauphin de France, Connétable Pro Tempore,



Salutations et Paix,


Aujourd'hui s'ouvrent les candidatures pour le poste de Maréchal de France en charge du ravitaillement


❖ Le Maréchal du Ravitaillement est en charge de l'approvisionnement en vivres et en armes des troupes de Sa Majesté. Il travaille en étroite collaboration avec la Surintendance des Finances royales. En temps de paix, il gère la solde des Sentinelles et des Capitaines Royaux. En temps de guerre, il assure le lien entre la Connétablie de France et la Surintendance des Finances royales.


J'invite les postulants à se faire connaître auprès du Connétable de France Helsinki de Gaudemar [helsinki] - dans un délai maximum de 7 jours, soit avant le 6 Juillet 1468.

Un entretien pourra être donné selon les souhaits du nouveau Connétable de France.


Que le Très Haut vous garde.


Rédigée et scellée au Louvre, le vingt-neuvième jour de Juin 1468,
par Carmen de La Serna,