[Duel] Guillaume vs ...

Liagan se dirigeait vers la salle d'arme, pour voir si l'on avait répondu à sa demande de duel. Il ouvrit la lourde porte, en la poussant et pénétra dans lapièce. Là, il vit un homme en armure, plus ou moins lourde, il se demandait qui était-ce, du fait que celui ci avait un camail sur la teste.
Liagan se rapprocha petit à petit, il faut avoué que cet homme était, intimident. Liag se resaisit et se dirigea vers celui-ci. Petit à petit, il reconnut le Grand Maistre Guillaume. Liag s'arrété, et s'inclina.

Bonjours Grand Maistre, pardonnez ma présence, je venais regardé si l'on a répondu à ma demande de duel. Mais je vois bien vu d'ici, que personne n'y a répondu.


Liag resta là, en attendant une réponse du Grand Maistre, tout en restant incliné.

Porte qui s'ouvre. Mais qui ne brise pas le vacarme causé par le chevalier flamand. Les coups se poursuivent. il faut attendre les salutations de l'homme d'armes pour que Guillaume cesse son entraînement. Pour un instant? Ou pour plus longtemps? Gardant l'épée en main, dressée comme avant l'assaut, il se tourne vers l'homme d'armes.

- Le bonjour, jeune Liagan. Vous sentez-vous si seul que vous cherchez le combat fraternel? Pensez-vous que c'est incliné que vous verrez un adversaire? Redressez-vous, voyons. Et équipez-vous. Je ne patienterai pas des heures.

Disant cela, Guillaume avait fait route vers une salade qu'il posa sur sa tête, en noua les courroies, et attendit...

Liagan était toujours incliné, quand Guillaume lui adressa ses mots.


- Le bonjour, jeune Liagan. Vous sentez-vous si seul que vous cherchez le combat fraternel? Pensez-vous que c'est incliné que vous verrez un adversaire? Redressez-vous, voyons. Et équipez-vous. Je ne patienterai pas des heures.


A ses mots , Liag se redressa et couru, s'équiper. Il prit une armure en cuir, la mit sur soi, prit un bouclier, ainsi qu'une longue épée. Il revint voir le Grand Maistre, environs 10 minutes plus tard, pret à combattre.

Me revoilà, Grand Maistre. Pret pour un duel.

Liagan était impassible, asi en soi, il était honoré de se battre contre un homme de ce rang. Il n'avait que rarement vue Guillaume, et encore moins le regarder se battre.Mais une chose était sur, il devait bien savoir manié, et la preuve, quand Liag avait pénétré dans la pièce, il avait vu des techniques qu'il n'avait jamais vu. Comparé à lui, Liag ne connaissait que la garde du Faucon.
Bref ce duel était un honneur, où Liag pourrait montré ses capacités, bien qu'elles soient faibles envers cet homme, et où il pouvait faire ses preuves.

Equipés, les deux hommes se faisaient face. Nul doute que d'aucun jugerait cela disproportionné. Mais la victoire ne comptait guère. La Licorne ne formait pas des bretteurs, elle créait des chevaliers. Souriant sous sa salade de retrouver l'euphorie du combat, Guillaume salua son adversaire du jour.

- Liagan, soyez prêt. Mes coups ne seront pas retenus. Pas plus que les vôtres. Nous combattrons en sept touches, car sept est le nombre des vertus chevaleresques, et c'est un chevalier que vous deviendrez, comme celui que vous combattrez. Jeune homme, soyez prêt à me montrer vos talents, en geste comme en parole.

Et le coup part, vif. Fente du Grand Maistre sur l'Homme d'armes, attaque d'estoc, droit sur le sommet de l'épaule gauche, au-dessus de l'os, vers le cuir bouilli du harnois d'entraînement.

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Liag se tenait devant Guillaume. Il était concentré, et fixait celui ci. Il se préparerait à un éventuel coup. Puis Guillaume prit la parole.


- Liagan, soyez prêt. Mes coups ne seront pas retenus. Pas plus que les vôtres. Nous combattrons en sept touches, car sept est le nombre des vertus chevaleresques, et c'est un chevalier que vous deviendrez, comme celui que vous combattrez. Jeune homme, soyez prêt à me montrer vos talents, en geste comme en parole.

Chevalier. Voilà ce que Liagan désirait. Il voulait estre chevalier, avoir ses couleurs, son armure, se battre pour le bien des faibes, et se faire respecté, voilà ce qu'il voulait et les paroles de Guillaume laissait une lueur d'espoir à Liagan, pour y arrivé.

Bien entendu, je ferai de mon mieux. Ce n sera point la vioence qui commandera mes gestes, ni la haine, mais l'honneur et l'envie de vous montrez ce dont je suis capable.

A peine avait il fini que le Grand Maistre porta un cup sur Liag, rapide et bien placé.

Malgré la bonne réaction de Liagan, le coup était très rapide et il ne put rien faire. L'attaque avait atteint sa cible. Une chose est sur pour Liag, ce duel allait estre compliqué pour lui.

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- Car en vertus cardinales figure Justice. C'est la justice qui guide nos coups comme elle mène nos pas. Elle seule est notre idéal. Monde sans justice est monde sans existence. Les paroles sortaient de dessous la salade alors que Guillaume reprenait sa garde. "Et prime coup fut visé pour ne pas blesser. Car blesser pour blesser est attitude indigne. Blesser n'est que dernier recours du combattant."

Cette fois, c'est un tranché vers la hanche dextre de son adversaire qui vient clore l'envoi verbal.

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L'homme d'armes restait muet. Peur du Grand Maistre? Incapable de parler en luttant? Guillaume ne le comprenait point. Lui qui avait vu tant de combattants ordonner, crier, prier parfois, en abattant le fer sur le métal adverse, ce silence le surprenait autant qu'il le mettait mal à l'aise.

Il engagea alors la lame adverse dans un échange retenu d'attaques, parades, forçant les combattants à dialoguer, si pas par le verbe du moins par la lame. Les entrechocs remplissaient peu à peu la salle, les paroles ayant disparu. Mais chassez le natrel, il revient au galop. Et avec lui l'inspiration au Flamand.

Et c'est sur un coup plus violent que naquit a nouvelle parole du chevalier: "Car la parole est arme comme l'épée. Elle porte loin, et survit aux lendemains des batailles. Il faut en user sans abus, mais ne pas la celler. La parole du chevalier est arme et preuve de tempérance. C'est la tempérance qui mène sa langue comme il mène son bras."

Et en matière de bras, le Flamand partit d'une allonge vers la spallière dextre adverse.

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Liagan était en très mauvaise posture, il essayait de de concentrer sur les attaques de Guillaume, mais elles étaient trop imprévisibles. Il pouvait voir la différence, entre un combattant moyen et un ombattant ne faisant qu'un avec ses armes. Le Grand Maistre, lui, faisait parti de la catégorie. Puis, avant de lancé on attaque, il parla à Liagan.


"Car la parole est arme comme l'épée. Elle porte loin, et survit aux lendemains des batailles. Il faut en user sans abus, mais ne pas la celler. La parole du chevalier est arme et preuve de tempérance. C'est la tempérance qui mène sa langue comme il mène son bras."

Et Guillaume lanca son attaque sur le spalière de Liag. Encore et toujours, Liag parait l'attaque mais trop tard...
SOudain, il repensa aux dernières paroles de Guillaume et aux autres. Avant chaque attaque, celui ci parlait de la vertu de la chevalerie. Savait il que Liag insipait plus que tout à estre Chevalier? Si oui, sans doute ses paroles servait il à le déstabilsé et ce cerait donc poru ca que Liag parait toujours en retard. Si c'était celà, alos il devait l'utiliser contre Guillaume. Mais Liagan n'était point beau parleur, il n'avait reçu aucune éducation, du à son rang. Enfin, il fallait bien essaillé.

Mais la parole, a d'autres fonctions, outre qu'entre deux hommes qui se battent. Elle peut rallier une armée, les faires combattres jusqu'aux derniers, mais aussi elle peut estre provocatrice, bien que je ne le ferais point du tout puisque ce n'est point la conduite d'un Chevalier mesme si je n'y suis point encore. Vous, avez cité, quelques fonctions de la paroles, mais pour en résumer, elle nous ai indispensable au développement et donc à la survie. J'en conclu par vos propos que mon silence vous dérane? Aprenez que peut estre pour vous je suis un incapable, mais je dois reconnaitre que ce n'est point vice et versa. Mon bras ne puit faire justice contre vous et heureusement, ceci n'est qu'un duel amical, mais, il peut protéger mes valeurs. Comme je vias vous le montrer.

Liagan se remit en garde et attendit l'autre attaque de Guillaume.

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La réponse de Liagan mit peut-être Guillaume plus mal à l'aise encore que le silence. Eut-il été tête nue que tous auraient pu voir une grimace de réflexion se former sur son visage. Mais au moins répondait-il, ce qui n'était pas un petit exploit. Le laissant achever sa tirade, Guillaume avait repris la garde de la rene, pointant son épée vers le crâne adverse. Mais le coup ne partait pas, pas encore.

- Mais justice doit s'appliquer à tous et toutes, à l'ennemi comme au père, au félon comme au maistre. Et donc devient nécessaire vertu de courage afin que de porter coups et paroles vers son frère. Point coups trop forts ou vils, ce que condamnent tempérance et justice. Car point de victoire il n'y aura si est absent le courage.

D'un vif geste du poignet, le Flamand envoie sa lame en un arc de cercle attaquant le casque adverse.

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Pendant un instant, Liag crut que Guillaume avait un soucis, il hésitait? Le doute s'était il installé? Peut estre que Liag avait réussi à retourner la techique de Guillaume, si c'était sa technique, contre lui? Mais celui ci se remit n position de combat. Liag se tenait pret, mais Guillaume répliqua.

- Mais justice doit s'appliquer à tous et toutes, à l'ennemi comme au père, au félon comme au maistre. Et donc devient nécessaire vertu de courage afin que de porter coups et paroles vers son frère. Point coups trop forts ou vils, ce que condamnent tempérance et justice. Car point de victoire il n'y aura si est absent le courage.

Et le coup de Guillaume partit en direction de Liag, et celu ici e prit l'attaque de Guillaume de plein fouet. Il mit quelques temps avant de bien se remettre sur ses appuits.

Liagan échappa un petit sourire avant de répondre au Grand Maistre.

Je dois vous avouer que je ne sais quoi répondre à vostre thèse, Grand Maistre, mais ce que je sais, c'est que vous estes bien meilleur combattant, et plus instruit. Je suis heureux d'avoir pu me combattre avec vous, bien que ce duel n'est point fini, et je sais ce qu'il faut pour m'amélioré, en d'autres thermes, vous m'avez ouvert les yeux. Maintenant, allez y, donnez des coups, vous dites qu'il ne fut point qu'il soit trop fort pour se blessé, mais à la guerre, l'ennemie s'en moque de celà. De plus, nos lames sont émoussées, montrez moi réellement vos capacités, que je voye la différence de niveau entre nous Grand Maistre.

Liagan ne savait pont pourquoi il avait parlé de la sorte à Guillaume, mais il était lancé et pret à finir ce duel en beauté.

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Le dialogue des lames se doublait maintenant d'un dialogue oral. Mais autant les premiers étaient courts et rapides, autant les seconds gagnaient en longueur et dévoilaient peu à peu les idées des combattants. Or Guillaume avait une idée bien ancrée en lui, et ne désespérait pas de la mener à son terme. Ce qui eut pu être fait sans les derniers mots du Champenois.

- Et prudence clôt la liste des vertus cardinales. Car prudence évite les mots inutiles, les insultes ou provocations qui décuplent la rage de l'adversaire et le pousse à puiser plus loin encore dans sa force. Ainsi prudence vous protège de la défaite que l'on peut éviter, et de l'humiliation qui accompagne celui qui prononce insultes et viles paroles.

Et Guillaume, en ilustration de son geste, de dresser haut son épée avant de l'abattre de taille sur le casque adverse.

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Liagan, avait fini mini discour. Il avait sans doute di des mots qu'il e fallait pas quand il y repensa. Demandez à Guillaume d'y allé un fond. Déjà que Liagan se faisait battre à plates coutures ,et en plus il en redemandait. Quel insouciant, ce devait estre du jeune age de Liagan.
Et Guillaume répliqua

- Et prudence clôt la liste des vertus cardinales. Car prudence évite les mots inutiles, les insultes ou provocations qui décuplent la rage de l'adversaire et le pousse à puiser plus loin encore dans sa force. Ainsi prudence vous protège de la défaite que l'on peut éviter, et de l'humiliation qui accompagne celui qui prononce insultes et viles paroles.

Et Guillaume attaque avec une attaque beaucoup plus puissante et difficile à parr que la dernière fois.
Comme depuis le début de ce duel, Le Grand Maistre toucha sa cible.

Mais Liag répliqua aussitot

Si je vous ai offensé, Grand Maistre, il faut m'excuser, ce n'était point mon idée. Je me suis quelque peu emporté à cause de ma faiblesse, et peut estre que mon arrogance était pour la dssimuler justement.
Encore une fois, je vois bien, que je ne suis point fait pour estre amené à estre adoubé Chevalier. Enfin....
Reprenons ce duel comme au départ, poru au départ, avoir recu u nbref mais bon enseignement aussi bien, par l'épée que par la parole d'un Chevalier. Vous estes un très grand adversaire et je vous respecte, non pas à cause de vostre grade (enfin si aussi bie nsur ) mais par la pureté de vos paroles.

Liag se remet en garde

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Le discours changeait dans la bouche de l'homme d'armes. Réflexion, crainte? Guillaume n'était sur de le discerner. Par contre, il sentait me jeune homme faiblir sous les coups et comprendre les différences de force existant entre les deux adversaires du jour. "Au moins cela n'aura-t-il pas été entièrement inutile" songea Guillaume dans un sourire que l'on eut pu juger énigmatique s'il avait été offert à la vue de tous.

Mais la moitié du duel était déjà achevée, et avec elle s'ouvrait la voie des vertus théologales. Reprenant sa garde, Guillaume poursuivit: "Charité est prime vertu théologale, qui offre à l'offensé licence d'effacer de son esprit les crimes de l'offenseur. Charité offre la voie du renouveau à tous, l'ami comme l'ennemi, le frère comme le rival. Car charité est preuve de chevalerie et bafouée entraîne juste vengeance."

Et pour ponctuer ses dires, le chevalier se fendit d'un trait vers le enou dextre du Champenois.

EDIT: Oubli d'un lancer de dé...