[Duel] Guillaume vs ...

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'12' :

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Le duel continuait toujours, Liag commencait à faiblir, mais il tenait bon, tot ou tard, Guillaume dévoilerai un point faible et Liag pourrait agir, mais avant que celui ci puisse continéu dans son raisonnement, Guillaume prit la parole.

"Charité est prime vertu théologale, qui offre à l'offensé licence d'effacer de son esprit les crimes de l'offenseur. Charité offre la voie du renouveau à tous, l'ami comme l'ennemi, le frère comme le rival. Car charité est preuve de chevalerie et bafouée entraîne juste vengeance."

Puis comme depuis le début du duel, Guillaume attaque.
Liag para que trop légèrement l'attaque de Guillaume et clle ci frappa le genoux de Liag, mais elle fit moins male que ci elle n'avait point été dévié.
Liag reprit la parole.

Tout ceci est juste au sujet de la Charité. Mais la Charité est liée à la piétée, car tous les fils de Dieu demande Charité, aussi bien pour la vie, en épargnant une vie, par la clémence, mais en écu, pour sauvé une famille d'une famine inélugtable. En temps que bon chrétien et aspirant Chevalier, si je puis me nommé ainsi, la Charité guide mes pas et je sais que le très Haut me trace un Chemin. Et par mon geste de Charité, celui ci, me donne des alliés pour entreprendre ma quète, et aussi, que le très Haut continue de vivre, à travers moi par ma parole. Mesme si des personnes cachent leurs crime à travers la charité, nous devons les aider, puisque comme vous avez di, "Charité offre la voie du renouveau à tous"

Liagan se remit en garde.

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Le combat arrivait à son terme. Et heureusement car le Flamand sentait ses coups faiblir. Moins de précision, moins de rapidité. Il ne devait sa réussite qu'au manque d'expérience de son adversaire. Le discours pourtant doublait l'efficiacité de l'enseignement. Car si l'homme d'armes répondait de mieux en mieux à ses attaques, il avait pris la parole et enfin commencé le dialogue avec Guillaume.

Ce dernier souriait derrière son masque de fer. Non, ce duel ne serait pas inutile, certainement pas.

- En effet jeune homme, Charité sans piété n'est point charité complète, tout comme piété sans foi perd son sens. Car la foi en l'Homme et en son Créateur, en la Licorne et en le Roy guide vos pas et vos combats, comme il guide la lame lors du combat.

Et, sans changer son intonation, le tranchant de son épée part à la rencontre du plastron adverse. Surprendre? Désarçonner? Apprendre surtout...

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Ca y est, le duel allait finir. Liag était quelque peu déçu, du fait que ce duel était un exellent entrainement, regroupant la pratique et le dialogue. Les 2 critères important de l'ordre, puisque ici, d'abord on dialogue et on emploie la force si nécessaire, et point l'inverse.
Guillaume reprit une nouvelle foi la parole.

- En effet jeune homme, Charité sans piété n'est point charité complète, tout comme piété sans foi perd son sens. Car la foi en l'Homme et en son Créateur, en la Licorne et en le Roy guide vos pas et vos combats, comme il guide la lame lors du combat.



Puis Guillaume lanca une attaque, mieux réussi que sa précédente et dur à paré, car Liag n'était point très habile.
Et comme depuis le début de ce duel, l'attaque toucha Liag. Liag ne savait plus le score, mais c'était sur que Guillaume gagnait. Et Liag répondit.

Vous avez raison, Dieu est Maistre de la Charité et donc de la foi et de la vie sur cette Terre, et le Roy est maistre de la Licorne, voilà deux cas de figures similaire.
Maintenant, Grand Maistre, je suis désolé, que le duel arrive à sa fin, je n'ai surement point été un adversaire à vostre taille et j'ai du perdre vostre temps, néanmoins, sachez que vostre cour me sera très utile, pour les suites de mon parcours, et de mon avenir.
Je sais, que vos paroles, m'ont aidé à facilité ma quète, ainsi que ma destinée, si elle existe vraiment.

Je vous remercie Chevalier Guillaume, JUSTICE-HONNEUR-BRAVOURE

Maintenant, vostre attaque peut clore se combat, ou pas, ce sort est entre vos mains Grand Maistre, mais en face de vous, vous avez un jeune Homme d'Arme qui désire continué ce duel, l'ultime attaque départagera alors nos choix.

Et Liag se mit en garde et attendit l'attaque de Guilaume qui pouvait estre la dernière.

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Voila, le duel touchait à sa fin. Les échanges avaient surtout semblé provenir du Grand Maistre, mais l'homme d'armes avaient, si pas par la lame, offert ses réponses par la voix. Guillaume avait, peut-être pour la dernière fois, reprit sa garde, lame à l'horizontale, à hauteur de la tête adverse, les mains frôlant sa salade.

Et, une nouvelle fois, le temps se fige alors que les deux hommes ne sont plus éloignés que de quelques mètres.

- Sachez, homme d'armes, que nulle action n'est inutile. Ni ce duel où je vous ai dominé, ni la moindre corvée, ni encore les combats que nous menons l'arme et l'écu à la main. Car tout mène à construire son futur. Chaque action entraînera ses conséquences qui vous seront à affronter. Et qui sait si nos échanges ne seront les permières marches vers votre adoubement. De cela il ne vous faut jamais douter car comme elle est en votre coeur, l'espérance est l'ultime vertu chevaleresque.

Et le coup, une nouvelle fois, parti, d'estoc, sur le coeur adverse...

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Liaganétait pret à toute éventualitées d'attaques de la part de Guillaume. A force de prendre des coups, et avec la fatigue, Liag commencat à ressentir les douleurs, jusque là non présent, avec l'intensité du duel. Guillaume pritla parole, avant une ataque sans doute.


- Sachez, homme d'armes, que nulle action n'est inutile. Ni ce duel où je vous ai dominé, ni la moindre corvée, ni encore les combats que nous menons l'arme et l'écu à la main. Car tout mène à construire son futur. Chaque action entraînera ses conséquences qui vous seront à affronter. Et qui sait si nos échanges ne seront les permières marches vers votre adoubement. De cela il ne vous faut jamais douter car comme elle est en votre coeur, l'espérance est l'ultime vertu chevaleresque.


-Tout à fait, l'espérence est l'ultime vertu chevaleresque, et je pourrais mesme rajouté pour mon cas, que l'espérance me garde du drtoit chemin, puisque j'espère estre adoubé.
Pourquoi pas? Pourquoi pas que ce duel soit la première marche vers mon adoubement, ce serait gratifiant pour moi, que d'avoir eu une première marche si noble. Et je sais qu'avec le commencement avec des bases solides, la finissions ne peut estre que plus noble et solide.

Guillaume envoya son attaque et celle ci atteint Liag. Liag essouflé, relacha sa garde, mais point son attention, car Guillaume pouvait l'attaqué à tout moment, pour lui dire de toujours garder un oeil sur son adversaire, c'était Kratos ou Arsenic qui lui avaient montré celà au cours d'un duel, ou Liag était spectateur.

Il seble que mon choix n'est point éé entendu par rapport au vostre. Ce duel touche à sa fin après une bonne correctio nde vostre part. Mais comme je l'ai di aparavant, cettemarche a été noble et très enrichissante pour la suite de mon parcours au sein de l'ordre.

Merci beaucoup Grand Maistre et j'espère refaire un duel contre vous, pour voir si j'ai progressé ou pas.

Liag s'inclina devant Guillaume et rangea son épée là où il l'avait prise ainsi que son écus et son armure en cuir, puis revient vers Guillaume.

Voudirez vous prendre un verre dans la taverne Grand Maistre? Ou bien vous avez d'autres choses à faire? Je comprendrais.

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'12' :

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Fin du combat, comme prévu, ou presque. Son expérience avait eu raison de son adversaire, encore bien jeune dans le jeu des lames. Déterminé, résistant, mais trop jeune, bien trop jeune. Cela se voyait dans ses coups, dans ses paroles, il n'avait pas encore passé par là où sa vie avait mené par le Flamand, heureux privilège des hommes d'armes...

Quittant ses pensées, Guillaume ôta sa salade, et fixa celui qui fut Mainois: "L'adoubement est proche, ou lointain. Peu importe au fond. Ce qui importe est que ces valeurs, celles que je défends, celles que nous défendont tous perdurent. Là est la réelle réussite. Mais hélas pour mon gosier, cette réussite m'empêchera de vous rejoindre à la taverne. Saint-on jamais qu'un autre frère veuille prendre votre suite..."

Guillaume avait reprit la parole. Il avait retirer son heaume, ui n'en était point un, puisque c'était une salade. Bref, il l'ota et semblait perdu dans ses pensées, pendant un court instant avant de se redirigé vers Liagan.

"L'adoubement est proche, ou lointain. Peu importe au fond. Ce qui importe est que ces valeurs, celles que je défends, celles que nous défendont tous perdurent. Là est la réelle réussite. Mais hélas pour mon gosier, cette réussite m'empêchera de vous rejoindre à la taverne. Saint-on jamais qu'un autre frère veuille prendre votre suite..."

_Hélàs, la mentalité d'aujourd'hui n'est plus la mesme que ce qu'elle était. La Chevalerie commence à se perdre, et les gens comme vous et comme moi, qui la défendent se font de plus en plus rares. Vous dire avec certitude que la Chevalerie perdurera serait vous mentir, ce serait irraisonné. Mais, je sais qu'au fond de moi, celle-ci survivra dans le coeur des gens, puisque tant que le code d'Honneur existera en chacun de nous, il vivra, et je sais que l'honneur la Justice perdurera dans les siècles avenirs.

_ En temps que simple Homme d'Arme, je ne puis vous demander celà, mais mon coté espiègle me pousse à le faire : M'accorderiez vous un autre duel sieur? A moins que vous ayez autre chose de prévu, ou bien un autre frère vient pour continué auprès de vous? Mais, il me faudrait une autre lecon, je viens de voir à quel point, je n'étais point le combattant que je pensais estre et que je veux devenir, un combattant exèle avec une grande noblese: Un Chevalier.


Liagan attendit une réaction, réponse de son interlocuteur: Guillaume de Jeneffe, Grand Maistre de la Licorne.

Décidemment, ce jeune homme semblait bien déterminé. Et pas décidé à lâcher le morceau. Et sur de lui. Soit, ce n'en serait que plus motivant, et, qui sait, efficace, un jour. Mais pour l'instant, il convenait non de le juger mais de lui répondre.

- Liagan, vous avez encore des choses à apprendre, certes. Vous en êtes conscient, et moi de même. Cependant, enchaîner par une nouvelle passe d'armes serait moins intéressant que vous semblez le croire. Car tout enseignement doit être réfléchi, débattu, et cela, en soi-même. Il vous faut donc regagner vos quartiers et y songer, dans la solitude de votre chambre. Le recommencer serait inutile car il viendrait recouvrir celui que vous venez de recevoir... Il vous faut donc me quitter, et ne revenir que bien plus tard, lorsque tout cela sera assimilé...

Liagan espérait un nouveau duel, mesme si il commencait à ressentir quelques douleurs, là où Guillaume l'avait touché, du fait que ses muscles se refroidissaient. Guillaume reprit la parole.


- Liagan, vous avez encore des choses à apprendre, certes. Vous en êtes conscient, et moi de même. Cependant, enchaîner par une nouvelle passe d'armes serait moins intéressant que vous semblez le croire. Car tout enseignement doit être réfléchi, débattu, et cela, en soi-même. Il vous faut donc regagner vos quartiers et y songer, dans la solitude de votre chambre. Le recommencer serait inutile car il viendrait recouvrir celui que vous venez de recevoir... Il vous faut donc me quitter, et ne revenir que bien plus tard, lorsque tout cela sera assimilé...

Liagan réfléchit et il devait admettre que Guillaume avait raison. Mesme si Liagan avait le physique d'en enchainé un autre, il n'avait point encore l'esprit. C'est pourquoi il répondit tout simplement à Guillaume.

_Vous avez raison Maistre. Je dois vous l'avouer, vous avez raiso net dire nan serait que mesonge. Néanmoins, il est vrai que je suis pressé de refaire un duel contre vous. Tantot qui sait? Sachez juste que je serais prêt, et que j'attendrais vostre réponse.

_ Sur ceux, je m'en vais me resoer et songerà ce qui vient de ce passer: Le duel.
Merci pour cette leçon.

Liagan s'inclina devant Guillaume et s'en va quitter la salle.