[démission] Argael (démission le 21/04/1458)

Sujet: [démission] Argael (démission le 21/04/1458) Ven 13 Mar 2009 - 9:59

accepté le 14/04/1457
démission le 21/04/1458
______________________________

Argael

Citation :: Informations sur Argael de Monestier de Briançon

Né(e) le 25 Août 2005

Argael fête son anniversaire le 25 Août.

Dernière adresse connue
Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Duché du Lyonnais-Dauphiné
Village : Briançon

Niveau : 4
Points de réputation : 255
Argent : 625

Argael est boulanger.
Argael possède un potager et un potager.

Candidature reçue le 13 mars 1457 (2009)
Vote du HC du 13 au 20 mars 1457 -> 3 votes pour étape suivante
Entretien Salle Frère Nico avec Nith et Zalina du 26 mars au 2 avril 1457
Vote des membres du 2 au 13 avril 1457 : 15 écuyers et 1 Obiwan Kenobi
Accepté comme Ecuyer le 14 avril 1457
Intronisé le 15 mai 1457 par Enguerrand de Lazare à Ryes

Citation :: A l’intention du Grand Maistre Enguerrand de Lazare

Baron, par la présente missive je viens vous faire part de l’attrait profond, et l’intérêt manifeste que je porte à l’Ordre Royal de la Licorne.

Je viens donc porter à vostre connaissance mon souhait d’en devenir membre.
Avant de poursuivre plus en avant sur mes motivations, il me semble plus courtois de me présenter à vous de manière plus précise.

Je me prénomme Argael Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre, Seigneur de Saint Giraud, résidant en Lyonnais Dauphiné.
Je suis actuellement chef de cabinet royal au Secrétariat d’état comme vous le savez sans doute.
Par mon engagement je cherche ici à montrer plus encore mon attachement à la royauté, tout en continuant à œuvrer pour que règne la paix, la justice l’ordre.

Je connais le métier des armes, plus de 2 ans dans l’Ost ducal m’ont vu prendre la tête de la garnison de Briançon, et je pense pouvoir apporter mes bras armés l’un d’une épée et l’autre d’un bouclier pour défendre la population Françoise, la ou la nécessité s’en ferait sentir.

Je suis homme seul sans famille ni hélas descendance, mais cela n’en est que mieux si le devoir m’appel loin de mes terres. Je n’ai alors rien à prévoir ni personne à prévenir.

Je pense que l’ordre de la Licorne est l’ordre de chevalerie qui correspond le mieux à mes aspirations au vu des intérêts que l’ordre défend et je serais honoré de recevoir un accueil favorable pour toute rencontre que vous jugeriez utile.

Cordialement

Argael de Monestier de Briançon

J'ai travailler un peu avec lui (enfin quelques mois quand même) au Secrétariat d'Etat. C'est un bon "chef", impliqué il m'a semblé... et qui a un excellent Génépi... mmm pardon...
Je l'ai trouvé travailleur et honnête. J'ai eu plaisir à travailler avec lui, et pas que pour le Génépi. Caturix aura peut être plus à dire, en tant que supérieur.

De mémoire pour ma part, lorsque j'étais au SE, j'en ai gardé souvenir d'une personne travailleuse et sérieuse effectivement.

En attendant, courrier de réception envoyé:

Citation :: L'Ordre royal de la Licorne à Argael, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que vostre missive nous est bien parvenue.
Item que réponse vous sera apportée dans les trois semaines à venir.
Item que nous vous savons gré de votre candidature en notre Ordre, prouvant par là la justesse de nos valeurs et de leur perpétuation.

Donné en Ryes, ce XVIe jour de mars de l'an de grasce MCDLVII

Il m'a l'air bien lui, même s'il ne s'étend pas beaucoup, son style d'écriture est épuré. Cela donne envie de le connaitre mieux.

Poursuite de la procédure pour moi!

Dernier jour !
Entretien pour moi aussi

Pareil.

Vote terminé. Trois pour étape suivante.
J'envoie la missive pour la demande de disponibilité pour l'entretien.

Citation :: Expéditeur : Argael de Monestier de Brian�on
Date d'envoi : 2009-03-22 00:18:05
A l�attention du Haut Conseil de l�Ordre royal de la Licorne.

J�ai bien accusé réception de vostre missive, et vous donne comme demandé mes disponibilités.

Je suis dès cet instant disponible chaque jour qu�Aristote fait pour répondre à vos questions.

Je puis donc dès demain répondre à une invitation si cela vous convient.
Cordialement

Argael de Monestier de Briançon.

J'ai un peu de temps la semaine prochaine, juste un peu mais çà devrait pouvoir le faire.
Je peux faire le coup d'envoi mercredi pour lui. Quelqu'un pour le faire avec moi ou deux personnes pour un peu plus tard ?
Je mets la pression parce que l'on avait pensé à mi avril pour commencer la prochaine cérémonie. Donc possibilité de régler "son compte" d'ici là. Mais il peut aussi attendre la prochaine.

Pas de réponse ? Dois je considérer que vous êtes d'accord pour que je commence l'entretien ce mercredi 25 mars ?
Un volontaire pour m'y aider ou pas ?

bah, je te suis. Par contre, il faut pas hésiter à me donner un petit coup de coude, car il parait que je parle trop... Rolling Eyes

Dernière édition par Zalina le Mer 25 Mar 2009 - 14:50, édité 1 fois

Dossiers... parchemins... dossiers...
Cela ne s'arrêterait donc jamais ? La Peste quittait des postes de "fonctionnaires" afin de se dégager du temps pour manier l'épée. Et au final, elle se retrouvait toujours avec autant de dossiers et aussi peu d'entraînement. Elle allait finir par rouiller si elle ne pouvait prendre la lame dans les prochains jours.
Rien que l'idée d'être devenue une bureaucrate la mettait en rogne. A quand une bonne guerre ?

Pas pour aujourd'hui en tout cas, sauf si on considère l'entretien comme une guerre.
La Capitaine laissa son bureau sous terrain pour monter à la taverne. Le temps de passer ses bracelets forgés, sa cape brodée de la Licorne sur ses épaules et s'était parti pour le seul exercice physique qui lui restait : les promenades à toute vitesse dans les escaliers et les corridors entre deux réunions.

Entretien avec qui déjà aujourd'hui ? Ah oui. Une veille connaissance : Argael. Le montagnard avait il encore quelques bonnes bouteilles de Génépi ? C'est que mine de rien, n'ayant pas trouvé la réserve de Bralic, les quelques bouteilles qu'elle avait commençaient à sérieusement se vider.
M'enfin bon. Le jeune homme n'avait pas fait toute cette route pour lui livrer sa boisson préférée.

Zalina traversa la taverne en saluant rapidement ses Frères attablés et monta à l'étage. Etage qui commençait à être connu et salles toujours aussi sombres. Une table, trois chaises et une cheminée avec un feu pour réchauffer les premiers jours du Printemps encore frais.
Salle Frère Nico.
Elle poussa la porte qu'elle referma derrière elle et alla s'installer sur l'une des chaises en gardant sa cape sur les épaules. Il ne fait pas très chaud. Le feu doit être allumé depuis peu. Elle aurait sûrement mieux fait de prendre une chemise plus épaisse que la fine grise qu'elle portait. Ce n'étaient pas non plus ses vieilles braies noires qui la réchaufferaient.
Espérons que l'ambiance la réchauffera d'avantage.
La Peste s'enfonça dans sa chaise et relut la lettre qu'Argael avait fait parvenir au Haut Conseil en attendant l'arrivée de ses compagnons pour cet entretien.

Sujet: Re: [démission] Argael (démission le 21/04/1458) Mer 25 Mar 2009 - 9:08

Nouvel entretien pour le Perplexe, si tôt après le précédent. C'est que ça s'enchainait, finalement... La Licorne n'avait donc pas perdu de son prestige, les candidatures pleuvaient comme vache qui pisse... Ce qui n'était pas pour lui déplaire, sauf lorsqu'il n'avait pas eu le temps de se préparer pour l'entretien... Une note au Haut Conseil attestant que ledit entretien aurait bien lieu dans la salle Frère Nico, c'est tout ce qui lui suffit pour prendre ses jambes à son cou. Par pour fuir, hein! Mais les vieux ont des habitudes dont ils n'aiment pas se passer, et avec ce bref délai, cela n'allait pas être facile ni pratique de pourvoir à ses besoins. Mais qui a dit caprice?

Ce fut dont un Perplexe qui se présenta dans la taverne, vêtements d'azur de tous les jours, mantel qui ne le quittait guère, menant une drôle de procession: en effet, avec une canne dans une main, de la paperasse dans l'autre, comment pouvait-il porter autre chose? Il demanda donc à quelques hommes d'armes d'effectuer ce que lui ne pouvait guère, comme porter un fauteuil au moelleux rembourrage, une bouteille de calva, des verres, oui, cela ne se faisait pas trop, du moins en public, de boire le calva à la bouteille... Puis un panier comportant quelques friandises, ardemment négociées avec Kekidi...

Le voilà arrivé, devant la salle Hubert... Non, ce n'est pas là qu'il devait se rendre... Demi-tour pour la pièce d'à côté... Un salut silencieux aux hommes d'armes gardant la pièce, avant de pénétrer sans ambages dans la pièce, où il découvrit sa partenaire du jour déjà installée. Il indiqua à ses accompagnateurs l'emplacement où ils devraient déposer les différentes affaires d'un geste de la main, puis il attendit que tout soit en place. Enfin, il prit place dans son fauteuil, déposant papiers et arrière-train, avant de se retourner vers la Petite Peste:

Salut, Cap'taine! Alors, on doit finalement se résoudre à l'épluchage en règles des rapports?

Du bruit dans l’escalier. Zalina lève les yeux du parchemin pour voir qui va passer la porte.
Nith ou Argael ?
Calva ou Génépi ?
Ce fut Calva. Et pas seul…
La Peste leva un sourcil en voyant tout ce monde débarquer les bras chargés. C’est quoi ce défilé ? Qu’est ce qu’il avait en tête le Diplomate de service ? Un fauteuil, un panier, une bouteille de calva, des verres… Mais qu’est ce qu’il préparait ?
Elle le regarda en silence donner ses instructions sur la mise en place de la décoration puis prendre place. Est-ce qu’elle ne s’était pas trompée de pièce ? Ou de date ? A moins que ce ne soit quarément de galaxie…

Ce ne fut que lorsqu’elle resta en tête à tête avec Nith, et tout son chargement, qu’elle reprit son visage neutre.
Un dernier coup d’œil sur tout ce que le Commandeur avait fait amener et elle lui répondit enfin.

Euh… oui…
Salut Nith.
Tu vas bien toi ? … C’est quoi tout çà ? Tu prépares un mini siège ?

Invité

Salle frère Nico allons donc, voici bien longtemps que ce nom n’avait plus été prononcé en sa présence. Un illustre du Lyonnais Dauphiné partit bien trop tôt, encore un….

Un coup d’œil entendu avec son écuyer, et il était dès lors assuré qu’il garderait son cheval.
Hochement de tête, en signe d’acquiescement et le Vicomte suivit les hommes de faction un sac sur le côté.

Il se demanda si il aurait l’occasion de saluer ses connaissances dans l’ordre, les revoir lui ferait en effet grand plaisir.

Silencieux il suivit les hommes en arme, montant les escaliers il se fit la remarque que cette forteresse était de toute beauté, avant de rentrer dans un couloir au mur épais. Au bout de celui-ci un garde frappa, puis une fois l’autorisation entendue à entrer ouvra la porte signifiant la présence du montagnard resté en retrait.

Vous pouvez entrer Vicomte lui dit on. Remerciant d’un hochement de tête, il frappa à son tour, attendant qu’on lui donne l’autorisation d’entrer. Celle-ci vint également rapidement, et c’est calmement que notre homme poussa la lourde porte donnant sur une pièce composée de deux membres de la Licorne.

Discrètement, il afficha un petit sourire, il avait vu juste en voyant « la peste », quelques provision dans la besace lui serait donné a la fin de l’entretien quelque soit le verdict.

Restant distant, il s’inclina devant les membres présents dans la pièce avant de se présenter.

Salutation et paix, je suis Argael dict « le fier » Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre et Seigneur de Saint Giraud, présent à votre demande conformément à vos souhaits.

Fixant dans les yeux ses interlocuteurs, il attendit la suite, droit dans sa stature.

Il était assez amusant de voir l'air surpris sur le visage de la Petite Peste, ce n'était pas souvent qu'on pouvait la prendre au dépourvu... Tête à tête entre les deux chevaliers, qui avaient passé tellement de temps ensemble qu'ils ne pouvaient s'empêcher de se lancer piques et autres railleries, tout comme ils pouvaient communiquer et se comprendre sans avoir recours aux mots. Mais pour l'heure, la langue se délie, il ne peut s'empêcher d'appuyer encore l'impression de la Capitaine.

Oui, je vais bien, enfin comme d'habitude serait certainement plus proche de la vérité.
Pour le monde qui vient de débarquer, il s'agit simplement de ma façon de me préparer. D'habitude, je m'y prends en avance, ainsi personne n'est témoin de tous ce remue-ménage... Mais cette fois-ci, je dois dire que j'étais un peu retard...
Mais ne t'inquiète pas, je ne compte pas camper ici, si cela avait été le cas, j'aurais pensé à prendre en plus grande quantité...

Le tête à tête ne fut pas très long, un coup frappé à la porte puis un homme entra dans la pièce. Sans ambages, il s'avance, salut et se présente. Et bien, au moins on sait qu'il en veut celui-là! Le Perplexe porta donc son attention sur le nouveau venu, avant de se présenter à son tour.

Le Bonjour. En effet, la paix sera sur vous, tant que vous ne lèvera pas l'arme envers l'un de nos frères bien sûr... , sourire un peu moqueur.
Pour ma part, je suis Nith, dict le Perplexe, Duc de Cany, Vicomte de Vernon, Bolbec et Carentan, seigneur de Massy, Lieutenant Commandeur Diplomate de l'Ordre de la Licorne.

Ouf... C'est que c'est long tout ça... Heureusement qu'il n'a pas à le répéter trop souvent, comme lors de la cérémonie où il recevait les allégeances de la noblesse normande...
Il indiqua d'un signe de la main la chaise vide qui se trouvait en face des deux chevaliers.

Je vous en prie, prenez place. Nous n'attendions plus que vous!

Invité

Les présentations faites, on lui proposa de s’asseoir d’une invitation de la main. Une chaise face à deux autres, à n’en pas douter il s’agissait des sièges des deux autres personnes en cette pièce.

Silencieux, il s’avança. Une fois à la chaise, il retira son mantel, la pièce était chauffée et déjà le montagnard avait chaud. Il posa celui ci sur le dossier de son siège, avant de se poser sur le siège indiquer, prenant garde à ne pas abîmer celui-ci en prenant le fourreau de son épée battant à son coté en sa main.

Détaillant « le perplexe », il constata, une certaine ressemblance dans l’allure, même cheveux long quoi que plus grisonnant que les siens, un collier de barbe plus court cependant. Sa Grasce à n’en pas douter, avait l’attitude d’un homme droit et fier.

Coup d’œil neutre vers la peste, il avait alors décider de ne rien montrer de leur rencontre antérieur, cela ne devait en rien rentrer en compte aujourd’hui.

Calmement il attendit le début de l’entretien, se faisant la remarque étrange que la pièce était à l’image de Frère Nico, sobre. Il avait du l’aimer cette pièce au près du feu au calme, a écrire quelques missives, réaliser des enluminures….

Zalina écouta la réponse de Nith en ouvrant un peu plus les yeux surpris.
En plus grande quantité ? Il voulait dire, plus que tout ce qu’il apportait déjà ? Et bé…
Mais elle n’eut pas le temps de l’interroger d’avantage ou de s’assurer qu’il avait été voir Cerri ou Flaiche récemment. Ce sera peut être pour après l’entretien. Ils n’avaient que rarement l’occasion de discuter tranquillement. Le devoir les interrompait sans cesse.

La Peste salua Argael d’un signe de tête et laissa Nith se présenter. Un Duc, deux Vicomtés… ah non, trois et une seule seigneurie ? Il n’en avait pas oublié en route ? Probablement pas, le Perplexe connaissait sûrement mieux qu’elle la liste de ses différents titres.
Maintenant que les hommes avaient procédé à leur étalage, ils allaient pouvoir commencer cet entretien.

Bien le bonjour Messire Argael.
Je suis heureuse de vous revoir. Je vais vous épargner ma propre présentation. Je n’ai point de liste de titres aussi impressionnante que les vôtres, et nous nous connaissons déjà.

Zalina laissa son ancien patron du Secrétariat d’Etat s’installer puis elle reprit la parole.

Vous savez que je n’aime pas tourner autour du pot. Alors commençons de suite, si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
Vous parlez dans votre missive de vos aspirations qui seraient les plus proches des intérêts que la Licorne défend. Pourriez vous nous dire qu’elles sont ces aspirations ?

Sujet: [candidature] Argael (fin du vote 12 avril) Jeu 26 Mar 2009 - 21:15

Argael

Citation :: Informations sur Argael de Monestier de Briançon

Né(e) le 25 Août 2005

Argael fête son anniversaire le 25 Août.

Dernière adresse connue
Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Duché du Lyonnais-Dauphiné
Village : Briançon

Niveau : 4
Points de réputation : 255
Argent : 625

Argael est boulanger.
Argael possède un potager et un potager.

Citation :: A l’intention du Grand Maistre Enguerrand de Lazare

Baron, par la présente missive je viens vous faire part de l’attrait profond, et l’intérêt manifeste que je porte à l’Ordre Royal de la Licorne.

Je viens donc porter à vostre connaissance mon souhait d’en devenir membre.
Avant de poursuivre plus en avant sur mes motivations, il me semble plus courtois de me présenter à vous de manière plus précise.

Je me prénomme Argael Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre, Seigneur de Saint Giraud, résidant en Lyonnais Dauphiné.
Je suis actuellement chef de cabinet royal au Secrétariat d’état comme vous le savez sans doute.
Par mon engagement je cherche ici à montrer plus encore mon attachement à la royauté, tout en continuant à œuvrer pour que règne la paix, la justice l’ordre.

Je connais le métier des armes, plus de 2 ans dans l’Ost ducal m’ont vu prendre la tête de la garnison de Briançon, et je pense pouvoir apporter mes bras armés l’un d’une épée et l’autre d’un bouclier pour défendre la population Françoise, la ou la nécessité s’en ferait sentir.

Je suis homme seul sans famille ni hélas descendance, mais cela n’en est que mieux si le devoir m’appel loin de mes terres. Je n’ai alors rien à prévoir ni personne à prévenir.

Je pense que l’ordre de la Licorne est l’ordre de chevalerie qui correspond le mieux à mes aspirations au vu des intérêts que l’ordre défend et je serais honoré de recevoir un accueil favorable pour toute rencontre que vous jugeriez utile.

Cordialement

Argael de Monestier de Briançon

Je vous rappelle les "questions types" qui sont déjà prises en compte

Citation :: - pourquoi demander à entrer dans un OR ?
- pourquoi la Licorne plutôt qu'un autre OR ?
- parcours personnel si ce n'est pas dans la lettre de motivation.
- ce qu'il pense que la Licorne peut lui apporter
- ce qu'il pense apporter à la Licorne

Comme d'habitude, vous ne devez sous aucun prétexte et de quelque façon que ce soit entrer en contact avec le candidat au sujet de sa candidature ou de l'entretien.
Entretien visible dans la salle Frère Nico.

Avez vous des questions supplémentaires à lui faire poser ?

Invité

Le « fier » écouta la question avec attention. Celle-ci posée, se succédé un silence dans la pièce dans laquelle aucune parole ne fut échangeait. Au lieu de prendre la parole, le Vicomte observait tour à tour de son regard émeraude avec insistance les yeux de ses vis-à-vis.

Le visage neutre d’expression d’abord un léger sourire apparu au coin de ses lèvres.

Permettez vous, noble gens j’ai une chose à vous montrer, mais sachez une chose je ne suis point ici par hasard sans nul doute j’aurai pu poser ma candidature bien plus tôt sans doute même n’auriez vous pas été présent encore dans l’ordre.

Il fouilla alors dans son mantel en sortant une charte, celle de l’ordre de la Licorne.

Ne voyait ici nulle offense loin de moi l’idée que vous ne connaissiez point ces devoirs faisant ligne de conduite de vie mais je voudrais juste les reprendre avec vous.

Il déplia la charte et commença à lire les devoirs d’un membre de l’Ordre de la Licorne.

Citation :: • Un Chevalier se doit de porter secours à tout innocent dans le besoin, même au péril de sa vie;
• Un Chevalier se doit de donner aux pauvres au moins une fois par semaine;
• Un Chevalier se doit de lutter contre tous criminels;
• Un Chevalier doit toujours proposer la rédemption à un ennemi vaincu et ne l’achever qu’en cas de refus;
• Un Chevalier se doit de respecter la religion d'autrui, quelle qu'elle soit.

Je vous apprend peut être, et même sans doute que je fus militaire plus de 2 ans, avec comme obligation de porter assistance au malheureux en détresse et comme ici marqué au péril de sa vie, chose qui, si j’étais un peu moins gentilhomme vous mon montrerez en retirant ma chemise, car cela m’est déjà arrivé.

Vous parlez des pauvres ensuite, cela me touche car tel que vous me voyer je le fus également, je ne me suis vu anoblir qu’à mes mérites. Je suis membre de l’Ordre de Saint Georges, l’ordre du mérite du Lyonnais Dauphiné. Celle-ci nous engage chose naturelle à venir en aide au plus déshérités, en embauchant pour nos champs plus chers en donnant également l’aumône à l’église.

Venons en aux criminels…. Comment pouvons nous tolérer tels individus sur le domaine du royaume de France, la encore je fus amené a lutter contre les mécréants, ayant effectuer entre autre un mandat ducal de juge.

Vous parlez ensuite de la rédemption d’un ennemi vaincu, qui somme nous pour juger alors du bougre, Aristote le ferra son temps venu et je plusoie bien entendu, exception faite et la chose me fera du tort peut être. Je suis quelqu’un d’entier et jamais je ne mâcherais mes mots, exception faite de l’Anglois, la rancune est bien trop tenace, pas un jour ne passe ou je ne me remémore Azincourt, ont-ils eu pitié de la noblesse ? Que je me souviens de Rouen, ont-ils eu pitié de Jeanne la pucelle, la faisant brûler vive ?

Enfin vous me parler de respecter la religion d’autrui, je répondrais que l’homme m’accompagnant ce jour mon porte étendart, n’est pas François de naissance mes d’adoptions, il est Perse. Loin de moi l’idée de l’influencer en quoi que se soit.

Il s’arrêta à l’issue de cette dernière fois, pensant maudit anglois, aujourd’hui encore ils les retrouvaient sur son chemin, lui interdisant l’accès à cet Ordre, mais les choses étaient ainsi, cette abomination ne se devait de vivre.

Et bien, visiblement, la Petite Peste connaissait déjà le candidat. Il sourit devant la petite pique vers les titres de deux hommes de la pièce. Elle disait cela, néanmoins elle n'en restait pas moins damoiselle de deux domaines, capitaine d'un ordre royal, et escuyère royale... La liste n'était certes pas aussi longue, mais elle aussi son pesant d'or. Mais il ne put rien dire, la Cap'taine ayant déjà pris les choses en main en posant la première question de l'entretien. Aussi, il prit donc place confortablement dans son fauteuil, écoutant attentivement les propos du candidat, tout en observant son interlocuteur. Il commençait à s'y habituer, les gestes pouvaient parfois parler autant, si ce n'était plus, que les mots eux mêmes.

Tout d'abord, il était venu avec un exemplaire de la charte de la Licorne, ce que le Perplexe n'avait guère encore vu dans tous les entretiens qu'il avait faits passer. C'était certes originale, mais un peu bizarre aussi. Soit... Le "Fier" contait alors sa vie, illustrant par ses propres expériences les divers devoirs des membres de la Licorne. Mais certains points attirèrent l'attention du Perplexe, qui, comme le beaucoup de monde le sait maintenant, ne peut s'empêcher de les énoncer à voix haute:

Pourrait-on savoir pourquoi donc avez-vous ajourné votre candidature à l'Ordre de la Licorne? Vous dites que vous auriez pu, nous voudrions savoir les raisons pour lesquelles cela ne s'est pas fait plus tôt.

Un autre point que vous soulevez m'interpelle: vous semblez posséder en vous une certaine animosité envers les Anglois. Bien sûr, Azincourt a été un vrai massacre, la perte de la Pucelle une infamie. Cependant, avez-vous un vrai désir de vengeance envers eux?

Invité

Silencieux, il attendit la réaction qui ne se fit point attendre. Questions légitimes à vrai dire que celle posées. En plus de ces Anglois de malheur, une question lui était posée sur le temps qu’il avait mit à franchir le pont-levis de la forteresse en faisant acte de candidature.

Regardant le Duc dans les yeux habitude qu’il avait de mémoire toujours eu, manière pour lui de sonder les gens et démontrer sa propre âme il prit la parole.

Vostre Grasce, il est avérait aujourd’hui que j’ai ajourné ma candidature au sein de l’Ordre de la Licorne pour une raison simple : la Politique et l’Ost. Etant en train de construire mon hôtel depuis deux mois maintenant en la capitale de Lyon, je pense en effet avoir pu me présenter plus tôt

J’ai à ce jour pas moins de 6 mandats ducaux en ma province pour deux fois plus de mois indisponible. Ensuite j’ai deux ans d’Ost, quelques mandats de bourgmestre. Si je me présente aujourd’hui c’est que je pense être totalement libre de mes obligations avec ma province. De fait je viens porter ma candidature.

Je viens néanmoins et pour ne rien caché d’être désigné tête de liste pour porter mon partit de nouveau dans un mois. Je tiens néanmoins a poursuivre ma candidature au risque de la voir ajourner si celle-ci s’avérait négative.

Il posa une seconde sa voix, tentant de percevoir les ressentit de ses interlocuteurs avant de poursuivre.

L’Anglois maintenant. Une vengeance dites vous ? Nous sommes à ce jour en paix, mais soyer sur que si, et cela ne manquera pas d’arriver j’en suis intimement convaincu, les route maritimes s’ouvrent enfin, ces félons tenterons d’envahir notre beau royaume de France. Je n’aurais alors aucun désir de vengeance, juste une volonté de leur faire rendre leurs derniers souffles. Ces hommes ne connaissent nullement l’honneur, la fierté, la droiture, combien d’enfant tué, de femme violée. Vostre grasce je ne vous souhaite pas d’assister impuissant a ceci.
Il ne sera pas dit que si Aristote m’accorde enfin un jour une descendance, malgré les années avançant, je ne verrais grandir ceci avec une menace au frontières, sans avoir œuvre a préserver l’intégrité des frontière de France, et cela j’en suis sur devra se faire dans le conflit avec l’Anglois. Ainsi donc soyer assuré que tant que l’Anglois restera chez lui, je le mépriserais de manière sourde mais si ceux si passe la manche grand dieu, mortecouille, je leur attrape et je leur ferais manger qu’ils étouffent.

Pour ne pas faire de distinctions avec les ducs, chefs militaires et vicomtes qui sont passés par cet interrogatoire récemment...

"Etes-vous prêt à renoncer à au confort de vos chateaux pour partager le dortoir commun des écuyers ou des hommes d'armes à Ryes?"

Zalina, adossé au dossier de son siège, observait le candidat tout en écoutant les échanges entre les deux hommes.
Elle ne put retenir un sourire en voyant Argael sortir la Charte et en lire une partie. Elle aurait pu la réciter en même temps tellement elle l’avait lu et relut pendant toute son enfance. Elle la connaissait déjà par cœur avant même d’envoyer sa missive à Thierry, il y a plus de 10 ans.
Mais quelque chose clochait chez le montagnard. Il semblait nerveux, tendu ou anxieux… voir les trois. Il était plus souriant lorsqu’il leur offrait du Génépi au Secrétariat d’Etat. Il faut bien avouer que les circonstances étaient alors bien différentes et les enjeux tout autant.

La Peste se pencha alors sur la table et se permit de verser un peu de calva dans trois verres. Nith ne les avait sûrement pas apporté pour la décoration de la pièce. Autant s’en servir, il ne lui en voudrait certainement pas de faire le service à sa place. Et çà détendrait un peu l’atmosphère.
Elle en poussa un devant le Diplomate. Après tout, c’était sa bouteille, à lui l’honneur. Un second prit la direction du moustachu et le troisième finit à ses lèvres.
Elle le reposa sur la table juste à temps pour éviter de le renverser avant de partir dans un franc rire en entendant la dernière remarque de leur invité.

Eh bé, Messire Argael… Vous semblez avoir une profonde amitié pour les Anglois.
Il ne reste qu’à espérer, pour leur santé, qu’ils ne franchiront pas la Manche de votre vivant, si j’ai bien compris.

Le temps d’une pose, la jeune femme attrapa le parchemin déplié un peu plus tôt. Elle le parcourut rapidement du regard, plus pour la forme que pour retrouver les mots qu’elle connaissait déjà, puis reprit la parole.

Il y a de nombreux passages forts intéressants dans ce texte, n’est ce pas ?
Je dois dire que l’un de mes préférés est celui-ci

Citation :

Tout membre de l'Ordre a permission d'intégrer des armées ou organismes politiques régionaux, dans le respect de la charte de la Licorne et de la législation royale. Il doit cependant savoir que la Licorne doit passer avant tout le reste.

Seriez vous prêt à renoncer au confort de votre nouvel hôtel pour le dortoir commun des hommes de l’Ordre, à vos mandats et votre Duché pour partir défendre une province qui n’est rien pour vous pendant des mois, voir des années ?
Et puisque vous nous parlez de votre engagement politique, la législation royale interdit tout cumul entre membre d’un Ordre Royal et les postes de Lieutenant et Connétable d’une province ou d’un village, quelqu’il soit.
Etre membre d’un Ordre Royal est renoncé bien souvent à beaucoup de choses, pour recevoir peu de chose en retour, voir rien du tout. Ni solde, ni médaille et encore moins reconnaissance.

Description de la vie de Chevalier bien peu valorisante, mais loin d’être erronée. Plusieurs s’étaient déjà rendus compte qu’ils ne voulaient pas de cette vie une fois passé quelques mois en leur sein. Il valait mieux exactement savoir ce qu’impliquait « être Licorneux » avant de s’y engager.
Ces entretiens étaient là aussi pour çà.

Invité

Parler de la sorte des Anglois lui faisait dresser le poil, il était des choses que tout Homme en ce monde n’aimer pas, il s’agissait des maudits « so British » comme ils disent.

La « peste » fidèle à ses souvenirs proposa et servit un verre d’alcool, que le « fier » prit par politesse. Boire était un vrai plaisir pour lui comme pour d’autres nombreux mais cet entretient était d’importance, et il laissa le verre quelque peu de coté.

Le capitaine prit alors la parole, pour à son tour.

Seriez vous prêt à renoncer au confort de votre nouvel hôtel pour le dortoir commun des hommes de l’Ordre, à vos mandats et votre Duché pour partir défendre une province qui n’est rien pour vous pendant des mois, voir des années ?
Et puisque vous nous parlez de votre engagement politique, la législation royale interdit tout cumul entre membre d’un Ordre Royal et les postes de Lieutenant et Connétable d’une province ou d’un village, quelqu’il soit.
Etre membre d’un Ordre Royal est renoncé bien souvent à beaucoup de choses, pour recevoir peu de chose en retour, voir rien du tout. Ni solde, ni médaille et encore moins reconnaissance.

La question était d’importance et au moment de sa candidature il pensait en avoir fini avec la politique avant que les choses ne le rattrapent.

Et bien, continuons donc. Hormis une guerre réclamant tout force de l’Ordre, si je suis conseiller ducal et à plus forte raison si je suis gouverneur, il me semble cavalier de partir de la sorte, même si la chose me plairait grandement.

Je pense qu’un membre de la Licorne a des devoirs et qu’il doit y répondre au mieux et de manière chronologique d’importance inverse. Laisser une province sans feudataire, je ne suis pas sur que cela soit dans les idéaux Licorneux. Néanmoins au moment de ma demande j’était totalement libre et compte bien le redevenir au plus vite si la possibilité m’est offerte de vous rejoindre, ceci afin de me rendre utile au mieux des interets de l’Ordre.

Sinon de manière générale, vivre en plein nature autour d’un feu de camps, et bien que je sois noble me plait grandement, alors si vous devez avoir des inquiétudes sans nulle doute infondée elles ne pourraient raisonnablement venir de ceci. Capitaine je suis comme vous le savez je pense célibataire sans descendance, nulle famille en Lyonnais Dauphiné si ce n’est celle de cœur de mon attachement a cette province.

Je suis, je puis vous l’assurez quelqu’un qui sait dans quoi il s’engage, si la demande a été faite c’est bien par désir de servir plus encore, et que je pense pouvoir apporter mon concours a la Licorne de manière si modeste soit il.

Sujet: Re: [démission] Argael (démission le 21/04/1458)

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