À force d'enchaîner les aller-retours entre sa permanence parisienne et les différents castels, Nicolas craignait des dégâts irréversibles au niveau du fessier. Même au sein de la cavalerie tourangelle, durant la guerre, il avait moins chevauché que ça ! Il espérait que Melior, Elisabeth et tous ceux qui faisaient campagne pour lui loin du Domaine royal se ménageaient davantage de pauses.
Mais la chasse aux voix n'était pas la seule occupation d'un prétendant au trône de France, et on pouvait difficilement faire l'économie d'une visite aux ordres royaux. C'était parti pour le tour des commanderies.
Hola, du château ! Pourriez-vous signaler que Nicolas de Firenze, candidat aux élections royales, sollicite une audience avec les Chevaliers de la Licorne ? Le conseil s'il souhaite me recevoir, tous les membres de l'ordre intéressés autrement.