Arrivée d'un "ancien"

Phil1 était tellement perdu dans ses pensées qu'il sursauta en entendant son nom, puis regardant l'homme qui venait de s'assoir en face de lui, il reconnu Mordom.

Un flot de souvenirs remonta à la surface : la guerre de Bretagne, son armée défaite à Rieux contre trois armées bretonnes.
La mort héroîque du Capitaine Deny.

La guerre actuelle contre l'Anjou avec la prise de Saumur et celle d'Angers ce matin qu'il avait appris par un pigeon voyageur.

Il esquissa un sourire devant son compagon d'armes et lui proposa une choppe de bière.

Je suis content de te revoir en vie. Trinquons ensemble.

Il se demandait si Totox allait venir le voir !

Phil1 regarda Niark qui remplissait son verre. Il aimait regarder la couleur ambre de ce divin nectar. Il huma la senteur de pommes qui s'en dégageait. Puis levant son verre

A la tienne frère Niark, j'espère que tu trouveras ton bonheur dans l'Ordre.

Phil1 but à petites gorgées le calva. un vrai délice.

heu, s'il t'en reste encore, j'en reprendrai bien un peu

Après être passe a l infirmerie pour remplir un questionnaire ; plus que passer une vrai visite
, Boucanier rentrât dans la taverne et fut surprit par le calme qui y régnait, de prime abord
Il ne vit Personne ; étant fatigue par toutes ses péripéties il allât s asseoir dans un coin et
Attendit.
Cela le changeait des tavernes de son village a Cahors les tavernes sont toujours pleines et
Bruyantes ici c était très calme

Boucanier n attendit pas longtemps un homme entrat a son tour dans la taverne bien il n y avait pas foule mais c est moins que rien le chateau n etait pas desert a son tour il saluat l homme chaleureusement car c est la premiere fois qu il employait le mot ""frere"" IL etait heureux
[b]salut mon frere tres heureux de vous connaitre je suis boucanier de cahors et nouveau homme d arme comme vous

Si on n’y voyait pas le Kékidi pour l’heure (celui-ci étant probablement occupé pour l’heure – au choix – à préparer le souper ou mettre en place un nouveau mécanisme tordu destiné à lui simplifier – ou pas – le travail, au mépris de la vie des visiteurs), la taverne n’était pas pour autant vide. Elle rassemblait une demi-douzaine de consommateurs, qui à eux tous semblaient à peine remplir autant d’espace que l’exubérant tavernier, et l’Errant se rendit compte, alors qu’il s’approchait d’eux, qu’il n’en connaissait aucun. Ou plutôt si… Cette silhouette, là, il la connaissait. Cela faisait des années, mais il s’en souvenait pourtant, malgré sa mémoire nominale parfois défaillante. Phil1, le Rochelais. Oui, il semblait bien que ce soit lui. Celui-là même qui était écuyer personnel de leur Capitaine Cathare, non ? Que devenait-il alors, depuis le trépas de ce dernier ? Une bonne occasion de l’apprendre… Et d’apprendre aussi les noms de ces autres membres, qu’il voyait eux vraiment pour la première fois, lui semblait-il… Ayant surpris les derniers mots prononcés, il devina qu’il arrivait précisément au bon moment : les présentations venaient tout juste de se finir, et ils n’avaient pas encore commencé à boire. Ils avaient donc des chances de se souvenir de ce qu’il leur dirait.

Après s’être saisi de l’une des chopes propres qui reposaient sur une des étagères placées non loin de la porte d’entrée, il s’avança à grands pas vers le petit attroupement, traversant la salle en quelques enjambées. Une fois arrivé à leur hauteur, il tira sans hésiter un tabouret de la table voisine, pour s’y laisser lourdement choir, avant de relever enfin la tête et de dévisager rapidement la petite assemblée. Puis, une fois les visages rapidement observés, tout en essayant de les fixer en son souvenir pour être capable de les resituer plus tard, il prit la parole, le premier d’entre eux à le faire depuis qu’il s’était installé parmi eux, après ces quelques secondes de flottement, le temps qu’il s’installe.

Bien le bonsoir, frères. Oh, et sœur, pardon. Je doute que vous me connaissiez, pour la plupart d’entre vous, aussi sera-t-il plus rapide de me présenter directement : je suis Stannis Le Ray, et je suis Chevalier Errant, ici. Une courte pause, et il ajoute, légèrement songeur : un titre sur mesure, pour moi comme pour d’autres qui le portent, d’ailleurs. Un titre qui me donne hélas amplement matière à ne connaître que trop peu de ceux qui fréquentent nos salles de façon plus assidue. Aussi serait-ce sans doute une bonne occasion de pallier à ce souci, ne pensez-vous pas ? Je serais fort heureux d’apprendre autour d’une bonne chopine de la bière de notre bon René qui vous êtes, et pourquoi vous vous trouvez là, pour sûr. Et pareillement heureux de répondre à vos questions, si d’aventure vous en aviez. Et vous, frère Phil, que je connais, vous pourrez également m’entretenir de ce qu’il advient de vous depuis le trépas de notre Capitaine…

Après ce petit laïus introductif qu’il estimait ma foi fort correct pour une improvisation telle que celle-ci, le Comte de Ségur se pencha sur la table, se saisissant du cruchon d’ale qui reposait sur la table, il en préleva de quoi remplir la chope dont il s’était muni à son entrée, avant de balayer l’assistance (réduite, mais assistance tout de même, non mais !) d’un nouveau regard circulaire, attendant de voir lequel d’entre eux oserait prendre la parole le premier. En attendant que l'un d'eux hausse la voix, il entreprit déjà de lever le coude...

Boucanier vis le chevalier entrer ; a son allure il devina qu il n était pas comme lui c est a dire emprunte et un peu mal a l aise au contraire lui semblait connaître les lieux et être
Parfaitement décontracte et pas l allure d un nouveau homme d arme non; plutôt chevalier
Où alors vraiment un très ancien homme d arme
Il écoutât aussi tout les titres qu il avait et fut assez impressionne lui Boucanier simple paysan
Mais il se consolât en pensant que lui avait sa noblesse de cœur comme tous les gens présent ici
Voyant que le frère de toute évidence attendais une réponse et regardant les autres commencer a boire
Il se lance

BONJOUR FRERE JE SUIS BOUCANIER NOUVEL HOMME D ARME JE VIEN DE CAHORS DUCHE DE GUYENNE JE SUIS AGRICULTEUR JE CULTIVE DU MAIS JE SUIS HEUREUX DE FAIRE VOTRE CONNAISSANCE.ET VOUS DIRE AUSSI QU IL ME TARDE D ETRE ERRANT COMME VOUS ?MAIS PATIENTE
Boucanier leva sa choppe et trinquât

SANTE A VOUS TOUS

Quelques minutes auparavant elle discutait avec Phil et saluait des hommes endormis le nez dans leur breuvage. Sourire aux lèvres elle détaillée leur visage, peut être bien pour s’occuper ou pour plus tard dans la possibilité d’une seconde rencontre les retenir pour qu’elle leur en tienne compte.

Arrivaient comme des sauvages deux hommes d'armes était venu vers eux, dans un premier temps sans leur prêter un brin d'attention.
D'ailleurs le comandant du s'approcher en premier pour que ceux ci repère leur présence et encore ils ne l'avaient pas vu était elle trop petite avec sa carrure de femme pour qu'il la voit, évidement plus mince et moins haute elle était toujours occupé à regarder les dormeurs.
Comme une vielle femme bougonnant elle haussa les épaules d'un air las de ces hommes sans manières ni politesse. But une gorgée puis se décida à s'approcher de quelques pas, en se mettant à hauteur de son ancien comandant comme cachait derrière lui.
Un des hommes à qui elle prêtait déjà de bien mauvaise manière se tourna cachant l'homme qui venait d'arriver. Quand celui ne fut plus dissimuler elle le reconnut de toute évidence ce n'était pas son cas, pourtant elle était sur de l'avoir vu et ce plusieurs fois.
le temps avait coulé sous les ponts depuis était elle tant marqué par le temps pour que certain ne la reconnaisse plus.
Ou plutôt elle savait trop bien se faire discrète.

Courte présentation, mais Blanche en devint plus souriante, peut être flattée de voir enfin quelqu’un qui l’avait vu, trépas du capitaine… frère Phil… elle ne pourrait jamais se résoudre à l’appeler un jour comme cela, trop étrange, trop imprononçable tout simplement.
Quelques instant toujours silencieuse à écouter ce qui ce passait autour d’elle d’une oreille attentive son visage se tordit dans une grimace, causé par la grosse voix de l’homme d‘arme boucanier, pourquoi parlait il si fort

Bonjour mes frères elle acquièse d'un signe de tête puis reprend. Il serait bon effectivement de pouvoir faire plus ample connaissance avec tout ce monde autour de nous, je n'en connais pas plus que deux ou trois.
Elle regarde phil puis se rappellant soudain qu'elle ne c'est pas présenté continue
Au faite je suis Blanche femme d'arme

Balarion se rendit à la taverne et se dirigea vers un groupe de personnes.

Bonjour, je me présente Balarion de Créans Verne je viens tout juste d'être accepté au sein de l'ordre. Je ne vous dérange pas??

Boucanier avait vaguement aperçus une dame cachée derrière un homme
Et se ressaisit tout de suite il est vrai qu avec ces deux cents livres et presque deux mètres
Il avait tendance à oublier sa grosse voix et beaucoup d enfants avaient peur quand il parlait
Aussi des qu il aperçu la jeune femme sa voix s adoucie; il avait tendance a parler fort; histoire de s imposer
a cause d une timidité qu il essayait de cacher
Il regardât la dame mais il ne l avait jamais vue mais il lui était agréable de voir que les femmes
Aussi étaient attirées par l Ordre

Bonjour sœur comment allez vous! Je me nomme Boucanier homme d arme et lieutenant de police ainsi que douanier
a cahors heureux de vous connaître et je vous présente mes excuses si vos jolies petites oreilles ont été quelque peut malmenées par ma voix

Boucanier souriait content de s en être sortie sans accros lui le timide envers les dames
C Est-ce moment que choisi frère Balarion pour arriver la taverne commençait a être animée

Bonjour frère comment allez vous nous ont c est déjà croise!!

Balarion sourit à boucanier

Je vais très bien merci et vous même??
Oui il me semble que nous nous sommes croisés devant les portes domaine de l'ordre.

Balarion se tourna vers son nouvel interlocuteur

Oh excusez moi c'est que je suis un peu impressionné c'est la première fois que je viens à la taverne.
Et bien j'habite à Orthez en Béarn où je suis sergent chef de l'Ost béarnai ainsi qu' émissaire du conseil comtal.
Ce qui m'a fait arriver au sein de l'ordre...

Balarion fait mine de réfléchir

Je cherche à aider les personnes les plus démunies ainsi qu'à servir mon Roy et le royaume. Mais également la compagnie de frères d'armes me manquaient. Avant je faisais partis de l'ordre de St Michel mais après la mort de feu Savarrin ce n'était plus qu'une lutte entre les différents hauts placés pour avoir le pouvoir...
Et pourquoi précisément l'ordre de la Licorne, j'en avais beaucoup entendu parler en bien et la charte m'a plut. De plus une excellente amie Arielle de Gilraen de Dénéré m'a dit que les membres de l'ordre étaient tous des personnes d'honneur donc je n'ai plus hésité et j'ai envoyé une lettre pour vous rejoindre.

Balarion espérait avoir satisfait les attentes de l'homme. Il lui sourit et lui demanda

Je vois que votre verre est vide me permettez vous de vous en payé un autre?? Ainsi qu'à toutes les personnes présentes.