Fief ou pas fief pour l'Ordre ? (en attente d'Adrian)

Pour que vous soyez au courant des échanges (les passages enlevés ne concernent que l'intendance des terres de Flandres qui me sont confiées jusqu'au retour de Guillaume) :

Zalina a écrit:

A Adrian Fauconnier de Riddermark, Vicomte d'Isles et de Montbarrey,
Salut et connaissance de vérité.

Votre demande, comme vous vous en doutez, a été étudiée par le Haut Conseil de la Licorne. Pour ce qui est de votre personne, vous avez reçu, si je ne m'abuse, réponse.
Il demeurait le cas de votre jeune soeur.

Je vous propose de la prendre en charge jusqu'au retour de son père, la guérison de votre mère ou que vous soyez en âge de prendre à nouveau soin d'elle et de son éducation.
Cette prise en charge est en mon nom propre et n'engage en rien l'Ordre Royal de la Licorne. Toutefois, étant moi même régulièrement au sein de la forteresse de Ryes, vous pourrez l'y croiser occasionnellement.

Dans le cas où cette proposition vous sied, je passerai voir la damoiselle à l'auberge. Je vous laisse le temps d'y réfléchir et expliquer la situation à votre soeur.

Faict en Ryes, ce vingt et deuxième jour de février de l'an de grâce MCDLVII.

Zalina de Montmorency

Adrian a écrit:

A Zalina de Montmorency, Damoiselle de Haisnes et de Colombiers, Capitaine-Prévôt de l'Ordre Royal de Chevalerie de la Licorne.

Ryes, le XXIIe jour de février de l'An de Grasce du Seigneur Dieu MCDLVII.

Capitaine,

Plusieurs questions surviennent à mon esprit en lisant votre missive, que je me dois de vous exposer. Je ne paraphraserais pas, et entrerais, si vous le permettez, dans le vif du sujet.

Tout d'abord, votre attitude, bien que chevaleresque, n'élucide pas tous les points problématiques de la vie de ma soeur, que je sens nécessaires d'aborder avec vous. Où vivrait-elle? Qui en aurait la responsabilité? Avec quel argent prendrait-on soin d'elle? Quelles obligations aurait-elle à fournir? Ces questions, Capitaine, sont de sortes à ce que les choses soient claires. Vous me dites, et de façon fort noble, que vous prendrez soin d'elle. Soit. Je me permets tout d'abord de vous faire remarquer, sans mettre en doute le moins du monde votre faculté à vous occuper d'elle, vos charges diverses, qui font peser sur vous un certain poids. Vous aurez des déplacements à Paris. Vous en aurez en Flandres. En Poitou. Vous reviendrez en Normandie. Pensez-vous, capitaine, qu'elle puisse vous suivre? C'est là question essentielle à se poser. Si vous êtes absente, qui se chargera d'elle? Qui fera en sorte qu'elle mange? Là sont des questions épineuses, vous n'en disconviendrez. Et si l'Ordre dans son ensemble ne le fait, qui le fera? Vous n'avez pas don d'ubiquité, vous n'en disconviendrez.

Voici ce que je peux proposer sur ce point. Je propose, pour les aspects économiques, que donation de terres soient effectuées à l'Ordre de la Licorne, sur la Vicomté d'Isles, sise en Comté de Limousin et de la Marche. Ces terres seront à l'usufruit propre de l'Ordre, qui touchera les revenus de ces terres, qui viendront effectuer donation pour ma situation et celle de ma soeur. Dossier sera en ce sens élaboré à destination de Sa Grandeur Aloys de Malemort, dicte Nebisa, héraut du Comté, et du Conseil régnant de celui-ci. Si approbation, alors l'Ordre, et vous, Chevalier, n'aurez pas à vous plaindre de la situation. Si refus, nous ferons de même avec Marchiennes. Si encore refus, alors je tâcherais de faire en sorte que mon oncle, le puissant Prince de Condé, pourvoie en cela.

Pour les aspects pratiques, je fais don à l'Ordre de mes six compagnons d'armes, dirigés par Rufus. Il aura ordre de prendre soin de la jeune Jeneffe, et de me faire rapport circonstancié, ainsi qu'à vous, sur les conditions de l'acte.
Mais, n'étant pas une bête, je me dois de faire état de la présence d'épouses, et d'enfants, auprès de ces hommes. Aussi souhaiterais-je que le Haut Conseil les autorise à s'établir à Ryes où, bien que n'ayant pas appartenance à l'Ordre, ils pourraient lors intégrer la milice de la ville. Leurs familles et eux travailleraient dans le village, et Condé paierait pour leurs loyers auprès du Haut-Conseil. De mon service, ils passeraient donc à celui de l'Ordre.

Vous serez alors considérée comme responsable de l'enfant, responsabilité qui tomberait sur Rufus lors de vos absences.

Espérant que l'arrangement vous conviendrait, et arguant de ma bonne foy et de toute mon affection,

[...]
Adrian Fauconnier de Riddermark,
Vicomte d'Isles et de Montbarrey.

Zalina a écrit:

Citation :

A Adrian Fauconnier de Riddermark, Vicomte d'Isles et de Montbarrey,
Salut et connaissance de vérité.

Vicomte,

Comme je vous l’ai précisé lors de ma précédente missive, l’arrangement que je vous propose n’engage en rien l’Ordre de la Licorne, d’aucune façon. Ledit Ordre, après discussion du Haut Conseil, ne peut prendre en charge ni s’occuper d’une enfant aussi jeune. La forteresse et Ryes, bien que lieu sécurisé, n’est pas un endroit pour des personnes de moins de douze printemps. Il y demeure trop d’objets dangereux pour votre sœur, même sous bonne surveillance.
Vous êtes libre de faire les dons à l’Ordre qu’il vous plaira. Mais il n’aura aucune autorité quand à l’avenir de votre sœur tant qu’elle ne sera pas en âge de demander elle-même à devenir l'écuyère personnelle d’un des Chevaliers.

Ma démarche n’est point en tant que Chevalier, mais en tant que vassale de Marchiennes et filleule du père de la jeune fille. J’ai promis à mon parrain de protéger sa famille, et je tiendrais promesse. Cela passe par le bien être de votre sœur jusqu’à ce que quelqu’un soit en mesure de la prendre en main.

Pour ce qui est de vos inquiétudes, je voyage beaucoup, il est vrai, et des voyages peu calmes.
Il est hors de question que votre sœur m’accompagne sur la plupart de ces déplacements. Je comptais cependant l’emmener en Flandres et en Normandie. Flandres pour qu’elle garde contact avec sa terre, Normandie pour y croiser son frère qu’elle aime tant.
Mes déplacements sur Paris se font rares, et j’ai une très bonne cuisinière, nourrisse il y a encore peu, en mon domaine de Colombiers. S’occuper d’enfants lui manque et elle sera ravie de suivre votre sœur dans toutes ses activités.
Pour ce qui est de la question financière, Haisnes et Colombiers sont certes que Seigneuries mais amplement suffisantes pour nourrir et vêtir l’héritière De Jeneffe. Surtout que je me contente de peu. Toutes les ressources sont à sa disposition.
Quelles obligations aurait-elle à fournir ? Je dois dire que la question me surprend quelque peu. Manger, boire, dormir et s’amuser sans tout casser ou brûler me semble déjà beaucoup pour une enfant de son âge.

Bien entendu, tout ceci n’est qu’une proposition que vous demeurez libre d’accepter ou de refuser. Je n’ai et n’aurai jamais autorité sur votre sœur, n’étant ni de votre famille, ni sa tutrice. Votre famille reste seule à pouvoir décider de son avenir.

[...]
Faict en Ryes, ce vingt et troisième jour de février de l'an de grâce MCDLVII.

Zalina de Montmorency

[HRP : pour plus de réalisme RP, je n’ai touché mot de tout ceci à Céline. Mais tu peux lui en parler bien sûre. Si Bérénice n’a pas vraiment son mot à dire, LJD Bérénice l’a plutôt deux fois qu’une.]

Adrian a écrit:

[ Céline est malgré tout celle qui "possède" les terres, en terme de RP: les propositions que je te fais, je les fais en double, pour qu'elle ait droit de regard dessus. Quoi qu'il en soit, il n'y a aucun problème: elle est entièrement d'accord sur les termes. ]

Citation :

A Zalina de Montmorency, Damoiselle de Haisnes et de Colombiers, Capitaine-Prévôt de l'Ordre Royal de Chevalerie de la Licorne.

Ryes, le XXIVe jour de février de l'An de Grasce du Seigneur Dieu MCDLVII.

Damoiselle,

Il y a ma soeur d'une part, et ma personne de l'autre. Je pense malséant de demander l'entrant en cet Ordre sans contribuer, à ma façon, à sa grandeur. Aussi l'arrangement pour Isles, pour ma part en tout cas, ne se trouve pas contestable, hormis par un refus clair du Haut-Conseil de l'Ordre de la Licorne. De surcroît, je préfère nettement savoir que certains de mes villages sont contrôlés par l'Ordre, que j'estime compétent en terme de gestion de terres, qui s'ingéniera à rendre ces villages prospères, calmes et sûrs, assurant belle et bonne vie à ses serfs, plutôt que de le confier à quelque personne amoureuse de l'élévation sociale, qui pressera le citron pour en extraire le jus et le laissera exsangue. J'ose vous faire remarquer en cela le degré de confiance que j'ai pour un Ordre dont mon père fit partie.

Cela n'était que pour ma contribution personnelle.

Vient ensuite ma soeur.

Vos biaux sentiments chevaleresques vous honorent, mais heurtent ma conscience un peu trop... matérialiste, je vous l'accorde, des besoins du monde. Veuillez pardonner, en cela, ma jeunesse et mon inexpérience. Ainsi, il me parait juste que vous receviez rétribution, d'une part, et d'autre part que vous n'ayez pas à débourser un liard pour ma soeur, de par la même conscience qui me fit refuser votre paiement à l'auberge, l'autre soir. Nonobstant, je n'omets pas d'être conscient que vous aurez de toute façon des dépenses dans l'un ou l'autre cas, malgré toute mon envie de bien faire. Aussi me parait-il approprié de vous rétribuer de la sorte, d'une part parce que je pense que le Chevalier de Jeneffe aurait trouvé normal que vos efforts soient récompensés, et d'autre part qu'il me parait normal que ma soeur vive sur les deniers de ses futures terres, plutôt que sur ceux des autres. C'est là, pour ma part, volonté éducative.

J'ose ajouter que vous placeriez ma famille en position inconfortable si vous refusiez tout paiement, poussant ainsi les commérages à s'orienter vers le fait que Condé ne doit point être de confiance, si même chevalier refuse tout remerciement de sa part. Voyez-vous où je veux en venir? Vous comprendrez donc aisément que pour ma part, il est hors de question que je laisse ce marché se faire comme si Condé était faible, incapable de récompenser ceux qui lui rendent service.
Cela, par respect pour mon oncle, et ma famille.

Espérant vous avoir fait mieux comprendre mes intentions,

Adrian Fauconnier de Riddermark,
Vicomte d'Isles et de Montbarrey.

[pour ceux qui ne le savent pas (il y en a ??) Céline est la joueuse de Bérénice]

Messires, Dame, voulez vous accepter un fief en terre d'Isles pour l'Ordre ou pas ? Dans mes souvenirs, l'ancien Capitaine Wanou rêvait de voir l'Ordre posséder des Commanderies dans tout le Royaume.
Personnellement, sachant que celle que nous possédons déjà en Flandres est à l'abandon, je n'ai jamais vu l'utilité d'avoir des terres partout. Cela a quelques avantages, notamment pouvoir avoir un "pied à terre" lors de nos nombreux déplacements. Plusieurs d'entre nous ayant déjà des fiefs, j'ai toujours pensé le nombre de "pied à terre" suffisant et bien dispersés.
Vous en pensez quoi ?

C'est une idée des plus séduisante, à la condition que l'on s'en serve effectivement.
Et avec ce foutu nouveau forum des RR on est plus que coincés.
Par contre, cela pourrait être exploité dans la partie qui nous est réservée au niveau des OR, avec un topic par commanderie (les flandres, celle d'isles et celle de Paris dont on parlait il y a quelque temps), qui permettrait d'y développer des RP visibles sur le forum RR et accessibles à tous nos frères et soeurs.

Cela donnerait plus de possibilités pour faire du RP, changer un peu d'environnement, mais cela ne restreindrait pas le RP à Ryes?
Car si c'est juste pour des avoir des pied-à-terre un peu partout, on en a déjà.
Il me semble de toute façon que l'on ne peut avoir qu'un seul fief qui serve de commanderie. Les autres fiefs, nous n'en seront que "locataires", le suzerain gardant la responsabilité et la charge de toutes les terres situées sur son domaine.
De plus, il faut arriver à faire vivre tous ces lieux, ce dont je doute que nous soyons capables, même avec la meilleure volonté du monde. Nous ne pouvons être partout, entre la guerre, les événements "mondains" et Ryes, nous ne sommes pas ubiquitaires comme dirait l'autre.

Donc je serai plutôt opposé à cela. S'il a quelque chose à nous dire, qu'il le dise en face et en son propre nom, nous n'avons rien à faire de ce qu'untel en pense, fut-il Prince de Condé...

Pour celui de Paris, je suppose que tu parles de la Porte de Saint Michel, Enguerrand ? La porte dont parlait Guillaume en salle du Chapitre ?
Je n’ai pas retrouvé les archives la concernant (j’oublie pas hein, je vais avoir plusieurs jours de vacances en mars et avril, j’espère pouvoir y arriver), mais, apparemment et sous réserve de vérification, c’est une porte que l’Ordre se serait… mmm… appropriée pendant le Chapitre de Paris mais sans demander l’avis à qui que ce soit, et encore moins à l’Hérauderie…

Pour les commanderies, là aussi à vérifier à l’Hérauderie ou auprès de Kirah, je crois que c’est limité à une seule au sein du DR mais autant que l’on veut hors DR.
La Licorne en possède deux actuellement. En Flandres, c’est une commanderie également, mais qui n’a jamais été utilisée, au grand damne de Guillaume.

Un topic par commanderies pour faire vivre notre partie OR sur le forum officiel, çà me plait bien. Mais pour y faire quoi ?
Les RP de campagne ? Au lieu de poster dans les gargotes comme vous le faites en Limousin actuellement, passer de commanderie en commanderie en fonction de la localisation IG ? Cela permettrait de faire des RP plus long (puisque possibilité de les continuer en sortant de la province) et ouvert à des Licorneux ne pouvant pas se déplacer IG, mais limite l’interaction avec les habitants de la province. Pour rester dans l’exemple du Limousin (mais mauvais exemple puisque personne hors Licorne n’a encore participé à votre RP), les habitants viendront encore moins facilement dans un RP écrit dans la partie des OR qu’en gargote.

Pas convaincue du tout...
Par Paris oui, pourquoi pas, puisque siège du pouvoir royal... ça peut être sympa pour des rps annexes, réception, diplomatie... bref... vala.

Le soucis des commanderies c'est qu'on a déjà du mal à faire vivre Ryes, à bouger tout le monde et à faire du rp ensemble à cause du nouveau fofo... alors multiplier les lieux, pas sur que ce soit très judicieux.

En avoir une, pourquoi pas, ça permet d'en faire un lieu RP lorsque, de passage dans une province, un RP entre membres de l'Ordre se développe, par exemple. Mais en faire autre chose qu'un lieu de passage anecdotique, ça me semble non seulement présomptueux mais aussi plus nuisible qu'utile, en scindant les efforts.

On peut aussi juste la prendre pour "rajouter une ligne au CV de l'Ordre"... Je déteste çà, mais c'est une possibilité. En gros, prendre la terre, considérer que l'on s'en occupe et ne jamais rien y poster, ou juste à l'occasion en cas de besoin (pour y faire un Chapitre public ou une connerie dans le genre).
[Wanou a toujours énormément tenu à ces Commanderies multiples. Je n'ai jamais compris pourquoi. Mais çà lui fait plaisir...]
Sincèrement, je ne sais pas quoi en penser...

Stannis, au niveau de l'Hérauderie, un Comte/Vicomte peut il donner un fief à un Ordre ? Y a t'il des conditions à respecter pour le HDR ?
Ca réglera peut être la question...

Edit :

nith a écrit:

Donc je serai plutôt opposé à cela. S'il a quelque chose à nous dire, qu'il le dise en face et en son propre nom, nous n'avons rien à faire de ce qu'untel en pense, fut-il Prince de Condé...

J'oubliai... Si tu fais référence au dernier paragraphe, Nith, je te rassure. Adrian faisait référence à mon refus de rémunération pour m'occuper de sa soeur et des terres Flamandes de Guillaume (les passages que j'ai supprimé). Pas à son intégration comme Ecuyer Personnel de Cerri.

La seule législation que je connaisse sur les commanderies, c'est leur limitation aux ordres reconnus par le royaume, et la mention de l'accord obligatoire des "dirigeants locaux", selon le texte.

Je ne vois pas de raison de ne pas considérer comme "dirigeant local" le Vicomte en ses terres, donc s'il veut en céder une partie à l'Ordre, ça me paraît tout à fait légal.

Bon, je viens de poser insidieusement la question à l'hérauderie en rebondissant sur une mention en rapport avec ça qui avait été faite dans une discussion précédente.

Conclusion: si un fief est octroyé à un Ordre, il faut l'accord du régnant de la province même s'il ne dépend pas directement de celle-ci.

Oui en effet ça semble la règle. Pas contre en tant que ordre royal reconnu et tout et tout.... on peut posséder pas mal de fief dans le domaine royal mais pour le reste du royaume je ne sais pas. (J'avais participer à la discussion de la limitation en tant que chambellan de Normandie au salon des diplomates du DR à l'époque). Ca veut dire que si moi Caturix décide de vous filer une seigneurie sur mes domaines normands ça sera accepté automatiquement normalement meme si le régnant est pas d'accord car DR oblige.
L'hérauderie n'est peut être pas d'accord mais bon pour le DR c'est comme ça que ça doit marcher.... je sais le sujet c'était le domaine proposé là et il est pas DR

Adrian a écrit:

Voici ce que je peux proposer sur ce point. Je propose, pour les aspects économiques, que donation de terres soient effectuées à l'Ordre de la Licorne, sur la Vicomté d'Isles, sise en Comté de Limousin et de la Marche. Ces terres seront à l'usufruit propre de l'Ordre, qui touchera les revenus de ces terres, qui viendront effectuer donation pour ma situation et celle de ma soeur. Dossier sera en ce sens élaboré à destination de Sa Grandeur Aloys de Malemort, dicte Nebisa, héraut du Comté, et du Conseil régnant de celui-ci. Si approbation, alors l'Ordre, et vous, Chevalier, n'aurez pas à vous plaindre de la situation. Si refus, nous ferons de même avec Marchiennes. Si encore refus, alors je tâcherais de faire en sorte que mon oncle, le puissant Prince de Condé, pourvoie en cela.

Dans sa première lettre du 22 février.
La décision finale appartiendra donc au régnant du Limousin ou des Flandres au moment de la demande. La question reste donc entière : l'Ordre accepte t'il ce fief ou non ?
Il ne s'agit pas de nous acheter, j'ai été parfaitement clair avec lui là dessus et Cerri peut lui en remettre une couche à l'occasion : contribuer à l'Ordre n'est pas donner des terres et ne lui donnera aucun droit, avantage ou promotion. Mais sachant que la Licorne aura des frais pour lui, il veut participer au paiement de sa pitance et son gîte.
Accepte t'on ou pas qu’il dépose un dossier pour ce don à l’Hérauderie ? Sachant que si les régnants refusent, de toute façon nous n’aurons rien.

Moi je suis pour. Même si nous n'en avons pas l'utilité directement pour y faire un RP, on pourra toujours l'utiliser un jour.

Par ailleurs, une terre en limousin, au vu du nombre de licorneux actuellement limousin pourrait permettre d'ouvrir une commanderie sur place (gargotte) et de retenter l'expérience de Guillaume à l'époque.

Alors deux oui, en espérant que vous aurez plus de chance que Guillaume en Flandres (il était un peu seul à faire tourner le projet, vous y arriverez surement mieux).
Et rajout d'un vote pour 7 jours, histoire que l'on y voit plus clair et que l'on se fixe une date limite pour donner la réponse.

Sans opinion: je suis héraut, donc neutre.

(Et surtout, j'ai pas d'opinion)

Avis à venir ( il trempe encore dans la gnole laisser le mariner )

Contre, une bonne idée en soi mais que l'on ne pourra pas vraiment concrétiser et donc vraiment profiter.

Fin du vote demain et nous sommes toujours à 1 partout.
On accepte ce fief ou pas ?

désolé, oubli de ma part . A voté donc.

Ce qui nous fait 2 oui, 1 non et 1 abstention. Soit quatre votants.
Grand Maistre, voulez vous que je lui réponde, vous en chargez vous, ou discutons nous encore un peu ?
Sachant qu’il est toujours possible que le don ne soit pas accepté par le Conseil de la province.

Tu peux le faire s'il te plait Zaza, vu que la demande t'avait été adressée?

Citation :

L’Ordre Royal de la Licorne,
A Adrian Fauconnier de Riddermark, Vicomte d'Isles et de Montbarrey,
Salut et connaissance de vérité.

Vicomte,

Votre proposition de contribution par la donation de terres à l’Ordre Royal de la Licorne a été soigneusement étudiée par le Haut Conseil dudit Ordre.
Après discussion, délibération et vote, il a été décidé que nous acceptions votre proposition. Nous tenons toutefois à vous rappeler, au cas où cela serait nécessaire et afin d’éviter tout malentendu, que vous ne tirerez aucun passe droit ou avantage de nos Frères ou du Haut Conseil par ce don.

Nous nous tenons à votre disposition pour les formalités à accomplir.

Faict en Ryes, ce sixième jour de mars del an de grasce MCDLVII.

Est-ce que çà vous va ?

parfait. Merci Zaza.

Alors courrier envoyé à Adrian. Et dossier en attente des demandes "administratives" et des réponses des régnants concernés.
Bref, à Adrian de jouer...

Archivé.