[RP] Que la leçon commence... (ou pas)

La cour intérieur n'était pas sans bâtiment loin de là, c'est donc au millieu que Bess fit claquer ses bottes en stoppant net. Lui indiquant du doigt les endroits à connaitre, le reste ben ça serait quand il serait plus grand ... si l'avenir lui en donnait la possibilité, et surtout s'il s'accrochait. La taverne d'abord, où elle omit de lui parler de la montagne d'ébène qui y faisait la loi. Vint ensuite les Ateliers, lui expliquant qu'il y trouverait forge, tannerie, évitant de lui parler de la poudrière, des fois qu'il lui prendrait l'idée saugrenue d'aller y fouiner. L'infirmerie ou il devrait se rendre d'ici quelques jours histoire qu'on lui fasse à check up. Bon en même temps vu l'époque à laquelle nous vivons... on passera les prises de sang, irm et autres radiographie. Elle n'oublia pas de lui parler de la Salle d'Arme, ça il la connaîtrait sans doute bien vite, voir peut être trop vite à son goût.

Pour la Tour Hestia elle demanderait à Elyas de lui faire visiter.

Tournant les talons, elle se dirigea directement vers les écuries, rejoindre le box de Cardinal qui fanfaronnait comme à son habitude, levant un sourcil broussailleux en voyant sa maitresse entrer, puis fixa ses yeux d'un noir d'encre sur le jeune freluquet qui l'accompagnait. En digne frison insupportable d'arrogance il souffla de manière hautaine, et redressa le col. Vla t'y pas qu'elle va encore lui foutre un freluquet dans les pattes ... et bien ça présageait des moments de franche rigolade...aux dépends du dit freluquet bien évidemment.

Bien ... voici donc Cardinal ! C'est Elias qui s'en occupe pour l'instant. Il ne devrait plus tarder ... je suis certaine qu'il a quelques ficelles à t'apprendre avant que je ne te laisse seul avec lui... enfin le canas.... Regard noir du canasson en retour Hum... ce magnifique frison qui m'a sauvé la vie plus d'une fois.Sourire de la Bess en voyant le dit frison se rengorger devant le compliment.

Non loin de la on entendait raisonner en écho des bruits inquiétants à l'ombre des murs qui bordaient la cours intérieure. D'aucun non habitué à ces lieux et à ces curieux occupants aurait surement pris ces bruits annonciateurs de troubles comme émanant de bêtes sauvages qui pistaient tapis dans les recoins les aventuriers trop téméraires pour pénétrer leur sanctuaire. Des genres de complaintes et autres grognements affamés de prédateurs féroces au dents aiguisées et aux muscles saillants. Encore faudrait il bien sur qu'ils soient premièrement aventuriers, deuxièmement au sein d'un bâtiment inconnu entouré de recoins et peuplé de bêtes et troisièmement qu'ils aient l'imagination débordante des pseudo aventuriers qui couchent leurs exploits sur des pages qu'ils revendront au plus offrants des nobles parisiens en soif de dépaysement. Non en fait ceux qui ont l'habitude de trainer à Ryes savent que ces grognements viennent juste d'un licorneux contrarié qui passe au sein de la cours dont l'acoustique particulière inhérente aux lieux encaissés participe à la mise en scène théâtrale de la chose.

En l'occurrence peu de temps après on vu débarquer un Shiska grognant comme à son habitude près des écuries. Il ne fallait pas être bien devin pour comprendre que le loup n'avait pas trouvé ce qu'il était parti chercher et qu'il en était de forte méchante humeur. Remarquant le petit groupe de trois près du riche lieu, petit nom donné par le loup au box du cheval Cardinal dont son occupant chevalin voulait toujours qu'il soit richement fournis en fourrage, Shiska se mit en marche pour rejoindre le grand maitre de l'ordre, son nouvel escuyer personnel et le cheval. Grognement en signe de salue celui ci ce tourna directement vers Bess sans passer par la case frison/gamin.

Ton ancien escuyer n'est pas dans ses quartiers... il semblerait qu'il soit sorti de la forteresse pour quelques affaires personnelles. Encore un qui est allé faire le tour des magasins du village ou traquer la donzelle au lieu de s'entrainer ça.

Le cheval répondit à cette affirmation en raclant le sol de ses sabots et en hénissant avec mécontentement.

Oh toi hein chut... Je te préviens si tu es mêlé de près ou de loin à cette affaire je le saurais. Je t'ai à l’œil mon gaillard...

Haussement de crinière hautain de la part du cheval qui bien entendu ne parlerait jamais et qui même s'il savait parler n'en ferait pas plus histoire d'embêter son monde. Pire indic que ça tu meurt. Celui ci se contenta de se retourner vers le nouvel escuyer personnel pour commencer à lui brouter les cheveux. Le Loup suivit le regard du cheval de la même manière et tomba sur le jeune homme qui semblait avoir été déplacé et posé là depuis le poste de garde.

Bon, je vois que t'as rencontré sa majesté le roi des exigeants. A ta place je ferais gaffe à mes cheveux si tu veux pas finir avec une coupe de moine d'ici la fin de la semaine.

Quand à nous deux, si tu as suivi ce que notre grand maitre t'as dit, sourire au grand maitre en question je suis l'un des assistants maitre d'arme de Ryes. Si tu as déjà entendu parler de maitre d'armes tu vois donc à peu près quel est mon rôle. En tant que nouveau venu ici et plus particulièrement parce que tu vas devoir protéger le cheval du grand maitre tu as besoin d'avoir une condition physique irréprochable et une connaissance du maniement des armes. Nous allons donc commencer ceci une fois que tu auras fini le tour du propriétaire...

Bien sur en parlant de propriétaire il parlait du cheval car comme tout le monde sait Cardinal est propriétaire de ses escuyers.

Et pendant ce temps Bess observait. Parce que oui elle est sadique, mais pas au point de laisser un gamin se faire ratatiner/piétiner/mordre par son foutu canasson colérique, lunatique et narcissique. Parce que oui il est tout ça le Cardinal, effronté, railleur, gouailleur, et ne parlons pas de son caractère de cochon (un comble pour un cheval). Bref donc la Bess préférait vérifier d'abord que le dit Cardinal n'avait pas une dent contre le jeune écuyer, ce qui visiblement n'était pas le cas ... il allait en voir des vertes et des pas mûres, mais à première vue, le frison semblait plutôt content de son nouveau souffre douleur.

Elle retint un profond soupir en levant les yeux au ciel, alors qu'un Shiska d'une humeur charmante faisait son entrée, cette fois le soupir ne fut pas retenu, et c'est donc une Bess tapotant du bout de sa botte sur le sol qui reprit la parole, non sans lancer un regard assassin au frison qui voulait brouter SON escuyer personnel à elle que c'est que elle qui a le droit de le martyriser.

CARDINAL ! Tu me le laisse pour le moment, il sera tout à toi plus tard Et le Cardinal qui lui retourne un regard en biais en guise de réponse, non sans souffler dans les naseaux, claquant un sabot à un cheveu d'un des pieds du jeune escuyer. Bess leva les yeux au ciel à nouveau (une habitude chez elle) avant d’enchaîner.

Et bien puisque tu en parles Loupinnn... Shiska, nous allons y aller de suite, Kylian aura le temps un peu plus tard pour se familiariser avec le reste, je veux voir ce qu'il a dans le ventre avant que Cardinal ne lui fasse goûter ses manières ... Le pauvre enfant allait sans doute payer cette infamie de Bess, et le frison s'ébroue, redresse le col et fait un demi tour pour bien marquer son mécontentement, non sans bousculer tout le monde au passage. On va y aller maintenant ... ensuite j'aimerais retourner à mon bureau, j'ai quelques courriers en souffrance.

C'est vrai quoi, la GM elle a pas que ça à faire, faire faire le tour du propriétaire naméo ! Et puis les nausées sont en train de revenir et à vrai dire elle aimerait autant éviter de rester dans cet endroit confiné qui bien que propre, ne sent pas la rose, et surtout que Shiska ne voit qu'elle se sent à nouveau pas bien.

Clotilde avait suivi la capitaine en lui expliquant avec de grands gestes que le voyage s'était bien passé et qu'elle avait pu galoper assez vite avec son cheval. Elle aimait sentir le vent dans ses cheveux. Elle lui avait aussi posé de nombreuses questions sur l'armement dont elle pourrait disposer, les entraînements qu'elle pourrait suivre et surtout, quel serait son rôle en tant qu'écuyère. Elle n'avait passé que peu de temps avec Alethea, assez pour apprendre quelques trucs, mais le temps qu'elle se mette dans son rôle, la capitaine avait disparu. Elle était ensuite devenue l'écuyère de la Grande Maîtresse, mais cette dernière, occupée par ses obligations, n'avait eu que peu de temps à lui accorder. Elle avait passé rapidement sur son séjour en Artois, ses promenades avec l'autre, sa belle-mère qu'elle supportait difficilement, mais elle lui avait raconté avec nombre de détails un enlèvement dont elle avait été victime, qui avait occasionné son départ précipité.

Ils étaient nombreux, blonds et grands. Vous savez, je n'ai rien pu faire malgré toute ma vaillance. Des barbares du Nord. Ils avaient un grand bateau. Ils faisaient très peur à voir avec leurs barbes et leurs yeux méchants. Mais j'ai réussi à m'enfuir un soir, pendant qu'ils dormaient. Et du coup, je suis repartie en Lorraine. Maintenant, je suis connétable.
Je vous ai dit que je suis connétable en Lorraine ? Je travaille avec le Sénéchal. Il ne veut pas écouter mes conseils sur les tenues, mais je sais qu'il sait que j'ai raison. Il faut des belles tenues pour motiver les soldats, sinon, ils ne rejoindront pas l'OST.

Elles marchaient, et Clotilde continuait son récit avec animation. Elles rejoignaient les écuries où elle espérait trouver un beau cheval, rapide, docile -surtout - sur lequel elle pourrait se promener. Elle entendit une voix qu'elle pourrait reconnaître entre mille tant elle avait peur de l'entendre crier sur elle.

Bess Saincte Merveille a écrit:

On va y aller maintenant ... ensuite j'aimerais retourner à mon bureau, j'ai quelques courriers en souffrance.[/b]

La Grande Maîtresse... Elle se raidit et commença à sentir le sang quitter son visage. Elle ralentit son pas, de manière à se tenir en retrait derrière la capitaine voire se cacher derrière elle en cas de problème. Ne pas oublier... Barbares, barbe, terribles, enlèvement... Elle répétait les mots clé dans sa tête pour bien raconter son histoire.

C'est une manie que tout le monde a de se pointer quand c'est qu'il faut pas ... à croire qu'ils sont tous aux aguets genre "si la GM sort c'est moi que j'y vais" ! Nan mais c'est dingue hein ? Là tout de suite ménan à l'instant tout ce qu'elle voulait c'était sortir de cette foutue écurie nauséabonde et nauséeuse (vivi) histoire de respirer de l'air frais, avant qu'une envie irrépressible d'arroser l'ensemble des petons présents.

Regard noir à Clotillde parce qu'il faut bien retourner sa colère sur quelqu'un et que Clotillde elle a pas de chausse, et qu'une Marie qui balance une chausse sur la GM ça va pas le faire... mais alors pas du tout surtout devant témoin. Namého ! Un signe vite fait au Shiska qui sort, l'air de dire : vas y nous on arrive, avant de reporter son attention sur la Clotillde. Le jeune Kylian, s'il avait pas encore compris qu'il allait en baver, il allait pas mettre longtemps à s'en rendre compte.

Tiens tiens tiens .... Clotillde... mais il me semblait qu'il y avait bien longtemps que personne n'avait eut l'heur de te voir en Ryes... des mois même... à croire que Mademoiselle à déserté.... alors comme ça on prend le large et on ne donne pas de nouvelle.... bien bien bien .... et une excuse t'en a une ? enfin là elle a intérêt à être bonne l'excuse ... trés trés trés bonne.

Bon.. faut accélérer le mouvement, posant une main possessive sur l'épaule de son nouveau souffre douleur, et le poussa de manière perremptoire mais sans animosité hors des écuries, le tout en répondant à Marie

Oui oui ça va ... c'est juste que l'odeur est insupportable ! Et de grogner un truc sur les écuries mal entretenues

Allez hop tout le monde dehors, Marie, amène Clotillde histoire qu'elle m'explique par quel heureux hasard elle a retrouvé la route de Ryes.... j'emmène le jeune Kylian que voilà à la Salle d'Arme histoire qu'il fasse connaissance avec Shiska.

Et hop hop hop dehors, inspirer une grande goulée d'air, ce qui évidemment ne changea rien à la chose, et une Bess qui pâlit un peu plus, limite verte.

Du grognement du Loup arrivant sans avoir trouvé l'ancien escuyer du GM, au Delicat Cardinal qui testa une nouvelle coiffure pour Kylian, ce dernier resta silencieux. Observant intrigué l'etrangeté des rapports des uns et des autres. Rapport de force entre le Maitre et le cheval, Rapport plus doux entre le GM et le LoupinNN........Entre lui meme et la monture .. Bref, Son regard passait de l'un a l'autre, en remettant ses cheveux en place.. parce qu'il le vaut bien ! .

Et enfin voilà une phrase qui lui plu

Citation :

Bien, laissons donc cette formidable bête et allons voir ce que tu vaux dans la salle d'armes...

La il etait dans son element. Un sourire plus prononcé, toujours sans un mot, il attendit un regard ou un geste du GM, Bah oui quoi il devait etre son pot de colle personnel et avoir son consentement . Ce fut deux nouvelles arrivées et deux nouveaux rapports de force qui commencèrent. Oula la jeune femme allait se prendre un savon par la GM, ca semblait se profiler de plus en plus. Les saluant discretement, il se laissa mettre dehors de l'ecurie par son GM qui semblait lui dire "Salle d'armes" mais d'un regard vers elle, il fronca les sourcils la voyant palir, verdir et .. Pfiou fallait vraiment qu'elle prenne l'air, c'etait limite a tomber dans les pommes cette couleur. Il l'observa inquiet, se rapprochant d'elle alors qu'ils commencaient a marcher vers la salle d'arme

Grand Maitre?.. avez vous besoin de quelque chose avant que nous rejoignons la salle d'arme?


Bah oui desfois qu'elle voudrait un tit encas, s'assoir , taper ou.. ou autre, "Kyky souffre douleur" serait la !

shiska a écrit:

Bien le bonjour Marie, Clotillde... ça faisait longtemps qu'on ne vous avait pas vu par ici en effet. On va tester un peu le nouvel arrivant en salle d'entrainement se peut être une occasion aussi pour vous de vous refaire la main...

L'accueil de Shiska fut cordial et même gentil. De l'entraînement, il avait raison, oui, elle en manquait un peu ces derniers temps avec sa charge de connétable. Mais voilà que la Grande Maîtresse arrivait, et là, ça n'allait pas être la même limonade. Elle semblait remontée comme une pendule à 13 coups, la Bess. Clotilde se ratatina un peu plus au fur et à mesure qu'elle avançait de son pas décidé. Surtout son regard. Si elle avait pu se faire petite souris et courir ailleurs, elle serait déjà transformée. Pourquoi elle était venue ? Non mais elle a de ces idées stupides ces derniers temps ! Le diablotin qui me donne ces idées, couché ! Elle baissa la tête, prête à prendre sa volée de bois vert avec l'attitude d'un cocker en faute, kek'fois que son air coupable la fasse fléchir...

Bess Saincte Merveille a écrit:

Tiens tiens tiens .... Clotillde... mais il me semblait qu'il y avait bien longtemps que personne n'avait eut l'heur de te voir en Ryes... des mois même... à croire que Mademoiselle à déserté.... alors comme ça on prend le large et on ne donne pas de nouvelle.... bien bien bien .... et une excuse t'en a une ? enfin là elle a intérêt à être bonne l'excuse ... trés trés trés bonne.

Ben oui, Grande Maîtresse, vous vous doutez bien que je ne serais pas partie comme ça sans rien dire. C'est pas ma faute, on m'a pas laissé le choix. Et puis après, je n'ai pas su donner de nouvelles parce que je n'avais pas de pigeon sous la main.

Une excuse, vite, mais elle avait déjà oublié ce qu'elle avait raconté à MarieAlice. Elle suivait la Grande Maîtresse timidement, espérant que sa nouvelle Capitaine la sauverait.

Bess Saincte Merveille a écrit:

Allez hop tout le monde dehors, Marie, amène Clotillde histoire qu'elle m'explique par quel heureux hasard elle a retrouvé la route de Ryes.... j'emmène le jeune Kylian que voilà à la Salle d'Arme histoire qu'il fasse connaissance avec Shiska.

Elle cherchait, une histoire d'enlèvement ! C'est ça ! Et de continuer à parler, donc, prise dans son récit et la joie de lui expliquer qu'elle n'était pas responsable.

Y'avait des gitans qui promenaient dans les alentours, et ils m'ont enlevée parce qu'ils ont cru que j'étais la fille d'un duc très riche et qu'ils allaient pouvoir avoir une rançon. Mais quand ils se sont aperçus que je n'étais qu'une écuyère à la Licorne, ils m'ont laissée partir. Par contre, ils m'ont tout volé.

Elle s'arrêta un moment de parler et regarda la Grande Maîtresse qui devenait plus verte qu'une laitue.

Z'allez bien ? Z'êtes toute verte.

Démoralisée au possible, la Bess répondit à l'un et l'autre, ayant beaucoup de mal à garder sa colère contre Clotillde. Colère qui avait bien démarré. Pour l'heure son estomac retourné occultait presque tout le reste.

Non Kylian, nous n'avons besoin que de nos jambes pour nous y rendre... allez hop, je t'ai montré où elle se situait, part en avant j'ai une ... Regard en biais vers Clotillde histoire à entendre, tu dis à Shiska que nous arrivons mais qu'il peut dores et déjà commencer avec toi.

Faisant un signe de tête ponctuant ses paroles, Bess regarda le nouvel Escuyer Perso s'éloigner d'un pas rapide.... puis demi tour droite sur Clotillde

T'occupes pas de ma santé, elle va beaucoup mieux que la tienne quand tu auras terminé de nous raconter des histoires. Et à l'attention de Marie Un truc que j'ai mangé surement, je dois être détraquée aprés des mois à manger du pain, ça m'arrive de plus en plus souvent Plissant des yeux elle revint à Clotillde Des gitans donc .... et pas d'pigeon.... et ensuite ? pour quelle raison nous ne t'avons pas revue ? MMhhhh ?

C'est pas le tout mais quand même il va falloir y arriver à la salle d'arme, faisant donc signe à Marie, elle se dirigea au lieu de rendez-vous, en continuant son intérogatoire

Marie tu as raison, nous demanderons à Sepa pourquoi il n'a point cherché à nous avertir ... qu'il ait quitté l'Ordre est une chose, il me semble qu'il nous connait assez pour savoir qu'on aurait réagit dans tous les cas.Enfin aux derniers propos de Marie, Bess fronça des sourcils et du nez Profiter ? moi ? heu... non, pourquoi tu dis ça ? p't'être j'mange plus.... mais non même pas, Shiska râle assez là dessus ! Peut être pas assez d'exercice ... c'est l'occasion.

Enfin la salle d'arme n'était plus qu'à quelques pas, était-ce la marche ? ou d'avoir parlé, toujours est-il que son estomac continuait de se tourner et se retourner, mais que la sensation semblait s'être amoindrie... peut être que ça allait passer comme les autres fois.


[hrp] On continue ici ^^]