Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne


 
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 Rassaln

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Guillaume_de_Jeneffe




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Nom: Guillaume_de_Jeneffe
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MessageSujet: Rassaln   Rassaln EmptySam 8 Déc 2007 - 1:19

Feu le Capitaine Rassaln « Le Taureau furieux » d'Arduilet, Pair de France, Duc d'Amboise et de Luynes, Comte de Meymac, Vicomte de Montbazon, Baron d'Albussac et de Vouvray, Chevalier de Mercy.


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Portrait de Rassaln, réalisé par les artistes Paul & Mickey.


- Pair de France
- Grand écuyer de France
- Maréchal d'Armes de France
- Général de la Garde royale
- Capitaine de l'Ordre royal de la Licorne
- Héraut de l'Ordre royal de la Licorne
- Fondateur, Chevalier et héraut de l'Ordre royal de Saint-Ouen et de l'Etoile
- Ecuyer de l'Ordre pontifical du Temple
- Comte du Limousin
- Capitaine du Comté du Limousin et de la Marche
- Procureur du Comté du Limousin et de la Marche
- Ambassadeur du duché d'Orléans en Limousin
- Maréchal de la cavalerie du duché d'Orléans
- Chevalier de l'armée du comté du Limousin et de la Marche
- Lieutenant de police de Guéret
- Citoyen d'honneur de Guéret
- Un des trois seuls filleuls du Commandeur Bralic à avoir survécu.



"Tendre" enfance
Né de l'union des derniers descendants de familles rivales, les Arduilet et Bamchénor, il fut abandonné au lendemain de sa naissance, à l'orée de la forêt de Chabrières, côté Bourganeuf. C'est d'ailleurs dans cette ville qu'il vécu jusqu'à l'age adulte. D'abord recueilli par Maultess, modeste bucheron, veuf depuis long temps, il devint à 5 ans un gamin des rues, suite au décès de son bienfaiteur. A cette époque, on le nommait Keïtas, nom donné par son père adoptif, alors que l'on ignorait tout de ses origines. C'est seulement à 8 ans, alors qu'il fut recueilli comme enfant de coeur en l'Eglise du village, qu'il apprit son vrai prénom, gravé sur une plaque d'or toujours portée à son poignet. Bracelet qu'il offrit d'ailleurs au curé, en échange de ses bonnes grasces. C'est à cette époque qu'il apprit ses chiffres et ses lettres.

Jeune adolescent, il prit différents petits emplois, et ses habitudes de taverne lui permirent d'aquérir diverses maitrises: lancé de couteaux, luth -ah, l'habituelle amourette avec une menestrelle...-, levé de coude,...

Jeune homme...
Après une confession nécessaire, il décida de rompre avec sa vie de débauche, et de se rendre utile à la société. Il devint alors un régulier dans la milice du Comté, quand il ne bucheronnait pas. Tout celà en vivant dans la maison de Maultess, en lieu des chambres de taverne. Il amassa un petit pécule assez rapidement, et lorsqu'il apprit la reconstruction du village de Guéret, il voulu y participer.

En chemin, il rencontra un couple d'aristocrate, qui se trouvaient justement être à sa recherche. Enfin, il croisait la route de ses parents... Apprenant l'histoire de sa famille et de ses jeunes années, il refusa l'héritage familial, son abandon encore douloureux. Et ce n'est que quelques années plus tard qu'il choisi de prendre le nom de ses ancêtres, alors qu'il apprit qu'il était le dernier de sa race.

Guéretois
Arrivé à Guéret sur sa monture pie -dernier et seul cadeau de ses parents- du nom de Doll o'Rehan, il se réclamait de naissance noble, sans pour autant préciser plus que nécessaire. Ainsi, il put très rapidement, et malgré son age encore jeune, accéder à différents postes, comme lieutenant de police sous les ordres de Matheus et censeur public. Il rejoignit par hazard le parti du VIENS, et Aralc de Blanchelicorne fit battre son coeur. Excellant en matraque, fouet et à l'arc, il voulu encore plus, et s'engagea dans l'armée limousine, sous les ordres du Capitaine Bralic. C'est là qu'il décida de se faire appeler Rassaln d'Arduilet, et qu'il mit plus que jamais en avant les armes familiales qu'il venait de créer -nul ne sait depuis son décès ce qu'elles étaient avant- : D'argent aux trois mouchetures d'hermine, à la cotice de gueules brochant sur le tout.

L'envie de faire le bien se fit encore plus fort, et il se démultipliait pour faire le plus qu'il pouvait. Il fut intégré dans l'Ordre de la Licorne, et embrassa une carrière politique, commencant par le poste de Procureur sous le Comte Allen, après avoir laissé de côté ses postes de lieutenant de police et de censeur, par souci du travail bien fait. La vie semblait lui sourire, puisque peu de temps après, il épousa sa douce Aralc qui bientôt devrait tomber enceinte.

Devenu Chevalier errant et héraut de la Licorne, Chevalier dans l'armée limousine, il commencait à être réputé pour sa franchise, son efficacité, son impartialité mais aussi son caractère sanguin. Mais tout ne semblait pas devoir aller aussi bien. Une étrange maladie frappa les loups de Chabrières, dont les morsures faillirent lui faire rendre l'âme. Mais il survécu pourtant, pour finalement voir son meilleur ami, Matheus d'Angelus, mourir dans ses bras, toujours par les fautes de ces loups... Son mandat prit fin peu après, et le Comte Allen fit de lui le Baron d'Albussac.

Il se durcit encore, alors que, soutenu par l'ancien Capitaine Bralic, il lui succéda, sous le Comte Senael. Il plongea profondément dans l'alcool, et délaissa son épouse, pour qui la flamme n'était plus. C'est lors d'un voyage avec son Comte qu'elle trouva une lettre de sa main, avouant que son amour n'était plus. Affolée, elle se mit à courir en la ville, prévenir à ses amis qu'elle partait. Et le drame arriva, lorsqu'elle chut et perdit l'enfant qui était à venir. Il n'apprit tout celà qu'à son retour, désolé qu'elle soit tombée sur une lettre qu'il ne désirait point qu'elle arrive entre ses mains...

Désireux de tourner la page, il repartit à Bourganeuf...

Fin de l'époque limousine
La tristement célèbre Fronde éclata alors, et le Capitaine Limousin dirigea ses troupes contre le Berry, et contre ses convictions personnelles également. Attaquer un voisin dans le dos, sans avis de guerre, voilà qui était bien loin de ses désirs, mais il se plia aux volontés du Roy, transmises à son Comte. Il dut en porter la culpabilité et les remords durant long temps encore. La Fronde se termina et, rentré en Limousin, il en devint le Comte. Nouvelle économie imposée par le Roy, reconstruction de la ville de Rochechouart directement attaquée par des brigands, difficultés à se remettre des récentes dépenses militaires, multiples plaintes de citoyens jamais content qui préfère ignorer les grands chantiers établis par ses dirigeants et ne voir que la petite poussière qui leur manque, voilà qui met fin à sa bonne volonté. Il quitta le Limousin sans terminer son mandat -se voyant tout de même accordé un Comté de retraite, qui sera Meymac-, partit pour l'Orléanais en reconstruction, où il vécu quelques temps en hermite.

Trouver sa place
Il n'avait plus d'autre fonction que serviteur de la Licorne. On lui en proposa certes quelques unes, comme conseiller d'un maire, capitaine provisoire ou autres, mais il repoussait les propositions, préférant s'adonner aux forges à plein temps. Il devint par contre Chevalier de la Licorne, et Lieutenant-Commandeur de la branche des hérauts en le même Ordre. Il faut croire que celà ne lui suffit point, et il accepta d'être maréchal de cavalerie de l'armée orléanaise, ainsi qu'ambassadeur en Limousin.

Il créa avec le Baron Rekkared le service de sigilisterie -production de matrice de sceaux- et ses méthodes furent utilisées -et le sont toujours- un peu partout en Europe. Guéret lui attribua le titre de Citoyen d'honneur, et une rue de la petite cité limousine porte encore son nom à ce jour.

Au cours d'une soirée à laquelle il ne devait à la base pas se présenter, il fit la rencontre de celle qui devait devenir l'amour de sa vie. En effet, lors du bal de fin de mandat orléanais, alors qu'il avait prévu de déjà prendre la route vers Polignac en Bourbonnais-Auvergne, il rencontra Morgwen de la Louveterie, de laquelle il tomba immédiatement sous le charme. Il partit pourtant en B-A, mais pour peu. Le temps de s'engager dans l'armée et de faire partie d'une liste électorale, en somme.

Mais, Morgwen si loin, il n'avait à coeur de s'intégrer dans sa nouvelle région. Aussi mit-il le cap vers la Touraine, élisant finalement domicile dans la nouvelle ville de Vendôme. C'est une période de bouleversement pour Rassaln, entre la déclaration de l'amour réciproque entre lui et Morgwen, la découverte d'une demi-soeur cachée, Nebisa, sa nomination au conseil de Touraine, en remplacement, sa nomination comme Général de la Garde Royale, et son intégration au Haut Commandement de l'Ost Royal alors qu'une nouvelle guerre contre la Bretagne menaçait.

Parlant de guerre, le front angevin fut un désastre, le Connétable Thierry délaissant son armée au moment critique. Rassaln quitta donc l'Ost, détestant cette impression d'amateurisme. Il décida également de définitivement tirer un trait sur la politique régionale.

Tout objet lancé en l'air doit forcément finir par redescendre
Capitaine de la Licorne, Maréchal d'Armes de l'Hérauderie, Pair de France, Grand Ecuyer nommé par le Grand Maistre de France Héraklius, voici les diverses promotions qui lui "tombèrent" dessus en peu de temps. Il demanda également la main de Morgwen, veuve depuis le décès de Fnor, peu avant le début de la guerre. Le mariage ne mit que peu de temps à arriver, officié par le Cardinal Nolivos.

Quelques mois plus tard, lassé par l'absentéisme récurrent du Grand Maistre de la Licorne, Thierry, il quitte les fonctions de Capitaine, pour n'être que simple chevalier. Celà ne dura pas, il créa rapidement le poste de Maistre d'Armes qu'il occupa, et il devint également commandeur en interim des légistes -renommé par lui même "Chancelier de la Licorne"-, où il réécrit la charte de l'Ordre et structura la cour de justice Licorneuse. Il quitte par contre l'hérauderie, n'ayant plus la force ni l'envie d'occuper autant de fonctions en même temps. Plus tard, c'est au tour de la fonction de Grand Ecuyer d'être quittée, après avoir bien lancé la fonction et créé l'Ordre de Saint Ouen et de l'Etoile pour le Roy, dont il est Chevalier et héraut.

Père de deux enfants adorés, Ellesya et Rehaël, une maladie récurrente l'empêche pourtant de s'occuper de sa famille autant qu'il le voudrait. Après un petit temps où il se porta mieux, il dut finalement se rendre à l'évidence: cette maladie aurait surement sa peau. Il sombra dans l'alcool et une légère folie. Très prolifique pourtant en traité, cette période reste une des plus sombres de son existence, où il reste cloitré, n'ayant qu'un minimum de contact avec l'exterieur. En gros, défense du Limousin puis de Tours durant une nouvelle guerre angevino-française, participation minimum à la Licorne et... et c'est là tout!

Décidant de donner un nouvel élan à sa vie qui s'achèverait bientôt, il quitte la Licorne et devient écuyer du Temple. Il ne replongera pourtant pas dans la vie active, accordant ses dernières semaines à ses enfants. Il sera finalement retrouvé sans vie par son fils adoptif et page, Aldur, et son neveu et écuyer, Barahir sur une route entre Paris et Mercy. Malgré les marques évidentes de bataille, aucune enquête ne sera diligentée.

Il sera mis en terre à La Jonchère-Saint Maurice, terres de ses ancêtres, qu'il aura eu à gout de récupérer de son vivant.

On lui a reconnu des talents dans de nombreux domaines, comme la justice, l'armée, l'héraldique, les tournois -plus dans l'organisation que dans la participation, n'ayant jouté qu'à 3 reprises sa vie durant- parfois même la diplomatie, sans qu'il ne sache lui même vraiment pourquoi.
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MessageSujet: Re: Rassaln   Rassaln EmptyMar 28 Jan 2014 - 11:46

Citation :
Ci-présentes réunies miennes dispositions testamentaires.

Lorsque les grains de mon sablier se seront égrenés, et qu'Aristote jugera ainsi que mon temps sur cette terre soit révolu, je souhaite:


Que Morgwen de la Louveterie et Anthony de Massigny acceptent de prendre charge d'exécuteurs testamentaires;


Que mon décès soit annoncé à Limoges, Ryes et Paris, car ce sont là lieux où, je pense et l'espère, avoir eu une certaine importance. Ce sont en effet les rares endroits où il pourrait se trouver gens que la nouvelle pourrait interesser;

Que cérémonie Aristotélicienne soit tenue, avec pour officiant, si l'un d'eux est disponible, Kreuz, Elmoron, Olaf ou Aaron, en cet ordre de préférence, car ils sont clercs que j'estime. Si aucun d'eux ne le peux, je fais entière confiance à mon espouse, Morgwen de la Louveterie, pour trouver homme de bien à l'office;

Que la cérémonie soit ouverte à tous, sans restriction, car si j'ai pu en vouloir à quiconque durant ma vie, celà n'a plus d'importance à présent, et mon pardon à tous est donné;

Que mon corps repose en le manoir de La Jonchère-Saint Maurice, en la crypte de mes ancestres;

Que les dernières armes que j'ai pu porter me rejoignent dans ce dernier chemin, et soient enterrer avec mienne dépouille, comme il se doit pour un Chevalier;


Que mes titres et fiefs, que sont le Comté de Meymac, la Baronnie d'Albussac, et la Seigneurie/Chevalerie de Mercy, aillent à mon fils Rehaël. Que Meymac et Albussac viennent en sa possession lorsqu'il sera en age de les gouverner, et que d'ici là, mon espouse et elle seule soit en droit d'en porter les armes. Que Mercy, dont le fief ne puit être possédé que par Chevalier, et légué uniquement à descendance, que l'on considère alors, dès l'instant de ma mort, que mon fils, peu importe l'age qu'il pourra avoir, sera Chevalier de Mercy. Qu'il soit su que ce n'est point là manoeuvre pour déshériter ma fille Ellesya, mais qu'il a été convenu d'avec mon épouse que ses titres iraient à nostre fille, les miens à nostre fils;

Que, si celà n'a pas été fait de mon vivant, Aldur de la Louveterie et Barahir de Malemort reçoivent seigneurie sur les terres d'Albussac. Qu'Aldur reçoive Chastre et Barahir Aubiat;

Que Meymac récupère blasonnement précédent mon acquisition;

Que le taureau furieux d'or sur fond de sable ne soit pas oublié pour autant, et qu'il devienne franc-quartier sur les armes Arduilet;

Que miennes tenues, ainsi que mes literies meymacoises, disparaissent par le feu, qu'aucun autre ne puisse les porter ou y reposer;

Que Cimériès, mon coursier -cob irlandais- soit donné à l'Ordre Royal de la Licorne. Mais qu'il ne soit point monté, car il l'a déjà été par trop. Qu'il serve en tant que reproducteur en le haras licorneux, si tant est qu'icelui soit en fonction;

Qu'Abigor, mon destrier -cob irlandais- aille à mon fils, Rehaël;

Qu'Alloien, mon palefroi -cob irlandais- ainsi que mon chien Kabo aillent à ma fille, Ellesya;

Que Bonhamm -pur-sang arabe- aille à mon fils adoptif Aldur;

Que mon chapelet, qui ne quitte plus mon poignet depuis des mois, et la croix que je porte autour du coup, offerte à mon mariage par Kreuz, aillent à mon épouse Morgwen;

Qu'une vingtaine de mes meilleurs bouteilles de poire soient envoyées à ma soeur, Aloïs de Malemort;

Que tout cadeau qui aurait pu être reçu lors de notre mariage aillent à mon épouse, car celà lui revient de droit;

Que toutes autres miennes appartenances non répertoriées ici soient équitablement réparties entre mes enfants, comme armes que j'aurais pu forger, équipement d'écriture et de peinture,...;


Que l'entiereté des archives Arduilet, d'Ardilian à Deinal, retrouvent leur place en le manoir de La Jonchère-Saint Maurice. Parties se trouvant à Meymac, Vouvray et en possession de ma soeur, Aloïs de Malemort;

Que miens écrits trouvent place en mienne bibliothèque, en Meymac, mais que copies soient faites pour être apportées, elles aussi, en La Jonchère-Saint Maurice, se trouvant ainsi à disposition de mes enfants;

Qu'aucun objet, arme, tableau, ne soit enlevé de la galerie de Meymac, sauf si ces terres venaient à passer en les mains d'une tierce famille, auquel cas je souhaite que ces possessions rejoignent La Jonchère-Saint Maurice;

Que mon fils, Rehaël, à sa sixième année, parte en apprentissage chez son parrain, Anthony "le Wulfen" de Massigny, en qualité de page, afin d'y recevoir formation;



Que mes proches sachent, comme je le sais par avance, que mes dernières pensées sont pour eux. Ma femme, mes trois enfants, les maisons de Malemort, Brassac et Massigny, Rhuyzar, Kratos, Bralic, Gil... Qu'Aristote les garde tous en sa Très Sainte protection.


Rédigé et signé de ma main, le 27 de juin 1455, en la forteresse de Meymac.

Rassaln d'Arduilet, Comte de Meymac, Baron d'Albussac, Chevalier de Mercy et Pair de France.
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