Qu'est ce qu'on fait ?

heuuuuuu

Je dois encore rencontrer le comte du Maine, mais si effectivement ils ne veulent notre présence que pour taper de l'Angevin, on se disposera en Touraine.

Pour le moment, je conseillerais de se diriger sur Le Mans (on y arrivera mardi matin) puis de s'arrêter à Vendôme, sauf contre-indication due à de meilleures dispositions dudit comte du Maine.

non mais quoi qu'il en soit, si on se poste en Maine on ne défend pas ... on n'est pas des maréchaux gratuits à leur disposition pour qu'ils puissent attaquer l'Anjou. ils sont en plein délire là.

pourquoi ne pas se poser en orleans ou en alençon?

pas dit que la Touraine nous accueille puisqu'elle ne fait pas partie du DR. Mais je me demandais si on avait intérêt à se regrouper dans un seul endroit ... on est repérables quand on fait ça. C'est le but?

Je vais m'occuper du comte du Maine...

Par contre je suis clairement contre les listes, et encore plus contre lister la Zoko (qui n'existe d'ailleurs plus hein). Ils sont en Berry suite au poutrage d'Eikorc, qui déteste le Poilu.

Citation :

(22:51) Mu : * se présente au palais comtal en déposant un message comme quoi le chevalier De Vergy souhaiterait une audience à l'heure et dans le lieu qui conviendra au Comte du Maine. Elle précise également que cette audience sera privée et avec lui seul *
(22:51) Mu a modifié son statut en Occupé
(22:51) Michel : Entrez de Vergy
(22:53) Mu : * entre dans le bureau du comte, vêtue de noir comme à son habitude, de du doublet aux bottes de cavalier. Elle hoche lentement sa tête balafrée, mais gauche et valide sur le coeur *

Le bonsoir, Votre grandeur...
(22:54) Michel : *lève le nez de sa pile de dossiers, salue d'un sourire de Vergy*
Bonsoir dòna
(22:55) Mu : * sourit en coin, ce qui a pour effet de déformer la cicatrice et répond * Je ne suis pas dame, ma noblesse je la dois à mon collier de chevalier, Votre Grandeur... puis-je m'assoir et m'entretenir avec vous ?
(22:58) Michel : Asseyez vous oui
(22:58) Mu : * s'assoie en face du comte, s'adosse au dossier *

On murmure que vous voulez attaquer l'Anjou, Votre Grandeur...
(22:59) Michel : D'autres le crient
*sourit lentement et pose ses mains sur son bureau*
(22:59) Michel : C'est une éventualité
Précision d'importance
C'est le rebelle à la tête de l'Anjou et ses sbires que j'attaque
(22:59) Michel : Pas la province
(23:00) Mu : Puis-je donc vous demander, Votre Grandeur, pour quel motif ? Ma curiosité naturelle... * sourit en coin de nouveau *
(23:01) Michel : Au nom de quel organe êtes vous présente dans mon bureau?
(23:01) Mu : Disons autant qu'ancienne ambassadrice du Maine pour l'Anjou, habitante de Léard à quelques lieues du Mans, que comme licorne, Votre Grandeur...
(23:02) Michel : Bien
Vous avez suivi l'actualité angevine?
(23:03) Mu : De loin votre honneur, récemment je chassais... mais j'ai ouie dire que Finam y était duc...
(23:04) Michel : Vous avez donc votre réponse *opine du chef*
(23:06) Mu : Vous savez que vous n'avez aucune autorité sur la question, Votre Grandeur ? C'est un vassal de la Reyne, qui acceptera ou non son hommage et qui le déclarera ou non félon...
Intervenir dans la situation actuelle est un casus belli, pur et simple, en tout cas sans appui de Sa Majesté ou une déclaration publique de félonie
(23:08) Michel : Visiblement vous n'avez pas suivi les dernières déclarations d'la Reyne vous
Et surtout
(23:08) Mu : Et bien c'est que je chassais en Berry... * sourit en coin *
(23:08) Michel : Vous m'croyez assez bête pour intervenir sans autorisation
(23:09) Mu : Non point, mais je vous mets en garde... prenez cela comme un conseil, je ne dirai pas d'une amie, je ne me permettrai pas...
* sourit en coin *
(23:09) Michel : *sourit lentement*
J'vous en r'mercie
(23:10) Michel : Mais effectivement, j'fais les choses dans l'ordre, sinon c'est l'bordel
Si j'puis m'permettre l'expres​sion(23:10) Mu : Sachez également que dans l'hypothèse où la Reyne le déclarait félon, il faudra si vous attaquez l'Anjou, être capable d'assurer vos arrières.
(23:10) Michel : C'est également ce à quoi je travail actuellement
Je dois m'entretenir sous peu avec le grand escuyer
(23:11) Mu : Guillaume de Jeneffe ?
(23:11) Michel : *opine du chef*
(23:11) Mu : * sourit en coin * un vieil ami... si vous voulez un entretien avec lui j'imagine que vous allez solliciter les ordres royaux ?
(23:12) Michel : Effectivement
Pour assurer les arrières en question
(23:13) Mu : * part d'un petit rire * Je pense connaître déjà la réponse, Votre Grandeur...
(23:13) Michel : Malheureusement moi aussi
Le Maine a eu un comportement assez déplorable vis à vis de ces institutions
(23:13) Michel : Et c'est pas en un mandat que je rattraperai c'la
Mais bon
J'me dois tout d'même de d'mander
(23:14) Mu : Ce n'est pas qu'une question de... comportement déplorable même s'ils pèseront dans la balance, Votre Grandeur...
(23:15) Michel : De c'que j'ai vu, je n'connais donc pas les raisons, mais rien qu'le comportement justifierai un refus
(23:15) Michel : J'lui enverrai des fleurs ...
(23:15) Mu : * part d'un nouveau rire diffus * Faites...
(23:15) Michel : Vous vivez en Maine d'ailleurs?
(23:16) Mu : Depuis un certain temps, votre Grandeur...
(23:16) Michel : Jamais croisée
(23:17) Mu : * sourit en coin * J'étais conseiller exceptionnel du Maine pendant la prise du Mans l'année dernière, j'ai été ambassadeur depuis pour l'Anjou...
(23:17) Michel : *opine du chef*
J'dois être trop jeune politiquement parlant pour m'en souvenir
(23:18) Mu : Vous trouverez surement des traces de mon passage au conseil, Votre Grandeur...
(23:18) Michel : J'r'garderai ça à l'occasion
(23:31) Mu : Je sais que vous avez beaucoup d'ambition, Votre Grandeur... ce qui peut être louable... mais sachez qu'on pardonne peu en politique. Faites attention à faire les choses " dans l'ordre " comme vous dites ...
* sourit doucement *
(23:31) Michel : Comment savez-vous que j'ai beaucoup d'ambition?
(23:32) Mu : * rit doucement * Du peu que j'ai vu, Votre Grandeur, vous en donnez l'impression...
(23:33) Michel : Quel homme serai-je si je n'avais pas d'ambition? L'hypocrisie politique veut que personne ne soit doté d'ambition, sinon on le taxe d'arrivisme, de carriérisme, ...
Mais a dire vrai
Je n'en ai franchement que peu d'choses à faire
(23:33) Michel : Je fais c'que j'pense être bon d'faire
Et oui, j'ai d'l'ambition, et pas qu'un peu effectivement
*sourit*
(23:35) Mu : J'ai l'habitude de cotoyer les hommes, Votre Grandeur, à les lire, les soupeser... c'est mon travail au sein de l'ordre... je n'en ai pas vraiment douté * sourit en coin * Mais je ne voudrai pas vous retarder dans vos lectures et travaux, je vous demande donc la possibilité de me retirer.
(23:37) Michel : 'cun soucis
Content d'avoir pu échanger avec vous
(23:37) Michel : L'bonne soirée à vous
(23:38) Mu : De même, Votre Grandeur... prenez soin du Maine... * fait une révèrence, tête inclinée et main sur la poitrine et sort *

En attendant de rencontrer ce fameux comte, je vous propose de nous établir à Laval, en première ligne en somme.

Laval a toujours été la clef...

Laval oui bien que s'il faille aller au Mans en vitesse ça risque d'être loin. Il semble qu'on ait de quoi avoir 3 voir peut être 4 lances là, si je compte celles qui accompagnent notre Manitou, ainsi que ta lance et la mienne, Cerrid.

On peut trés bien positionner une partie à Laval et l'autre à Vendôme.

Pour l'annonce dont parle le Comte Mainois, en voici copie.


Reconnaissance de la révolte contre le château d'Angers, mais non d'un régent

Citation :

Nous, Béatrice de Castelmaure, Reine de France,

A tous qui la présente annonce liront ou entendront,
A Thibauld de Chandos-Penthièvre, Duc légitime d'Anjou,
A Finam de Montmorency, à la tête des révoltés d'Anjou,
A MichelMichel, Comte du Maine,

Salut.

C'est avec circonspection que nous avons considéré la prise du château d'Angers, & sollicitée sur cette question par Sa Grandeur MichelMichel, Comte du Maine, nous concluons & résolvons :

Qu'aucune demande régulière de la part des révoltés ne nous est parvenue ;

Que nous nous saisissons donc personnellement de cette question ; qu'avec l'appui de la Chambre des Pairs, nous confortant dans notre idée, nous considérons donc que la révolte en elle-même, et en vertu des lois angevines, est légale ;

Qu'il n'est pas dans notre intention de recevoir comme Régent d'Anjou un homme qui par le passé, et sans s'en repentir depuis, a porté atteinte à la Couronne de France ;

Que nous appelons donc tout à la fois les révoltés, la population angevine et nos fidèles serviteurs à tout mettre en œuvre pour établir un conseil provisoire légitime, à laquelle siégera une Régente ou un Régent que la Couronne sera en mesure de reconnaître ; tant que cela n'aura pas été fait, Thibauld de Chandos-Penthièvre continuera d’être, pour nous, Duc d'Anjou.

Et pour que cela soit dit & acquis, sans qu'il soit possible de le remettre en cause, nous avons fait apposer le sceau royal à la présente proclamation.

B.d.C.

C'est pas trop se mouiller quand même... mais je comprends... ceci étant si Finam pas félon on ne peut rien faire.

si la Touraine est ok moi ça me va ... je préfère aussi qu’on ne cautionne pas les délires du Maine

Nilas fait le grand tour pour aller en Anjou, copie du courrier reçu par le Capitaine Limousin qui me l'a transmise.

Citation :

Expéditeur : Nilas d'Artignac, Duc du Tr�r, Chevalier de Pont
Date d'envoi : 23/05/2011 - 23:15:52
Titre : Re: Présence illégale
A l'attention de Messire Wolf Loner de Gaillimh, seigneur de Pierrefitte, Capitaine du Limousin et de la Marche, ainsi qu'au Conseil Ducal dudit Duché et sa Duchesse régnante,


Messire


C'est avec beaucoup de regret que je dois vous informer que je n'avais nullement connaissance de la mesure d'interdiction de fouler votre sol, et que je n'en prend connaissance qu'à l'instant même où votre missive me parvient.

Dans ma hâte à retourner vers les contrées du Ponant, je n'ai malheureusement pas pris le temps de venir me promener dans vos halles ou tavernes, et n'ai donc pu me voir signifier la teneur de la mesure avant d'arriver sur vos terres.

Rassurez vous Messire, ce ne sont certainement pas les deux bretons que nous sommes qui vont générer la moindre menace à votre égard. Je crois par ailleurs savoir que les Lunes pourpres ont déjà tout mis à sac et que votre Duché peine à s'en relever économiquement... Je ne vois donc pas quel serait notre intérêt à venir vous causer préjudice.

En mission à finalité diplomatique dans le Berry, nous devons rentrer d'urgence en terres ponantaises, et il nous faudra bien passer par un chemin ou l'autre. Et le fait est qu'étant en sol françoy, nous n'avons pas d'autre choix que de froisser quelques susceptibilités. Personne n'ayant véritablement envie de rencontrer ma Ducale personne, ainsi que celle de mes deux suivants...

Les Tourangeaux ont deux armées faucheuses à Loches et Chinon et nous empêchent donc tout passage vers l'ouest, alors que le chemin vers le Poitou et l'Anjou est libre en passant par chez vous...

Nous avions donc caressé l'espoir que vous nous laisseriez passer sans encombre, ni même sans sourciller, étant donné que nous sommes d'honnêtes voyageurs, n'ayant commis le moindre fait dommageable en France (en tout cas pas depuis la dernière grande guerre, faits pour lesquels nous avons déjà payé l'addition).

Je n'ai pas connaissance d'avoir commis le moindre larcin chez vous, et n'ai davantage pas le moindre souvenir d'avoir jamais proféré quelconque menace à l'égard de votre Duché.

Auriez vous la volonté de légitimer le poutrage intempestif d'un second Duc Breton n'ayant rien à se reprocher chez vous dans la même semaine?

Très honnêtement, je gage que les conséquences seraient catastrophiques sur le plan diplomatique entre nos Duchés respectifs, et qu'elles le seraient plus encore entre le Grand Duché de Bretagne et la Pairie françoyse.

En bref et avec tout le respect que je vous doit, je pense que tout cela est fort contre productif.

En gage de ma bonne foi, je vais donc déférer à votre injonction en sollicitant le laisser passer que vous me demandez de mander à votre prévot.

Considerez donc que la présente vaut demande expresse de laisser passer.

Je dois en revanche vous avertir que j'ai perdu un de mes suivants en route hier et que je devrais attendre son arrivée à Guérêt après demain, le pauvre n'ayant pas d'autre moyen de transport que ses deux jambes, contrairement à moi même qui suis équipé d'une monture.

Ensuite je me remettrais en route avec mes deux accompagnants, passant par la route de bourganeuf.

Afin de ne pas froisser davantage votre susceptibilité, je m'engage bien évidemment à ne faire qu'enjamber votre Capitale (où je croiserais cependant votre armée, donc merci de prendre les dispositions qui s'imposent pour garantir notre sécurité) afin de me rendre en Poitou, puis en Anjou où je suis attendu pour une autre mission à caractère diplomatique.

Cela conviendra t il à sa Seigneurie, ainsi qu'à votre Conseil?


Respectueusement,


Nilas d'Artignac, Duc du Trégor,
Chevalier de Pontekroaz.


PS : En vue de pallier tout risque quant à notre sécurité, je vais me permettre de conserver une copie de votre courrier ainsi que du mien. J'en ferais tout autant de ma demande à votre prévot. Copies que je ferais consigner à titre conservatoire en Bretagne, en vue d'une éventuelle nécessité de les produire devant la Cour d'Appel des Royaumes ainsi que les Juridictions spéciales du Mont Saint Michel. N'aimant pas être poutré sans raison valable.

La Bretagne et le Ponant pansent déjà les plaies d'un de leur Ducs, et seront assurément très agacées d'en pleurer un second. Je pense donc que nous avons tous intérêt à ce que cette histoire se passe bien si tout à chacun espère voir la paix préservée entre nos contrées...

J'insiste pour que votre Conseil prenne ma demande, non point comme un avertissement, mais comme une simple explication quant à la situation qui est la nôtre.

Nous n'étions pas avertis de la situation qui est la votre sur le plan sécuritaire, et ne souhaitons que rentrer chez nous sans causer préjudice à qui que ce soit...

J'espère donc que le message est clair.

Dégagez du Maine vite... je reste au Mans pour avoir des infos.

Touraine c'est bien comme je t'ai déjà dis Bess. Dans deux jours maxi vous êtes plus là.

Bien ! il semble que la plupart soient arrivés à Vendôme.

Tant que j'y suis, une armée bretonne devrait se pointer trés vite à Angers. Elle y est peut être déjà.

Citation :

A Sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner,
A la Curia Regis,
Aux dignitaires angevins,

Demain, une armée bretonne se postera devant les murs d'Angers.

Que la France ne s’alarme pas, car l’Anjou n’est sous le coup d’aucune menace de la part de la Bretagne.
Par contre, notre voisin se trouve sous le coup de menaces aussi bien internes qu'externes qui nous poussent à tendre la main pour lui témoigner notre soutien.

Dans l’esprit des articles 5 et 8 du traité du Mont Saint Michel, et en accord avec les statuts de l’Alliance du Ponant, la Bretagne se met en marche pour offrir à l’Anjou l’assistance d’une force pacificatrice, uniquement défensive, qui dissuadera fauteurs de troubles et mal intentionnés de semer davantage la discorde en les terres alliées.

Cette main est offerte instinctivement. S’il eut bien entendu été préférable que ce communiqué précède l’entrée de l’armée bretonne en Anjou, nous demandons à Sa Majesté de bien vouloir souffrir cette entorse à la bienséance, pour le salut des angevins qui auraient pu pâtir des méfaits commis dans les délais occasionnés par une telle démarche. Afin qu’elle ne doute pas de la parfaite transparence des intentions bretonnes, la France sera avertie, si elle le demande, de la constitution exacte de cette armée.

Que la Couronne de France considère cette action comme la manifestation du souhait de maintenir la paix dans les terres qui constituent, au sein du Ponant, un trait d’union entre Elle et la Bretagne.

Que Sa Majesté la Reyne soit assurée, également, que cette déclaration précède de peu la réponse à sa missive du 19 mai de cette année, le délai dans celle-ci n’étant imputable qu’à la nécessaire prise en charge du Duc de Saint Malo, blessé, qui, bien qu’irrégulièrement présent sur les terres de France, demeure un sujet Breton, et vassal de Sa Majesté Elfyn de Montfort.

E Roazhon, d'ar Mec'hrer 25 a viz Mae 1459

Au nom de Sa Majesté Elfyn de Montfort,

Chimera de Dénéré-Malines,
Chambellan de Bretagne,

Donc, pour résumer, on reconstitue deux lances à Vendôme une fois Antlia et compagnie arrivés.

Chevalier Cerridween, quelles sont les nouvelles du Maine? Au conseil du Domaine royal, le comte du Maine semble se calmer, pour l'instant. Qu'en est-il dans son comté?

Il nous reste toujours une solution: demander de mettre le Maine sous tutelle, vu que ça a toujours été le maillon faible et le vilain petit canard du DR, ou bien le prendre nous-même...

Bien des questions se posent, nous n'avons rien fait en limousin à part êtres balladés pendant que Sindanarie à fait relaxer Nilas par deux fois, et négocié un départ en catimini.

Nos hommes ont accourus pour rien, et j'avoue que j'en suis à me dire que la prochaine fois qu'on nous demande de l'aide on réponde qu'on est trop occupé.

Une petite baffouille à l'attention de nos hommes serait utile, quitte à dire qeu si ça s'arrête aussi vite c'est que nous l'avons décidé ainsi, afin de ne pas servir encore une fois de maréchaux ou de soldats "gratuits". Un truc du genre quoi.

Citation :

Le Haut Conseil de l’Ordre Royal de la Licorne,
À tous ceux, membres de plein droit de l’Ordre, qui ces présentes verront et orront,
Salut et connaissance de vérité.

Tenons à remercier celles et ceux qui ont répondu à la précédente mobilisation.

Certains se posent des questions sur l'abrupte clôture de la dite mission, et tenons donc à expliquer quelques points.

Notre présence en Limousin, ainsi que celle des autres ordres, était requise suite à la double attaque de Nilas. Le but initial étant de bouter ce malandrin hors du Territoire, non pas comme il le souhaitait, mais comme on le lui ordonnait

Des négociations ont été entreprises par le Limousin, négociations qui se sont soldées par le départ de Nilas qui est maintenant en Périgord et n'est donc plus une menace. Notre présence n'étant plus nécessaire, nous laissons donc la main aux autorités Limousines.

ça me va.

oui ça me va aussi ... il va sans dire que les magouilles de sinda qui ds'est foutue de nous du début à la fin de cette mission me laissent un gout amer mais bon .... je vais laisser un peu de temps passer avant de m'exprimer ...ça vaut mieux

Pour l'annonce ça me va.