Le dortoir des Hommes d'armes

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L'homme d'arme Joey , qui arrivé de Bourgogne aprés plusieur semaine d'absence a Ryes vint posée sa besace sur un lit libre. Le dortoire etait completement vide . Joey esperer ne pas avoir trops failli par son absence ces dernieres , et un pigeon du Grand Maistre l'avais fait reagire. Ne voyant personne pointé le bout de sa lame au dortoire Joey decida de descendre a l'atelier voir si les hommes y etais présent. Alors d'un bon pas il quitta le dortoir.

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Revenant du chantier du haras, Knarel alla prendre une douche et enfilla sa tenu de combat. Puis il rassembla quelques vetements, une bourse de quelques écus, puis sortit du dortoir en saluant tout le monde au passage, en direction de Compiegne. Sa mission débuter...

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Gilles de Rais venait de quitter l'entrée de la forteresse. Il était un peu perdu. Il vit sur la porte "dortoire des Hommes d'Armes". Il se dit qu'il pouvait entrée et mettre ses affaires sur un lit et trouver quelqu'un pour répondre à ses questions.

Personnes dans le dortoire. Il trouva un lit innocupé et posa ses affaires dessus. Il s'assit et se sentit seul. Perdu au milieu de ce vaste château. Il ne connaissait personne et espérait que quelqu'un viendrait rapidement ici, pour savoir ce qu'il doit faire...

Sujet: Re: Le dortoir des Hommes d'armes Mer 24 Oct 2007 - 22:24

L'après midi était déjà bien entamée quand Zalina ressortit du bureau du Capitaine. Elle avait aperçut en montant quelques nouveaux se dirigeant vers le dortoir. Le temps de poser sa question et elle repassa devant la porte. Elle tambourina de toutes ses forces contre le bois de celle ci et beugla comme elle l'avait fait le matin.

Tous les Hommes d'Armes et Ecuyers sont attendus sur le chantier !

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Gilles se releva, et n'eupas le temps de poser ses questions que le chevalier était partie. Il quitta donc le dortoire et alla sur le chantier, sans trop savoir ce qu'il y ferait.

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La cérémonie d'inauguration du haras terminée, Zarhroc avait pu rentrer, difficilement, mais sûrement... Une fois à la forteresse, il avait pu se procurer des béquilles, ce qui lui permettaient d'être nettement plus indépendant. Epuisé par le fait de marcher avec ces deux bouts de bois sous les bras, il ne voulait qu'une chose, se reposer au dortoir. Il ira voir Flaiche plus tard pour sa cheville.

Après avoir longtemps errer dansles couloirs, non parce qu'il était perdu, mais bien parce qu'il marchait très lentement, il entra enfin dans son dortoir et se coucha directement sur sa paillasse. C'est alors qu'il senti quelque chose dans son dos... un papier ? Ah... une lettre...
ll l'ouvrit en se demandant qui pouvait lui écrire ici. Il comprit rapidement le sujet de sa lettre et la lut plein d'espoir... avant le perdre rapidement. Il ne put s'empêcher de dire tout haut, tant son étonnement était grand :

Destituer ???

Il continua et alors, son coeur fit un bond gigantesque, s'il avait put se lever et sauter de joie, il le ferait... quelle fierté ! Il s'allongea alors, tenant la lettre sur son torse; les yeux grand ouvert, dirigé vers le plafond, un sourire béat...

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Herman après être passé en taverne puis par le haras et la salle d'armes se dirigea vers le dortoire des hommes d'armes, il commençait à être fatigué, des baillements consécutifs le poussèrent jusqu'au dortoire. Il s'installa au fond du dortoire dans un des lits disponible, et pensa à tous les évènements de cette longue journée ... Peut à peut, il s'endormit et commença sa longue nuit de sommeil.

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Dide arriva enfint dans le dortoire des homme d'armes , une grande salle , avec de manifique peinture sur les mur .

Il prie un lit disponible au milieu des s'autre pour déposer ses affaires , un peu sale mais bon c'est un lit dit t'il ... Il s'assit quelque minute et repartie avec ate visiter la forteresse .... et boire une petite chope en taverne pour rencontrée des nouveau visage ...

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Après quelques minutes de recherche, il arriva enfin dans la grande pièce qui servait de dortoir pour les hommes d'armes. C'était assez spartiate, rien que le strict minimum, il n'en demandait pas plus de toute facon, même une motte de paille aurait suffit à le combler.
Le vin qu'il avait bu en mangeant et en discutant l'avait completement achevé, ses paupières lui semblaient lourdes. Il jeta son bardas au pied d'un des lits et se laissa tomber comme une masse dans celui ci.
Il ferma les yeux.........10 secondes plus tard on pouvait entendre les ronflements du bien heureux.
Demain, il visiterait un peu le reste de la forteresse.

Liagan montait péniblement les marches, il ne possédait qu'un simple haubert, avec en dessous un gambison. Liagan était miteux, un boucher, qui cultive du blé. Son haubert que l'on lui vait donné lorsqu'il était à l'armée du Maine en temps que Lieutenant était tout abimé. Il avait subit deux Guerres, et avait épargné Liagan d'une mort, avec l'aide d'une bretonne. Beaucoup de ses anneaux étaient complètement tordus, ils ne protégeaient presque plus Liagan, c'était plus pour avoir un sentiment de protection que de réel protection. Peut estre qu'un jour, il pourrait avoir une armure de plate complète? Mais celà n'était qu'un rève de paysans. D'où remonte ses souvenirs de sa famille, il avait appris de part ses parents que ses arrières arrières grands parents servirent Thibault IV de Champagne, en temps que serfs, bien sur. Liagan n'était point le fruit d'une descendance de Nobles ou de Croisés, juste de paysans. Il arriva enfin dans le couloir où se trouvait le dortoir des hommes d'Armes. Ses douleurs duent au duel contre Guillaume le lancait, il savait où exactement Guillaume avait porté ses attaques. Il poussa la lourde porte en bois. Il vit son lit, un maigre tas de paille, recouvert d'un linge. Il ne se mit mesme pas à l'aise. Les meurtières laissaient passé les rayons du soleil, et Liagan regarda la pièce. Il se redressa, tant bien que mal avec le poid de son haubert qu'il était plus maintenant un haubert de fortune. Il pensa dans 4 jours, ce seraient son anniversaire. Il n'avait rien dit, ni mesme précisé celà à l'ordre, il voulait que celà reste un secret. Il le savait, ses parents le lui avait annoncé, et il recevait toujours une pomme en plus lors du repas, en guise de cadeau, tandis que les riches eux, recevaient bien plus, des terres, des fiefs... Il ne savait point quoi s'offrir cette année. Un beau morceau de viande, il tatonna sa bourse et renonça à cette idée. Il n'aurait rien à part un bon morceau de pain rassit.Néanmoins, il avait dorénavent un toit, ici à Ryes, en compensation de ses services en temps qu'Homme d'Armes, et il pouvait considéré les membres de l'Ordre comme sa deuxième famille, alors qu'avant il était seul.
Liagan, torse relevé, jambes allongées, repensa au duel contre Guillaume. Il avait deviné ses erreurs, trop faible à l'épée face à un vétéran comme Guillaume et point assez rapdie, mais celà, il le savait, avec sa corpulence il avait plus de force que de défense. Mais pour ce qui ai de son maniement de l'épée ca il pouvait s'amélioré. Comment? Par un cours comme il a eu aujourd'hui, celà est sur, mais il ne pouvait ennuyer les chevaliers de l'ordre. Il ne restait que les mannequins. Il voulut se levé, mais la fatigue accumulée au poid de son "armure de fortune" il abandonna et se coucha. Il regarda le plafond, fait de pierres et de poutres, et sentit ses yeux se refermés, malgré la clarté de la pièce.

Quelques minutes plus tard, l'on pouvait entendre les ronflements que Liagan produisait.

[HRP Voilà, j'avais envie de fiare un p'ti rp pour vous raconter une petite partie de mon histoire et pour vous procurer da la lecture. Smile

Et de plus, tout le monde peut participer si vous en avez l'envie par une quelquonque apparition.]

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Prés avoir visiter les jardins de la forteresse, raianui décida de se diriger vers le dortoir.

il le trouva mais après avoir chercher longuement, il rentra dans le dortoir
certains dormais deja, il chercha un lit vide.

il en trouva un mais de toute évidence cela faisait longtemps qui n'avait pas servit.

Raianui sortit un plaide de sa besace et le disposa sur le lit, et s'allongea.

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Gamling franchi le seuil de la porte s'ouvrant sur les dortoirs. Les épaules basses du au poids d'une fatigue accumulé durant plusieurs jours intensifs de route, ce pour arriver le plus tôt possible en la forteresse de Ryes, il s'approcha d'un lit visiblement inoccupé depuis longtemps. En espérant que cela ne poserait aucun problème, il déposa son sac contenant quelques affaires personnelles qu'il avait cru bon de s'encombrer, ainsi de quelques copies de documents emprunter dans la salle d'arme. En effet avant de gagner les dortoirs indiqués par le dénommé Marckx, il avait eu tout le loisir de s'attarder dans la salle d'arme. A la lumière d'une chandelle, ce qu'il y découvrit le ravit. Parmi les nombreux documents présent beaucoup portait sur les techniques de bases et les techniques avancées de combat, mais aussi sur les différentes armes et armures. Ne pouvant s'en retenir il emprunta quelques documents. D'une part pour étudier, s'améliorer, et prouver sa valeur à l'ordre de la licorne, d'autre part pour s'adonner à un plaisir ... Lire.

Gamling s'étala de tout son long sur le lit sans prendre le temps de déballer ses affaires ou d'ôter son armure. Il s'abandonna à ses pensée, espérant qu'une connaissance récente parviendrait, lui aussi, à rentrer dans cet ordre. Il pensa beaucoup tandis que ses paupières devenait lourde... Un sommeil vint l'envahir, un sommeil nécessaire pour le jour suivant, du pain sur la planche Gamling pensait séjourner quelques jours en la forteresse avant de regagner son chez lui. Quelques jours indispensable, selon lui, pour comprendre le fonctionnement de cet ordre qui ne ressemblait en rien aux autres organisation militaire qu'il avait connu jusqu'à présent, que ce soit un ost, ou comme le cas présent, un ordre.

Liagan se dirigeait vers les dortirs. En effet, celui-ci était démis de ses fonctiosn de gardes par le retour de sa soeur Sylvie. Il allait enfin pouvoir se reposer correctement, e nfermant ses deux yeux....
Il montait les escaliers en colimaçon, faisant de petits bruits de métal raisonnant dans le couloir en pierre.
Il poussa la lourde porte en bois avec de gros clou planté sur celle-ci.

Il entendit des ronflements et avança tout doucement, sans réveiller les autres frères hommes d'armes. Il hota dans l'obscurité de la nuit son haubert, son gambison, ainsi que ses bottes, et pour finir sa chemise.

Il ferma les yeux et repensa à son expérience au poste de Garde, et ne put s'empécher de repenser à sa grande erreur où Totox lui avait remonter les haillons. Il ne fallait plus y penser, mais des erreurs comme celà, pourrait le voir estre dans l'obligation de quitter Ryes, pour mettre en danger la vie d'autrui, donc ses frères et soeurs.

Il tenta de ne plus y penser, et repensa ensuite à ses dues, celui d'Ethan ,et celui du Grand Maistre, deux bonnes corrections, mais Liagan avait compris son erreur, c'était tout simplement qu'il ne maniait point ausi bien l'épéequ'il ne le croyait, et celà lui avait joué des tours. Dès demainsi il avait du temps libre, il irait en Salle d'Arme s'entrainer contre les mannequins

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À peine rappliqué dans les blockhaus de Ryes qu’on lui réclamait déjà de comparaître en la salle des hommes d'armes diligemment. Il se pressa donc de s’y rendre. Néanmoins, arrivé à destination, nulle personne ne l’attendait.

Le soleil commençait à tomber, il faisait de plus en plus ombreux. On pouvait ouïr le fracas du vents dehors tant il était intense. François Joseph prit la décision d'aller dormir sagement. Il poussa finement le pas de la chambrée des Hommes d’armes, le dedans était bien obscure on n'y voyait plus rien. Le mec y pénétra donc son lumignon qui ensoleilla une bonne part de l’alcôve. Il s’enracina sur l'un des bancs et après avoir embrasé son chandelier il sortit l'un de ses volumes qui zézayaient de fables de razzia.

Invité

François Joseph rappliquait du Poste de Garde. La froidure faisait rage et il était entièrement refroidi. Harassé par la froideur et sans hésitation aussi par quelques plaisants bocks pour célébrer sa jeune assimilation dans l’Ordre, il décida d'aller se relaxer au dortoir. Il pénétra, se dirigea vers son lit, et ôta sa pelisse mouillée par la pluie. Il s'installa sur le cul.

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François Joseph atteint la chambrée, qui était libre pour l'instant. Les étrangers paraissaient être allés à leurs charges. Il perçu un banc exempt et s'étalla un brin.

Invité

François Joseph surgit en définitive dans la chambrée des hommes d'armes, sa bourse aride de tissu, abîmé et ressassé, poinçonné même par localités, constamment au flanc de la carrure. Précipitant délicatement, en causant aussi peu de froissement que ses chaussures le consentait, il se transporta proche d'une couche inhabitée, à proximité duquel dormait une savante armoire de yeuse, toute entamée. Les radiations de flambeau épuraient par le vasistas, prévalant de peu sur la forteresse, mais allumant expressément dès lors ses enjambées. Un tintement cacophonique découlait d'une des couches, et à la première touche, tous semblaient sommeiller pendant que le pubère homme d'armes s'aventurait jusqu'à sa couche, ensuite, se couchant dessus, débuta à déloger le peu d'atours qu'il avait amenées de sa bourse, les renversants aussi piètrement qu'acceptable dans le fond de l'armoire.

Invité

François Joseph éclorait depuis moins d'un mois au grade homme d'armes de l'ordre, il se précipita dans la chambrée garantie aux hommes d'armes. Il examina tout autour de lui, la terrible cellule était platement parée. À la fin de l'alignée de couche était cramponné un sceau aux colorations de l'ordre. Dans un renfoncement de la cellule, à proximité du terrible foyer, se tenait une jeune chère en breuil.

C'était le seul meuble de cet hall. François Joseph, dans son jeunet, avait été expérimenté à davantage, or il ne soupirait pas de ce luxe fâcheux.

Invité

François Joseph s'enfonça sans un froissement dans la chambrée, il enflamma un flambeau et se diriga vers sa couche déjà faite, il poas le flambeau à proximité de la couche et se déshabilla de sa cuirasse. Il posa ses armes à proximité de lui et il mit son criss en deçà de son traversin. Puis, il fléchie dans sa couche et noya son flambeau.

Il réétudia ses premières semaines dans le fortin, il était fabuleusement gai d'être entrée dans l'ordre de la licorne et il escomptait très rapidement pouvoir faire ses marques, peu à peu, désolé dans le file de ses imaginations, il s'engourdie...

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François Joseph, après avoir flâné dans les coursives de la casernement pour pouvoir attraper ses marques, retourna dans la chambrée pour pioncer attendu qu'il n'avait constamment pas récupéré ses heures de sieste. Il fléchie sur sa couche, examina en l'air et se formula certaines épreuves.

Sujet: Re: Le dortoir des Hommes d'armes Jeu 25 Mar 2010 - 15:26

L'homme d'armes suivant les conseils donnés à la porte arriva aux dortoirs prévus pour les HA.
Il poussa la porte, ne prenant pas le soin de toquer avant puisqu'il comprit que la pièce allait être soit vide, soit occupée par des compagnons essayant de se reposer.
La porte grand ouverte, il aperçu différentes paillasses en bon état, mais soit qui servait encore, soit qui avait déjà bien servi.
Il entra donc, laissant la porte ouverte.
Il trouva une place libre.
La lumière des bougies éclairait assez la pièce de bonne taille.
Il posa son bardas à terre, se demandant s'il pouvait prendre un peu de place sur l'étagère à côté de sa paillasse.
Poussant légèrement quelques effets ne lui appartenant pas, il regarda son sac et l'ouvrit.
Il sortit des chemises, des braies, une paire de chausse de rechange.
Laissant cette dernière parterre, il posa le reste sur l'étagère, à la place précaire.
Il enleva son mantel ainsi que ses bottes, puis s'étala sur son lit de fortune.
La main droite posée sur son front, il se demanda s'il allait voir enfin quelqu'un dans le dortoir, ou ailleurs

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Anorion venait d'arriver à Ryes et en avait à peine passé les grilles quil avait des tâches à exécuter. Aller déposer ses bagages dans le dortoir, à l'infirmerie passer quelques examens, et en salle d'armes pour prendre ses instructions.

L'infirmerie avait été facile à trouver. Tout comme le dortoir d'ailleurs. Il suffisait de demander. Toutes et tous, ici, savaient.

C'est avec un certain empressement qu'il se rendit donc dans la partie du bâtiment qui abriterait sa couche pour les semaines futures. Il ne frappa pas à la porte, de crainte de réveiller quelque dormeur. Et de fait, certains, qui avaient probablement veillé auparavant, se reposaient. D'autres étaient sur le point de partir en silence. C'est grâce à l'un d'entre eux qu'Anorion sut où il pourrait s'installer sans crainte de prendre lune place qui ne soit pas libre.

Une fois les bagages au pied du lit, il se hâta de redescendre dans la cour. Il était trop tôt pour dormir ...

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Mikhnienko qui avait passé le premier poste de garde arriva au second, déjà plus simple à passer celui là. Pas de grand gaillard à l'entrée grâce à son laissez passer. Le garde lui fit signe de circuler, ce qu'il fit sans tarder.

Il arriva ensuite dans la grande cour intérieur. Le chemin le fit arriver devant une grande fontaine surmontée d'une énorme statue représentant une Licorne. Il en profita pour boire l'eau de la source, et remplit sa gourde. Il ne se rappelait plus quel chemin prendre pour rejoindre le dortoir. Il s'approcha d'un homme en train de frapper un pantin de bois avec son épée.

- Sir, pardonnez moi, je cherche le dortoir s'il vous plait. Il regarda l'homme épuisé. L'homme lui montra la direction avec son arme puis reprit l'entrainement.
- Merci beaucoup frère, je vous reverrai surement plus tard. Puis il reprit sa route.

Il entra dans la l'aile du château par la grande porte. Il recherchait toujours les dortoirs mais regardant les teintures ornant les murs. Il était très impressionné par la beauté des lieux.

Il trouva enfin le dortoir des hommes d'arme. La porte ne grincait pas, cela changeait de chez lui. Il n'y avait personne mais on voyait où la place était occupée car le lit était fait contrairement aux lits avec le nécessaire de couchage au bout du matelas. Il choisit une place, la plus proche possible de l'entrée. Il mit son baluchon dans l'armoire à coté de son lit. Il fit le lit tout de suite pour indiquer à une éventuelle personne arrivant que la place était réservée. Maintenant, faut que je trouve l'infirmerie.

Sujet: Re: Le dortoir des Hommes d'armes Mer 8 Sep 2010 - 19:54

Mehar n'était guère habitué à l'architecture des châteaux. Oh, bien sur, il en connaissait au moins un, celui de Bruges où il avait jadis juré allégeance à la comtesse des Flandres lors de son mandat de maire de la capitale Flamande... Mais l'architecture était toute autre, bien plus tournée vers les fastes de la cour que de la défense, car les Flandres se veulent si sures d'elles qu'elles se complaisent à penser que nulle armée ne peut la menacer... Et pourtant...
A l'instar des pensées qui l'avaient occupé lors de son voyage, Mehar erra un long moment dans ce lieu nouveau pour lui, se remémorant les paroles de son défunt père au crépuscule de sa vie, à l'aube de la sienne.

- Min tiot. Il est tlop tald poul moi de letlouver la telle de nos aieux... Mais je sais que toi, un joul, en Nolmandie tu te lendlas. Passant à Fécamp, tu lendlas visite à la dame de pielle qui attend le letoul des hommes qui ont quitté le pays pal la mel. Tu acclochelas à sa main le foulald dans lequel mon pèle a tant séché ses lalmes de leglet avant moé. Toi qui n'a jamais su pleuler , peut êtle le felas-tu en voyant d'où tu viens et de quoi nous t'avons plivé l'galoubi....

Sortant de ses pensées avant de laisser couler de son œil l'eau salée qui recouvre les côtes à la marée, Mehar poussa enfin la porte du dortoir qui semblait vide à cette heure. L'endroit, pour aussi sobre qu'il fût, l'amena, chose rare, à esquisser un sourire.
Mehar se contentait de plaisirs simples, et il était heureux de voir qu'une paillasse était délaissée dans un angle de la pièce... De cet endroit, il pourrait voir la porte, qu'il affectionnerait de voir s'ouvrir, mystérieuse, dévoilant le visage de ceux qui viendraient le sortir de ses lectures.
Aristote, Sophocle, Ciceron et bien d'autres seraient bientôt sortis de son sac pour prendre place au côté de sa couche, éternels compagnons d'une solitude parfois trop enivrante.
Bientôt oui; mais pas encore.... Beaucoup restait à faire et ses livres devraient encore attendre avant d'être à nouveau sortis du sac que Mehar jeta sur son lit pour en prendre possession.

Sujet: Re: Le dortoir des Hommes d'armes Dim 12 Sep 2010 - 8:25

"Dortoir, Infirmerie, Salle d'armes, Salle de réunion des Hommes d'armes". Antonio se remémorait sans cesse, et dans le bon ordre, les différents lieux où il devait passer se présenter. La Forteresse était immense de l'extérieur, et presque deux fois plus de l'intérieur. Heureusement que Eragon lui avait griffonné les indications pour accéder aux différentes pièces. En tout premier lieu, il se rendit au dortoir, pour y déposer ses affaires et réserver un lit pour son premier séjour à Ryes.
Après avoir suivit les indications de l'écuyer, il se retrouva nez-à-nez devant une grande double porte, celle-ci étant entre ouverte, il la poussa pour pouvoir se glisser à l'intérieur. Ce n'était pas qu'une simple légende, c'était vrai, dans tous les grands châteaux et grandes forteresses, les portes grinçaient, du moins celles du dortoir. A se demander si l'absence d'huile était due à un manque de temps et de personnel, ou à un acte volontaire pour surveiller les entrées et sorties du dortoir.

Une fois entré dans le grand dortoir qui comprenait des dizaines de lits, il aperçut plusieurs personnes, certaines allongées sur leur lit, d'autres en train de faire leur lit, et encore d'autres qui se chamaillaient avec les oreillers. A chaque fois que son regard croisa une nouvelle tête, il la salua d'un signe de tête accompagné d'un simple "Bonjour".
Le bourguignon avança dans l'allée centrale jusqu'au premier lit inoccupé sur lequel il posa ses affaires. Cette nuit, il dormirait ici, et il en était ravi, ça le changerait de la solitude de sa petite maison à Dijon.
Mais pour le moment, pas question de dormir, il lui restait encore pas mal de lieux à visiter, et malgré son long voyage dans les jambes, il comptait faire tout ce qui lui avait été demandé avant la tombée de la nuit.

C'est donc sans ses affaires, si ce n'est sa plume personnelle dans sa poche, qu'il poursuivit sa visite de la forteresse, direction maintenant : l'Infirmerie. "Let's go !"

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