Assez peu va t'en guerre, et plutôt adepte de la chasse Bertrand n'avais pas encore trouvé de monture a son gout chez les destriers, aussi se contentait il de son fidèle coursier Aldébaran.
Il le fit entrer dans la première stalle non occupée, et après l'avoir descellé se mit a le panser avant de lui donner une ration de fourrage...
La fatigue des longues courses de ces derniers jours eurent raison de la pauvre béte qui s'allongea aussitôt sa panse repue, repos du guerrier necessaire avant d'autres chevauchées...