Construction du Près principal

Liagan finnissait un piquet lorsque Akane vint le rejoindre. Il fut soulagé par sa présence. Liagan était fatigué, et d'après le mince sourire de Akane et par ses yeux, sans doutes sa soeur aussi devait l'estre. Bref Liagan rit un piquet le planta un pe uavec les mains, puis le stabilisa.

Courage soeur. Je te tiens le piquet et tu tapes? Et puis l'on changera quand tu en auras marre

Liagan et Akane plantèrent le piquet, Liagan contata le geste maladroit de Akane mais le piquet était planté et aucun blessé à déplorer, et puis avec la fatigue c'était tout à fai compréhensible. Ils repartèrent quand un frère vint les voir.

Bonjours hum frère Varenne. Truste compagnion? Et bien sans nul doute qu'il des soucis et qu'il vut mieux estre à distance quand il le faut. Mais votre aide est la bienenue. Come à di Akane, nous somems fatigués , mais nous travaillons. Enfin allons y pour le piquet.

Liagan prit un autre piquet et refit la mesme action, stabiliser l courrier.

Bulvaï a écrit:

ce serait pratique si nous faisons une sorte de brancard avec ses deux piquets et qu'un troisième frère vienne en mettre en travers des deux que nous portons, on en transporterait plus ne crois tu pas ?

Zalina regarda les 10 piquets restants. S’il en prenait de trop, les autres équipes n’auraient plus qu’à les regarder en attendant qu’ils plantent tout à eux trois. Même à trois piquets chacun, dont la moitié laissée à une autre équipe en route, cela faisait déjà pas mal de travail.

C’est une bonne idée, mon Frère. Mais pour le peu qu’il reste, on va perdre plus de temps à faire le brancard et les transporter sans rien perdre en route qu’en faisant quelques allers-retours à trois ou quatre personnes.

Nouveau coup d’œil au chantier.
Morfalas avait rejoint son équipe. Maharet et Nennya faisaient enfin connaissance.
Et encore un nouveau. Deuxième de la journée à se joindre à eux, si on ne comptait pas le retour. La Forteresse se remplissait aujourd’hui. Et ce n’était pas pour déplaire à la Petite Peste. Même si elle n’avait envie de voir personne, plus il y aurait de volontaires pour le reste de la journée, plus cela irait vite.

Un piquet dans chaque main, elle s’avança vers Ethan et déposa sa cargaison à ses pieds.
Trois bouteilles d’hypocras ? Il savait comment arroser son arriver le nouveau. La vue de cette boisson rappela des souvenirs d’enfance à la Gamine. Hekate en fabriquait un si bon… Mais elle ne lui avait jamais confié la fameuse recette dont l’énigme restait insoluble. Fini l’hypocras de la Vicomtesse qui avait emportée le secret avec elle dans la tombe.

Mais pour l’heure, il était encore un peu tôt pour faire une nouvelle pause. Ils venaient à peine de reprendre. Zalina était connue pour être une tortionnaire et ne comptait pas déroger à sa réputation.
Pause hypocras pour ce soir en repassant les murs sécurisants de la Forteresse. En attendant, marteaux, masses et clous étaient au programme.

Bonjour, Ethan.
Je suis Zalina, surnommée Petite Peste de la Licorne. Bienvenu chez toi.
Merci pour la boisson. On videra tout çà un peu plus tard. Sais tu enfoncer des piquets ?
Prends ma place avec Bulvaï *signe de tête pour désigner le dit Bulvaï* et Caturix. Le premier vient d’arriver aujourd’hui aussi. Cat est déjà un des anciens. Vous devriez bien vous entendre.

De mon coté, je vais rapprocher les piquets et les planches restantes aux différentes équipes.

[HRP : Arf… problème de connexion, le résultat des dés ne s’affichent pas ce soir. Je ferai le total et annonce les gagnants ce week-end. Vous avez donc encore jusqu’à demain soir pour finir et arriver à la tombé de la nuit, ou la fin de la clôture du prés. Attention, il faut laisser la place pour installer une porte .]

Taper, tenir, taper, tenir, tap Eh, c'est fini !

Coup d'oeil vers la Zaza qui part vers la forteresse puis rangement des outils dans le cabanon. Pas trop dur à faire, vu qu'il n'y avait que des masses, des marteaux et des clous.

Sur ce, voilà le nouveau qui régale, parfait ... Tiens, faudrait qu'il pense à lui demander son nom à lui. La cohue du travail ne lui avait pas encore permis de l'apprendre.

Eh bien frère, puisque c'est ainsi, suis-nous, nous allons vers l'antre du Kékidi. Petit sourire et départ de la troupinette puis, s'approchant du jeune homme : Quel est ton nom frère ?