Construction du Près principal

Knarel planter les piquets encore et encore quand le drame arriva: son attention fut detourner vers un escargot qui ce promenait sur un des piquets, et le coup de marteau lui explosa le pouce:

-MWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARG !!!

Il lacha le marteau et regarda son pouce. Il avait l'air encore entier, mais un trés gros ras ce formait sur son ongle. Il le banda rapidement avec un bout de tissu qui trainer au fond de ses poches, et reprit le boulots: le platage de piquets !

Akane après une soirée plus qu'arrosée, et une nuit des plus courtes, se décida d'aller tout de même aider aux travaux du haras.
Son esprit était bien embrumé, ses yeux ressemblaient à deux fentes bleues azur... Dur de se lever de sa couche, elle aurait bien aimé y rester la matinée durant...

Elle apperçu la peste n°1, et ses camarades. Bref salut de la tête à ceux-ci, elle passa ses gants de cuir, et questionna la responsable des travaux

- Bonjour , Zal' ! Que devons nous faire aujourd'hui ...

Elle dit cela d'une voix lente et douce, elle qui d'habitude est débordante d'énergie...

Pas de problème Mackx. Mais fait attention

Herman se mit à tenir le piquet pour que Mackx puisse faire son travail. Herman espérait qu'aucun coup ne parte de travers, sinon ses mains même avec gants, seraient ... Ecrasées.

Nennya se présenta, elle ne savait pas très bien ou se trouvait sa place dans cet amas de poussière et d'hommes, elle hésitait avant de dire:

-Bonjour à tous, que faut-il faire en ces lieux, rougissante de honte.

Sa timidité revenait au galop, elle tremblait, peut être avait-elle loupé quelque chose. D'une vois tremblante:

-Puis je aider?

Psycho était donc parti chercher des piquets, quand il retourna auprès de Mackx et Herman Zarhroc était reparti. Psycho le chercha du regard et il ne tarda pas à voir qu'il était déjà occupé ailleurs... ou qu'il allait l'être.
Psycho se tourna donc vers Herman et Mackx qui visiblement s'étaient entendu pour organiser le plantage de bâton.

Psycho leur dit alors:

Bon, si j'ai bien saisi vous plantez à deux et moi je ramène et dispose les piquets là où ils doivent être planté...?... Quelle organisation!

Psycho sourit et commença son office... le prés était grand... et malgré la bonne organisation qui s'installait peut à peut ils s'avaient certainement beaucoup d'heures de travail devant eux.

Le planter de piquets... Bon, cela ne devrait pas être difficile en temps normal, mais ça l'est lorsque la veille, on a un peu forcé sur le calva !
L'escuyère se saisit d'un maillet, prend des piquets, et du chef adressa un salut à ses camarades. Mal réveillée comme elle l'était, elle n'adresserait pas un mot avant d'avoir emmergé totalement .

Le soleil brillait sur Ryes, et l'éblouissait quelque peu, sa tête lui fit légérement mal, qu'importe ! Elle devait faire comme tous les autres et accomplir sa tâche ! Elle se saisit d'un piquet, le plante légérement dans la terre fraiche et humide du pré, et l'enfonce en deux temps trois mouvements dans le sol, avec le maillet en bois.

Ping ! Ping ! Ping ! Elle planta ses piquets, d'un geste lent mais sûr.

Un de ses camarades de labeur chantait faux, elle pensa en son for intérieur qu'on devrait le baillonner, que c'était inhumain d'imposer pareille souffrance aux tympans des autres, surtout tôt le matin...

Il faut bien l’avouer l’écuyère avait une manière bien à elle de clouter les planches et même si elle ne s’était pas encore blessée grâce à un équilibre plus que douteux, elle risquait à tout moment de s’entamer.
Croyez-vous qu’elle serait allée demander une aide quelconque, que nenni, la jeune femme inconsciente croit en sa dextérité. La planche sur un genoux, marteau et clous de l’autres, elle fixe une planche. Aussi, n’entend-elle pas arriver sa sœur. Bah elle est concentrée faut pas lui en vouloir.
Elle se relève, observe son travail, une pointe de satisfaction dans le regard. Comme la dernière fois, elle a réussi et sans un bleu.

Retour à la réalité, rougit en voyant la jeune fille à proximité.

Euh… bonjour… Nennya, c’est ça ? Excuse-moi… bonjour ma sœur. Cafouillage, bafouillage, Maharet tend la main qui tient le marteau, l’abaisse. Sa main libre s’engouffre dans sa chevelure en bataille. De l’aide… oui bien sur… le matériel je l’ai mais si tu veux je peux te montrer où on le range. Moi j’ai pris un sac de clous et un marteau pour clouter les planches, que je récupère au fur et à mesure, je ne suis pas très douer avec une masse. Débit rapide et inutile d’une jeune femme comme prise en faute. Sourire qu’elle fait naitre pour faire oublier sa gaucherie. Je n’y connaissais rien non plus en cloutage mais j’ai appris ici. Tu préfères qu’on fixe cette planche, lui montre celle qui est calée contre le piquet et je te montre après la cabane aux outils ou d’abord l’endroit où est exposé le matériel ?

D'accord Mack ! Pas de problème !

Herman prit donc à son tour le marteau tout en attendant que Psycho se plaçe pour tenir le piquet et que Mackx se prépare à passer les piquets.
Le travail n'était pas des plus dure, mais à forceri ... On commençerait à s'en lasser.

Psycho allait à sont tour prendre le marteau quand Mackx lui proposa, mais Herman le devança et prit position devant le piquet. Ce qui n'était pas pour réjouir l'écuyer, qui ne se rappelait que trop bien de la dernière fois qu'il avait été en dessous de l'arme de l'hommes d'arme. Mais courageux, ou inconscient, Psycho prit quand même position auprès du piquet. Et le maintient aussi fort qu'il le put. Autant pour se rassurer que par souci de bien faire son travail...
Je suis prêt Herman, c'est quand tu veux.